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Les conservateurs américains veulent sortir les ouvriers du célibat

Article sociologiquement très intéressant du Figaro, donc politique. Tout est parti d’un constat : « Aux États-Unis, les hommes de la classe ouvrière se marient de moins en moins. Pour Lyman Stone et Grant Marsolf, deux chercheurs conservateurs, il est urgent de relever le taux d’union stable. »

 

Au moment où le débat sociétal numéro un tourne autour du développement du masculinisme, des impasses du féminisme et des effets délétères de la théorie du genre, bref, du retour de la couille, les trumpistes prennent le bull par les cornes et veulent changer la donne pour mettre fin à la désagrégation du couple.

 

 

Cela va vous paraître incongru mais on a retenu cette vidéo, pas pour le délire sur les pets féminins, mais pour la saillie furtive sur les femmes qui veulent des hommes qui bossent, ou des hommes pas pauvres. Cela ne signifie pas riches, mais capables de subvenir aux besoin d’une famille, à l’ancienne, quoi. Ce qui ne veut pas dire la femme à la cuisine non plus, ne nous trompons pas. Soyons modernes.

Thaïs : « Le mariage est en train de mourir »

 

Avant de résumer l’interview des auteurs de cette étude, présentation du problème.

Aux États-Unis, on se marie beaucoup moins qu’avant. En quarante ans, le taux de personnes mariées a décliné de 60 %. Dans ce pays très attaché à cette institution – associée de façon directe au bonheur – la nouvelle est suffisamment grave pour que des chercheurs soumettent une batterie de mesures à la nouvelle administration Trump. Auteur d’une étude qui vient de paraître, « De bons emplois, des familles solides », Grant Martsolf, enseignant à l’université de Pittsburgh, s’intéresse aux métiers qui offrent le plus de chances de se marier aux hommes sans diplôme. Lui et Lyman Stone, directeur de « L’initiative Pronatalisme » à l’institut pour les recherches sur la famille, doctorant en sociologie à l’université McGill au Canada, estiment que les élites américaines pénalisent les pauvres qui veulent se marier. Au Figaro, ils expliquent pourquoi ils fondent l’espoir d’un renouveau familial sur la personne du vice-président JD Vance.

Décidément, ce preux chevalier de Vance est partout, avec des valeurs de droite et un objectif social, ça nous rappelle quelque chose... Ce facho marié à une Indienne incarne vraiment la nouvelle Amérique. On retombe sur les fondamentaux que les féministes ont voulu effacer : la femelle cherche un mâle fiable à tous points de vue. Un bon époux, fidèle si possible ; un bon père, pas pédo si possible ; un bon amant, pas pédé si possible ; un bon équipier, pas chômeur si possible. C’est brutal, mais ça résume le pragmatisme des femmes. Martsolf et Lyman le disent scientifiquement.

Grant Martsolf : Cela fait plusieurs années que la recherche montre qu’il y a une connexion entre les « performances » économiques des individus et le taux de mariage. Une des hypothèses est que la chute des revenus d’une partie des hommes, les moins diplômés, a fait chuter leur « capacité » au mariage car ils seraient devenus moins stables et donc moins susceptibles d’assumer une vie de famille.

Lyman Stone : Moins attirants aussi. Ce que l’on constate au travers de la recherche, c’est que les femmes ont tendance à chercher des partenaires qui seront des pères impliqués, capables de supporter le poids financier du foyer si elles s’éloignent du marché du travail dans les premiers mois ou premières années de la vie de leurs enfants. Les hommes, eux, ont tendance à chercher des partenaires qui les soutiennent dans leur ambition, etc. En gros, nous espérons tous retirer des bénéfices d’une union. Et les femmes américaines ont aujourd’hui plus de difficultés à trouver ce qu’elles attendent. Alors que les revenus des Américains ont globalement augmenté ces trente dernières années, ceux des jeunes hommes entre 20 et 30 ans ont stagné.

On aimerait tout mettre en ligne tant l’étude est intéressante. On va essayer d’aligner les informations les plus significatives sans fâcher Le Figaro. Prions pour que leur service juridique ne nous lise pas, ou nous pardonne cette offense éditoriale.

