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Pour citer Zemmour, même si il n’est pas populaire pour tous ici étant donné qu’il n’est pas vraiment sur ligne égalité et réconciliation, Il expliquait la vie avant les élections aux journaleux bobo gauchistes, qui lançaient des fleurs sur le chemin de Hollande qui promettait de faire changer ceci ou cela dans l’Europe, en leur disant : Angela à dit Nein à Sarkozy et elle dira Nein à Hollande, Nein, Nein, Nein.
On s’en doutait, c’est arrivé, et encore une fois le changement ce n’est clairement pas maintenant et d’ailleurs j’oserais presque avancer que ça n’a jamais été au programme ...
Les socialistes ont raison, ne vous y trompez pas, le changement se fera, mais à l’opposer du sens souhaité dans leur propagande. C’est pour cela, après réflexion, que je trouve le slogan des socialistes très réaliste, voir diabolique.
L’Allemagne serait prems à sortir de l’euro, et de façon organisée en plus, que ça m’étonnerait pas.
Quant aux autres, pour la plupart ils se laisseront ruiner par la communauté financière qui accomplit le dessein de son dieu, ce qui fera bien plaisir à certain Etat aux frontières indéfinies qui pourra ainsi mettre la main sur les réserves énergétiques méditerranéennes et positionner tsasale à Chypre si ce n’est plus avant sur le continent.
C’est triste d’être gouvernés par des cons élus par des inconscients.
Entre les cons élus par les inconscients et les cons élus par eux-mêmes au nom de Dieu, on se sent comme un con pris entre un marteau et une enclume ! Au sujet de l’Allemagne et de sa sortie de l’Euro, qu’en est-il de cette info http://www.agoravox.fr/actualites/e... sur leur réimpression de Marks ?
Quand on me parle de banque,de B.C.E, d’Europe, ou d’euro-bons, cela me fait penser toujours à cela :
http://www.youtube.com/watch?v=tuEX...
d’ailleurs comme les médias et le reste !
bien à vous E&R
Merci pour le lien, mdr ! En plus cette vidéo sera collector quand le Crédit Patate sera mouru.
L’Allemagne ne veut pas sortir de l’euro.
Tout au contraire, Merkel plaide pour toujours plus d’intégration européenne, une fédéralisation des décisions budgétaires, avec bien sûr, pour condition sine qua non la mise au ban des systèmes de protection sociale et une libéralisation largement accrue du monde du travail.
Les mouvements fédéralistes ont d’ailleurs toujours été en pointe de l’autre côté du Rhin, trouvant facilement des volontaires zélés pour remplir leurs contingents.
Quant au patronat allemand, grand bénéficiaire de la politique de rigueur menée en Allemagne depuis une dizaine d’années, il est un fervent défenseur du mondialisme, ayant les yeux brillant de mille feux quand il regarde vers les grands marchés émergents qu’il projette de conquérir.
Sur le principe du fédéralisme ils sont tous d’accords.
C’est le mondialisme de « gauche » contre le mondialisme de « droite » jusqu’à la convergence programmée des idéologies !
Nous sommes en route pour un scénario Orwellien façon « Eurasia »...
ça sent la dispute scénarisée à trois kiliomètres...
Ce qu’ils disent n’a absolument aucun sens.
Flamby : « moi je veux de la croissance » (je ne vois pas qui n’en veut pas mais apparement ses propos passent pour être “révolutionnaires” ! La vrai question c’est comment ? et c’est en général là que ça se gâte...)
Merkel : « ça mènerait l’Allemagne à la médiocrité » (plus qu’avant ??? ce ne serait pas tout simplement l’UE le problème ?)
Il savent bien que Merkel va se faire virer l’année prochaine ce qui laissera le champ libre à leurs eurobills-bounds-smarties pour nous imposer les états-unis d’Europe dont ils rêvent tous !!
