Dans sa précédente vidéo, Youssef Hindi traitait de la période 1947-1981. Il reprend ici à partir de la première Intifada en 1987, jusqu’au génocide en cours.
Les juges qui convoquent les pro-Palestiniens, qui les placent en garde à vue, qui les emprisonnent même, alors que ceux-là n’ont commis pour crime que critiquer un État génocidaire qui bafoue le droit international depuis 1948. Il faut quand même bien réfléchir à ce type de comportement politique – puisqu’il ne s’agit pas d’application du droit, c’est application de la criminalisation de ceux qui critiquent l’État d’Israël –, il y aura des conséquences politiques à tout cela. Quand la poussière du génocide sera retombée, de la destruction de gaza, à un moment donné il faudra certainement rendre des comptes, et en fait, ce que l’on voit, c’est des magistrats qui se rendent complices, indirectement, de l’État d’Israël, puisque ceux qui attaquent en justice les pro-Palestiniens sont, je l’ai dit dans la précédente vidéo, des relais d’Israël, c’est l’avocat de Benyamin Netanyahou en France, ce sont des avocats comme Sarah Saldmann, qui fait la promotion de l’aide financière à l’armée israélienne, donc génocidaire, qui est défiscalisée, qui part de France pour aller en Israël, pour soutenir l’armée israélienne dans son effort génocidaire. Placer en garde à vue, envoyer en prison des gens qui dénoncent cela, c’est se rendre complice. Je le dis clairement, et je le redirai devant un juge si l’occasion se présente.