« J’ai grandi à Pittsburgh, une ancienne cité sidérurgique. À partir des années 70, on est passé de l’industrie de l’acier, qui emploie des hommes non diplômés à une industrie de la santé, qui emploie des femmes non diplômées. Dans le même temps, le taux de mariage s’est effondré dans cette catégorie de la population. »

« Le mariage apporte des bénéfices cruciaux aux individus et à la société. Et puis aux États-Unis, les gens veulent se marier. Plusieurs études ont montré que plus de 90 % des Américains ont ce désir. Si le mariage décline alors que les gens veulent se marier, cela signifie donc qu’une opportunité de bonheur est déniée. »

« Le mariage présente, je l’ai dit, des avantages pour la société et les individus. Pour les hommes en particulier. On remarque que pour eux, les taux de chômage ou de consommation de drogue faiblissent dans les deux ans qui précèdent une union conjugale. »

« Vous savez que les couples Français même non mariés durent plus longtemps que les Américains mariés ? Quand je dis mariage, je dis engagement. Si les gens ne veulent pas appeler ça un mariage parce qu’ils sont modernes et cool, pas de problème ! Mais quand on est ensemble depuis 18 ans et qu’on a trois enfants, c’est comme être marié. Et cela améliore votre vie et celle de vos enfants. »

« Le mariage a une valeur spéciale dans notre pays. Dans la déclaration d’indépendance, les États-Unis se sont engagés à préserver trois choses : le droit des citoyens à la vie, à la liberté et à « la recherche du bonheur ». C’est pour défendre ces piliers que notre gouvernement existe. Or que mettent les gens derrière le mot bonheur ? L’amour, la famille. C’est-à-dire des parties de sexe géniales, des bébés qu’ils ont vraiment désirés, des relations qui durent. »

Union, Jack !

L’interview s’achève sur JD Vance. Pour Martsolf, James David affronte une contradiction :

« Je suis très intrigué par les années à venir. Par JD Vance en particulier, oui. Je suis par exemple curieux de voir comment il va articuler sa défense des classes ouvrières et son ouverture à la technologie. Au sommet de Paris sur l’intelligence artificielle, il a affirmé que nous, les Américains, devions être les leaders en ce domaine. Il a déclaré que trop de dirigeants exagéraient les risques de suppressions d’emplois liées à cette technologie. Alors qu’il est certain qu’elle menace des emplois. Je ne sais pas comment il va régler cette contradiction. »

Stone reste plus optimiste :

« Je pense que vous avez raison : il y a des contradictions dans ce mouvement MAGA, très composite, que JD Vance devra régler. Mais je pense que c’est un homme qui se battra pour ses convictions en y mettant tout son cœur. Sur la politique intérieure, je suis à fond avec lui. Sur la politique extérieure, je me pose des questions mais mon avis n’a pas été sollicité sur ce point. Soyons pragmatiques : cette administration est en place pour les quatre années à venir et nous devons nous appuyer sur elle pour pousser nos idées en matière de politique familiale. »

On va vous dire une vérité, dérangeante pour les identitaires qui disent être à fond pour les traditions, les chevaliers, l’amour courtois, la ceinture de chasteté, etc. : la plupart des mariages qui génèrent des concerts de klaxons dans les rues sont le fait de couples maghrébins. Peut-être est-ce un fait sociologique urbain, mais la tradition de l’union est forte chez les musulmans. Chez les catholiques, on se marie moins, on le sait. La stat de Statista est sans pitié :

En 2020, année marquée par les restrictions sanitaires, 23 484 couples se sont mariés à l’Église, le plus faible nombre sur cette période. En 2023, le nombre de mariages catholiques était de 40 019.

 

Si les cathos divorcent moins, ils se marient moins aussi. Le couple libre, le sexe à portée de main, l’incertitude économique, tout concourt à affaiblir le mariage. Mais l’histoire est un balancier.

Pourquoi JD Vance s’est converti au catholicisme

 

Lire le portrait de JD Vance dans ce numéro

L’avis avisé d’un sociologue de la chose

 






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62 Commentaires

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  • Le problème ce n’est pas d’être ouvrier mais c’est les femmes . Peut-on leurs faire confiance ....... Par expérience , non !

     

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  • #3541349

    Oh, la la,la photo en tête, le grand Al Pacino dans un de mes films préférés.
    La séquence du mariage m’est toujours restée en mémoire.

