Egalité et Réconciliation
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Les Chroniques de Youssef Hindi #21 : L’instrumentalisation de la justice

Avec Xavier Poussard et Me Fabrice Delinde

Dans ce troisième hors-série de ses Chroniques hebdomadaires, Youssef Hindi, récemment convoqué par l’antiterrorisme, fait le point sur l’instrumentalisation de l’appareil judiciaire par un pouvoir aux abois avec ses deux invités : Xavier Poussard et maître Fabrice Delinde.

 

 

Il n’y a pas loin de l’État d’exception à l’état d’exception (en France) :

De la démocrature en Hexagonie

 






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7 Commentaires

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  • On est sur le rétablissement pur et simple du délt d’opinion.

    Ce n’est pas de la censure des "opposants politiques"
    (qui sont bien souvent inoffensifs politiquement).
    C’est un Etat (en amont du "pouvoir" ) qui s’arroge le droit de définir la morale,
    et entend dicter le cadre du débat public.
    On voit que l’audience, ou la portée réele des prévenus, importe peu.
    C’est ce qu’ils disent qui est visé, pas l’effet produit.

    Ce retour du délit d’opinion se fait en plus au delà des plateformes
    numériques (FAI, réseaux sociaux,VPNs) auxquels on a déjà mis une
    pression considérable pour modérer les contenus.
    Alors même que ces plateformes n’ont pas jugé utile de censurer
    ces contenus !
    parceque les réclamations ont été jugé insufisantes, ou pas assez
    argumentés par ces plateformes.

    De là ca passe par l’antiterorisme , ou la "haine en ligne".
    Pour pouvoir criminaliser le délit d’opinion, qui n’existe plus en droit.

    Enfin,cela a commencer par individualiser le droit de la presse,
    tout à chacun devenait responsable de ses "publications",
    C’est déjà une dérive, mais cela fut insuffisant,
    puisque les gens restaient dans le droit de la presse,
    y compris à titre individuel.

    Donc on a la criminalisation de l’opinion par des moyens détournés.
    De toutes façons la branche de l’antiterrorisme, ou le bazar qui surveille
    la haine en ligne n’ont pas d’autres fonctions que de catégoriser l’opinion.

    Un appel au meurtre, c’est un appel au meurtre,
    un acte terroriste, c’est un acte terroriste .
    Quand vous commençez à sonder X, ou Youtube pour trouver du matériel qui
    aurait pu passer les censures pré-existantes,
    c’est déjà un profond devoyement de la justice et des moyens.

    Rétablissement de la censure directe, rétablissement du délit d’opinion.
    Mais je suis en désaccord avec le but "politique", cela va bien au delà du pouvoir
    "en place" même si ils ont pu utiliser ces mechanismes.
    Cela survivra au pouvoir en place, sans aucun doute.

     

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  • #3541782

    Merci à ces Messieurs et à E&R pour cette chronique très intéressante.

     

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  • #3541829
    Le 12 juin à 04:27 par L’Espace-Temps de la Dialectique Autorisé
    Les Chroniques de Youssef Hindi #21 : L’instrumentalisation de la (...)

    Est-ce le monde à l’envers ? Et non !

    - Voilà l’ultime aboutissement de la foi Républicaine Française…

     

    Répondre à ce message

  • A propos de la loi sur "la haine"

    On en peut en déduire qu’il est obligatoire d’aimer certaines personnes,
    mais on peut également constater qu’il est obligatoire d’en detester d’autres, que ce soit dans les paroles ou dans les actes.

    Les non vaccinés par exemple qui ont été insultés, ostracisés, privés de leurs libertés fondamentales et de leurs moyens de subsistance.

    ou encore les Russes
    Stimatisation, spoliation de leurs biens, suppression de leur compte bancaire (y compris chez ceux vivants en France depuis 20ans ! )

    Il n’est donc absolument pas question de lutter contre la haine, mais de décrêter une exclusivité gouvernementale au droit à la haine.

     

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    • Il faut savoir également que les catégories ne sont pas figées
      Ainsi, un non vaccinés ou un Russe qui exteminent des enfants Palestiniens sont a mettre dans la catégorie de ceux qu’il est obligatoire d’aimer.
      il y a des haine prioritaires et des haines secondaire dans le monopole d’état de la haine.

       
    • Il faut savoir également que les catégories ne sont pas figées
      Ainsi, un non vaccinés ou un Russe qui exteminent des enfants Palestiniens sont a mettre dans la catégorie de ceux qu’il est obligatoire d’aimer.
      Il y a des haines prioritaires et des haines secondaires dans le monopole d’état de la haine.

       
  • A propos de la loi sur "la haine"

    On en peut en déduire qu’il est obligatoire d’aimer certaines personnes,
    mais on peut également constater qu’il est obligatoire d’en detester d’autres, que ce soit dans les paroles ou dans les actes.

    Les non vaccinés par exemple qui ont été insultés, ostracisés, privés de leurs libertés fondamentales et de leurs moyens de subsistance.

    ou encore les Russes
    Stimatisation, spoliation de leurs biens, suppression de leur compte bancaire (y compris chez ceux vivants en France depuis 20ans ! )

    Il n’est donc absolument pas question de lutter contre la haine, mais de décrêter une exclusivité gouvernementale au droit à la haine.

     

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