Qu’est ce qu’un eurobonds ? Déjà un eurobonds n’a rien à voir avec une sortie ou non de la zone euro, puisque par définition un eurobonds est vendable sur les marchés en dehors de la zone euro. L’eurobonds est une mutualisation des dettes publiques des pays membres de l’Eurozone.
Au lieu de vendre des bons du trésor de manière individuelle, c’est-à-dire avec des taux d’intérêts différents, suivant la notation des agences boursières, Hollande propose de mettre toutes les dettes en commun et de les vendre sous un produit unique, les eurobonds, c’est-à-dire avec un taux rémunérateur également commun.
Ainsi, les grands investisseurs ne pourraient plus faire la différence entre, un bon du trésor grec, qui rapporte 1000 % pour 1 an et un bon du trésor allemand inférieur à 3 % sur la même période. Il est évident que les fonds de pension, les assurances et les grands investisseurs préfèrent acheter de la dette grecque que allemande.
Par ailleurs, le système social allemand est différent du système français. Les particuliers outres-Rhin détiennent la plus grosse partie de la dette par le biais de leur épargne retraite et autres assurances vie. Ce qui n’est pas le cas en France, où la plus grosse part des assurances sociales et basée sur la répartition immédiate et non sur l’épargne individuelle ou d’entreprise. Les allemands n’ont donc aucun intérêt à mélanger les dettes.
Néanmoins, Merkel est prête à accepter les eurobonds, à la condition que la France mette, toute sa réserve d’or, en garantie de sa dette. Elle demande le transfert de la totalité de la réserve d’or français, vers la banque centrale allemande. En association avec la Fed (comme par hasard...) Merkel veut profiter des eurobonds, très chers à Hollande, pour braquer la banque de France. Si hollande accepte de se coucher, la France n’aura plus aucune garantie à présenter à ses créanciers. Ce sera pour nous, la mise en esclavage pour dette.
Concernant les dires d’activistes comme Jovanovic, il y a des choses que je ne saisis pas bien...
La planche à billets est utilisée par les pays ayant conservés leur monnaie nationale, notamment l’Angleterre et les US.
Vu l’endettement de ces pays aujourd’hui, on pourrait penser que la planche à billets fait partie intégrante de la course à l’endettement, et en allant plus loin que conserver sa monnaie nationale ne vous fait pas du tout échapper à la crise mondiale (Roumanie, USA, Angleterre... ne me paraissent pas en meilleure posture que nous. La Grèce se sortira-t-elle vraiment de la panade en sortant de l’euro ?).
C’est pour moi un paradoxe, et je n’ai pas d’explication convaincante à y apporter.
Concernant les banques, pour vous se valent-elles toutes, ou bien y’en a-t-il d’un peu plus "éthiques" que d’autres ?
Notamment, y’a-t-il des banques qui ne sont pas créatrices de monnaie mais n’agissent que sur leur fond propre ? Et que penser des banques dite "solidaires" comme le crédit coopératif ?
N’hésitez pas si vous avez des réponses.
Une banque centrale crée de la monnaie pour pallier à un inconvénient passager. Sans rentrer dans les détails un peu trop complexes et pour appréhender les choses de manière peu orthodoxe, on peut prendre l’image d’une voiture. Elle a besoin de carburant pour rouler. On trouve facilement des stations pour faire le plein. Il arrive qu’une pièce du moteur casse. On trouve également facilement des garages pour changer la pièce défectueuse.
La planche à billets est l’équivalent de la station essence. Les banques centrales injectent de la monnaie dans le circuit pour faire repartir le moteur économique en créant un peu d’inflation, que les Etats équilibrent en général, par des baisses d’impôts pour inciter l’épargnant ou le spéculateur à faire circuler l’argent. Ainsi l’économie repart, jusqu’à la prochaine panne et ainsi de suite.