     

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  • #3541366
    Le 10 juin à 17:15 par La charrue après les boeufs
    Les conservateurs américains veulent sortir les ouvriers du célibat

    Thaïs d’Escufon appartient à l’opposition contrôlée. Elle reprend tous les arguments entendus dans les médias du système (l’argent, le sexe, le divorce), alors que c’est l’aspect religieux qui est le plus important. En outre, sa vidéo fait la promotion des mariages mixtes et donc du métissage qui est le but des mondialistes.

    Thaïs, marie-toi et fais des enfants... tu donneras au moins un sens à ta vie.

     

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  • #3541410

    Vous êtes durs avec Thaïs... en étant honnête, ses arguments se tiennent et elle fait un vrai travail pour apaiser les rapports homme/femme, je trouve...

     

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    • #3541755

      "elle fait un vrai travail pour apaiser les rapports homme/femme, je trouve..."

      Moi je trouve que ses offres de rencards tarifés à 300 euros (si je me souviens bien), à destination des "mâles bêtas" qui font vivre sa chaine, la range dans la même catégories que celles qui ne se racontent pas de mensonges au sujet de leur "profession", la plus vieille du monde, dit-on...

       
    • #3541855

      Une nana qui incite les femmes à viser les hommes riches, qui incite les hommes à dénigrer les femmes avec leur "compteur", et qui profite surtout de la solitude et de la détresse sexuelle et sentimentale des jeunes droitards connectés pour se faire de l’argent.

      Ces influenceurs droitards ne créent rien, ne valorisent rien. Ils sont dans le commentaire et la vente de conneries de communicant.

       
  • #3541440

    Je lis beaucoup d’hommes se plaindrent des femmes ici. Je hais au plus profond de moi les féministes mais vous avez conscience quand même de ce que les femmes doivent endurer putain ?Quasiment toutes les femmes que je connais ont la charge de s’occuper du foyer après plusieurs heures de travail dans la journée. À peine elles viennent d’accoucher, elles doivent retourner bosser un mois après. Autant dire que le post partum, c’est un peu secondaire. On doit porter la responsabilité de la contraception (pilules et autres systèmes qui deglinguent la santé), alors qu’on n’est fertile que quelques jours par mois contrairement aux hommes. On a la charge d’etre attractives physiquement ce qui implique beaucoup de logistique et les dépenses que les hommes n’auront jamais. Je ne suis pas certaine que les hommes ici apprécient les révolutions poilues féministes. On subit des changements hormonaux toute notre putain de vie mais de ce que je lis souvent ici , les hommes préfèrent aller voir des plus jeunes une fois qu’on est périmée.. Honnêtement une femme a une vie quand même un peu plus compliquée que les hommes. C’est bien pour ça qu’il a été aussi simple de les manipuler avec le féministe parce que les hommes n’écoutent pas. Moi jai la chance d’être mère au foyer et du coup de prendre soin de mon foyer, de mon mari et surtout de veiller à bien éduquer mes enfants. Mais combien de femmes ont cette possibilité ? Mais surtout combien d’hommes OCCIDENTAUX se préoccupent réellement du bien être et de l’équilibre du foyer ? Pas beaucoup je pense... Donc finalement les blanches qui se mettent avec des etrangers ne me surprennent pas finalement car quoi qu’on en disent une femme à une énergie féminine dominée par son utérus qui la poussera toujours à chercher la virilité et la sécurité. Peu importe que ça soit un ouvrier ou un cadre, tant que cette homme non individualiste (ce qui est le plus gros fléau de cette société occidentale) a le sens de la famille

     

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    • #3541518
      Le 11 juin à 07:44 par Ne(g)ron Imperatur
      Les conservateurs américains veulent sortir les ouvriers du célibat

      Le modèle traditionnel de la famille, perçue comme une "entreprise collective", a longtemps régné avant l’avènement de la société individualiste moderne. Cela a engendré une analyse critique de l’émancipation féminine à travers le prisme des réalités historiques et sociologiques, décomposant plusieurs points clés.

      1. La famille-entreprise : un modèle économique
      Avant les années 70, la famille fonctionnait comme une unité de production avec des rôles complémentaires : l’homme était souvent le chef de famille, tandis que la femme gérait le foyer et les enfants. Bien que l’homme rapportait le salaire, la femme contrôlait une grande partie des ressources, souvent estimées à 70% à travers le budget domestique. Aujourd’hui, les femmes revendiquent une indépendance financière, mais dépendent souvent de salaires précaires, du crédit et de l’État.