Mais ce qui se passe actuellement est différent. Les stations ont les cuves vides. Il n’y a plus de carburant, parce que des petits malins se sont branchés sur les cuves et ont tout siphonné. Tant que le véhicule a encore un peu de carburant, la situation reste contrôlable pour le conducteur, mais le jour où il doit se rendre à la station, s’il y arrive, les choses deviennent critiques. Les banques centrales font leur job. Elles injectent des billets tant qu’elles peuvent pour relancer le moteur. Mais en plus du manque de liquidité, il y a un 2è problème (un effet kiss cool) des pièces du moteur sont cassées et les banques centrales ne sont pas garagistes.
Seuls les Etats ont les outils pour remplacer les pièces défectueuses du système par des pièces neuves. Mais apparemment, ils ne sont pas décidés à changer les rouages de l’économie. En fait la voiture roule, parce que les gouvernements ont desserré le frein à main et ont demandé au conducteur de pousser le véhicule.
Après, il y a l’histoire de l’économie par la dette. En fait les siphonneurs de cuves ont trouvé un bon moyen de s’enrichir à peu de frais. En achetant de la dette des Etats. Plus les banques centrales injectent de la monnaie, plus les Etats s’endettent et plus les intérêts spéculatifs augmentent et plus les spéculateurs s’enrichissent.
Après, il y a aussi les lobbies charognards qui viennent profiter du festin en empêchant les Etats d’agir avant que les pays soient squelettiques.
Pour résumer, la création monétaire est utile qu’à la condition qu’elle soit accompagnée par des politiques de relances économiques voulues par les Etats.
Je ne sais pas s’il y a paradoxe, vraiment... Imprimer à foison n’a jamais été un remède miracle dans l’histoire de l’économie, en général c’est surtout le signe que tout va mal et que commence la fuite en avant (pour les USA c’est un peu spécial vu le statut de leur monnaie qui jusqu’à récemment était utilisée et stockée un peu par tout le monde, donc ils exportent leur inflation un peu dans le monde entier).
En fait, garder un controle sur la monnaie permet de s’adapter un peu mieux, si tant est que les personnes aux commandes pigent un peu les tenants et aboutissants de l’économie de leur pays, un peu d’inflation peut faire du bien par moments... Du coup en sortant de l’euro on peut (éventuellement) reprendre la main et arreter de dériver vers le précipice, mais ca va saigner de toute manière.
Un moyen de stabiliser un peu sa monnaie c’est d’en réindexer la valeur sur un actif tangible, genre métal précieux. Et aussi d’éliminer ce système qui nous fait rembourser des interets à des investisseurs qui devraient prendre plus de risques en financant directement l’économie qu’en cherchant des placements "100% surs" de bons du Trésor...
Merci pour vos réponses.
Cela signifie en tout cas que Marine Le Pen, lorsqu’elle parlait de l’intérêt de faire fonctionner la planche à billets en citant les états-unis, n’est pas très fine analyste...
En tout cas c’est sans doute le pire exemple pour prétendre que le système de la planche à billets fonctionne. Non ?
Sauf que l’article 67 de la constitution de 1958 a été aboli par la loi du 23 février 2007, réformant entièrement le titre IX de la Constitution française désormais intitulé « La Haute Cour ». Ce titre, qui comprend les articles 67 et 68, organise l’irresponsabilité politique et pénale à vie du président de la République. En effet, si ce dernier est en quelque sorte responsable politiquement devant les citoyens français (qui le sanctionnent par un vote lors des élections), il est, selon les textes, irresponsable pénalement. Ce statut du président a été créé pour le protéger des renversements abusifs et pour maintenir une certaine stabilité de la branche présidentielle de l’Exécutif.
Toutefois, le législateur a tenu à conserver l’article inscrit dans la constitution de la IIIè et IVè République, prévoyant que le président n’est responsable qu’en cas de haute trahison. Article bien utile pour justifier un éventuel coup d’Etat ;-)
Donc ni Sarko, ni Chirac et par avance, ni Hollande, n’ont à craindre des institutions pénales françaises.
et 
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