      Exemples concrets :
      Les femmes géraient les potagers, le commerce familial ou le troc, et leur travail, bien que non rémunéré, était essentiel pour la survie de la famille.

      2. Qui contrôlait vraiment l’argent ?
      Dans de nombreuses cultures, les femmes géraient les dépenses quotidiennes et les économies, même lorsque l’homme rapportait un salaire plus élevé. Cette division des rôles n’était pas nécessairement une oppression, mais une spécialisation qui voyait les femmes exercer un pouvoir concret sur le quotidien.

      3. La famille élargie vs. l’isolement moderne
      Une critique de la famille nucléaire révèle des effets d’isolement. Les familles élargies offraient des avantages tels que la garde d’enfants et la solidarité économique, tandis que la structure nucléarisée pousse à une dépendance accrue aux services payants, augmentant la solitude et la perte de réseaux d’entraide.

      L’hypocrisie du discours moderne sur l’indépendance
      Les femmes ont aujourd’hui des droits formels mais souvent, cette indépendance se traduit par une obligation d’acheter des solutions de garde ou d’aide domestique. Ce phénomène a conduit à une augmentation du stress et à une réduction de la liberté réelle, alors que les femmes perdent souvent le soutien traditionnel des réseaux familial
      . Le déclin démographique
      Le déclin démographique en Occident est symptomatique d’une civilisation en crise, où la famille coûte cher, et les réticences masculines à s’engager se traduisent par un vieillissement de la population, tout en dépendant de l’immigration pour renouveller les générations.

      Conclusion :

       
    • Il y a une féministe américaine qui a fait une expérience, elle voulait démontrer que la vie des hommes étaient plus simples, elle s’est donc grimée en homme grâce à des professionnels et s’est glissée dans la peau d’un homme pendant plusieurs mois. Elle a fini en dépression...

      Elle explique qu’elle n’avait pas imaginé à quel point les hommes sont seuls, subissent l’indifférence voir de l’hostilité latente. Il n’y a personne pour les écouter, ou partager leurs états d’âme, et ils n’ont pas le droit de se montrer faibles (ils seraient déconsidérés par les femmes et la majorité des autres hommes).

      Elle a finit par admettre que la vie des hommes est bien plus dure que ce qu’elle imaginait et qu’elle était finalement très contente d’être une femme.

      A méditer.

       
    • #3541606

      Je suis complètement d’accord avec tout ce que vous dîtes et regrette vraiment cette société traditionnelle...
      Effectivement les féministes aspirent à une pseudo indépendance financière au détriment de l’équilibre globale du foyer dont les enfants sont les premières victimes mais je n’ai malheureusement pas l’impression que beaucoup d’hommes souhaitent que ce soit autrement. Les hommes veulent des femmes « bonnes » et carriéristes, qui « brillent en société » et surtout ça les arrange bien de faire « 50/50 » pendant que celles doivent quand même se taper la maternité et la majorité des tâches domestiques ... Bref, la première victime du féminisme c’est la femme, vient ensuite les enfants. Mais tant que les hommes n’en prendront pas conscience et ne feront rien, rien ne changera

       
    • #3541711

      @hélène, oui, vous avez raison, les femmes endurent beaucoup de choses, surtout de la part de’ leur patron, " la femme est l’avenir de l’homme", chanson de Jean Ferrat qui date de 1975, citation quil a repris de Aragon et qui date de 1961, c’était visionnaire, puisqu’elle est l’armée de réserve du capital, et donc doivent se défendre.

       
    • #3541766

      @shabb Je ne pense pas. Ne serait ce que d’un point de vue biologique en raison de plusieurs facteurs liés à la reproduction, aux hormones et à la physiologie. C’est pour ça qu’il n’existe aucune égalité homme femme, et que la femme doit être comprise et protégée par l’homme surtout dans cette société merdique

       
    • #3541909
      Le 12 juin à 09:44 par il le fait exprès lui, non ?
      Les conservateurs américains veulent sortir les ouvriers du célibat

      Beaucoup de ressenti personnel dans le com, ça se sent.

      Par contre : "On a la charge d’etre attractives physiquement ce qui implique beaucoup de logistique et les dépenses que les hommes n’auront jamais."

      ça non. T’es en train de me dire que les femmes dépensent de l’argent parce qu’elles ont la charge d’être attractive physiquement, ce que les hommes n’auraient jamais...
      Les hommes n’investissent pas dans des vêtements ? Les hommes n’investissent pas pour prendre soin d’eux ? Les hommes n’investissent pas pour séduire ?
      Quand on regarde l’argent dépensé pour des rencontres entre hommes et femmes, l’écart est abyssale parce que Madame se rattrape en faisant tout payer à Monsieur (quand le parfum ou les vêtements n’ont pas été payés par un Monsieur précédent ... bah oui, on est pas dupes les filles).

      Et petit bonus : 90% des femmes n’ont pas besoin de ça pour séduire un homme, c’est des conneries cette histoire de maquillage. Vous faites ça pour flatter votre égo, pour rivaliser avec vos copines et pour rêver du prince charmant inaccessible.

      "À peine elles viennent d’accoucher, elles doivent retourner bosser un mois après." Ouais, comme si tu t’étais pété un membre à l’usine, va falloir retourner bosser. Bienvenu dans le monde réel (c’est pareil chez les mecs). T’es en état d’incapacité, donc on te paye au repos, l’incapacité se termine, donc tu rembauches. L’accouchement, on a l’impression que c’est les gueules cassées de Verdun et le bagne réunis quand on écoute certaines femmes.

      "On doit porter la responsabilité de la contraception" Non, la contraception masculine et d’autres type de contraception sont disponibles, personne n’a jamais forcé une femme à prendre du désogestrel (sauf si tu prends des médicaments dangereux pour un embryon).

      "Quasiment toutes les femmes que je connais ont la charge de s’occuper du foyer après plusieurs heures de travail dans la journée." Là encore, c’est ton couple qui doit changer. J’ai toujours vu ma mère s’occuper du foyer et mon père s’occuper du jardin (parfois les deux ensemble).

      Enfin bref, cette discussion pourrait être un échange de pavé, ça n’avancerait pas pour autant. On peut pas raisonner quelqu’un qui pleure et qui a décidé de se plaindre.

      "Mais vous avez conscience quand même de ce que les femmes doivent endurer putain ?" Cette phrase typique d’une féministe résume tout le post. Tout le monde douille, alors arrête de couiner parce que tu fais mal à la tête en plus.

       
  • #3541450

    Aux USA ce que l’on appelle ouvriers sont souvent l’équivalent français d’artisans, des petits entrepreneurs en pick up exerçant des métiers comme plombiers, électriciens, paysagistes, maçons, conducteurs de pelleteuses...et ces mecs là gagnent très bien leur vie ! Même quand le mec est employé par un patron c’est minimum 5000 dollar/mois...or beaucoup de ces mecs sont ruinés lors des divorces ! Indemnités et pensions alimentaires de malades mentaux... ! Perte de la maison au profit de l’ex-épouse... C’est le coût pour les hommes des divorces aux USA qui dissuadent les mecs de se marier ! Parce que si baiser une nana avec laquelle on vit en concubinage et qui s’avérera être une salope, ce n’est pas agréable mais bon il suffit de se séparer pour résoudre le problème...mais en cas de mariage cela devient un cauchemar juridique et financier !

     

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  • Souvent femme varie , bien fol qui s’y fie !

     

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  • #3541750

    Aux USA ,les ouvriers se marient de moins en moins car les américaines n en veulent pas ,elles ne peuvent pas les plumer au divorce ,ils sont demunis. Et les hommes de la classe moyenne et de la bourgeoisie ne veulent plus se marier justement pour ne pas être plumés.
    Meme les noirs americains ne veulent plus ni des blanches ni des noires americaines ces dernieres etsn encore pires.

     

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  • #3541756

    Les americains ont l habitude dire pour les femmes americaines :
    - elles veulent le pouvoir de l’homme
    - les privileges de la femme
    - la responsabilité de l’enfant

     

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  • réformes, retours, sociétaux, économiques, légaux, voire religieux, certes,
    mais aussi alimentaires, de santé, même mobilières :
    en retirant toute la chimie nocive (perturbateurs endocriniens, hormonaux, nerveux, etc) des alimentations, traitements, équipements,
    et la physique nocive (ondes, électro fog, même à domicile, etc) gérée autrement,
    sûr que beaucoup, surtout les femmes, auront déjà les idées et comportements beaucoup plus clairs, honnêtes, conscients, constructifs.....humains.....

     

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