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Les profits de Call of Duty aux Bermudes

On connaît tous « Call of Duty ». Publié par l’entreprise Activision Blizzard, ce jeu vidéo est incontournable, et sa sortie fait toujours l’objet d’un gros buzz médiatique. Pourtant ces derniers jours, ce n’est pas le dernier opus qui fait parler de lui mais les méthodes financières utilisées par son éditeur.

Selon BFM Business, Activision Blizzard, basé en Californie, ne paye quasiment aucun impôt en dehors des États-Unis. C’est ce qu’on appelle de l’optimalisation fiscale, une méthode qui porte ses fruits. La preuve...

Selon BFM, « fin mars, 2,7 milliards de dollars de profits dorment aux Bermudes, soit 60% de la trésorerie totale de la société ». Fait encore plus marquant : alors que l’international représente la moitié des ses revenus, il ne pèse que 12% de l’impôt.

Pour arriver à ce résultat, le leader mondial des jeux vidéo aurait créé de nombreuses filiales aux Bermudes et au Delaware.

Pour rappel, jusqu’en 2011, c’est au Luxembourg que ses profits étaient hébergés.

 






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89 Commentaires

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  • #485960
    Le 6 août 2013 à 23:40 par Hanzo
    Les profits de Call of Duty aux Bermudes

    Call of Duty : Modern Warfare 3 est le produit culturel le plus lucratif dans l’histoire de l’humanité

     

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  • #485977
    Le 6 août 2013 à 23:59 par betavuille
    Les profits de Call of Duty aux Bermudes

    On peut voir une tendance se dessiner dans ce rapatriement du Luxembourg aux Bermudes ou au Delaware : le Luxembourg est une place de droit continental qui planque en principe l’argent de ses clients via le secret bancaire (même si techniquement on peut également y faire du Trust), alors que les Bermudes et le Delaware sont des places de droit anglosaxon qui utilisent uniquement le mécanisme du Trust à cette fin. Depuis les attaques anglo-américaines répétées contre la place financière suisse et son secret bancaire (également de droit continental comme le Luxembourg), celui-ci a été déclaré mort et n’inspire plus confiance aux clients. Et ceux-ci utilisent maintenant le Trust qui, oh comme c’est étonnant, ne fait JAMAIS l’objet d’aucune attaque par tous ces hommes politiques qui se disent scandalisés par le secret bancaire (de Suisse ou d’ailleurs). Pourtant le mécanisme du Trust, en matière de secret, c’est bien plus efficace et opaque que le secret bancaire !

    Cela dit, le véritable "secret bancaire" ce n’est pas celui des banquiers suisses ou luxembourgeois. Le VERITABLE secret bancaire c’est celui dont personne ne parle jamais, sauf un peu sur E&R et dans les livres proposés sur KontreKulture. Le VERITABLE secret bancaire c’est le mécanisme privatisé de la création de la monnaie au profit de banquiers privés qui se font leurs bonus en exigeant des intérêts aux Etats qui les paient avec nos impôts sur le revenu. Il est intéressant de voir comment "l’Univers" fait ressortir les vraies questions que l’on doit se poser, mais comme le système les dévie sur des questions d’animation sociétale annexes.

     

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  • #485984
    Le 7 août 2013 à 00:06 par ironkiba
    Les profits de Call of Duty aux Bermudes

    @ anonyme #485804

    Heu concernant Assassin’s Creed je suis pas tout à fait d’accord. Le jeu tacle aussi sévèrement l’église catholique romaine (Vatican) qu’il considère comme étant entièrement sous l’influence des templiers/francs-maçons.
    Donc pour moi la lignée des héros que tu incarne (les Assassins) sont de vrais faux héros.

     

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    • #486429
      Le Août 2013 à 15:52 par matrix le gaulois
      Les profits de Call of Duty aux Bermudes

      Exactement ! J’ai toujours considéré les Templiers comme un inversement du complot mondial (ce ne sont pas les inuits qui controllent tout mais des fondamentalistes chrétiens...mais oui bien-sûr) quant aux gentils (les assassins : on croirait qu’ils sont musulmans (hors ils ne semblent pas l’être, ils ne font jamais leur 5 prières) et en réalité, ils me font plus penser à un revival des Sicaires (les fanatiques juifs sous l’occupation Romaine)), donc le message : l’histoire jusqu’à aujourd’hui c’est :
      - templiers = méchants chrétiens qui contrôlent le monde.
      - assassins = gentils sionistes trop forts qui veulent le libérer.

      D’ailleurs regardez bien le logo de la série : une sorte de A (pour Assassin) stylisé qui ressemble à une pyramide...comme par hasard.

       
  • #485992
    Le 7 août 2013 à 00:17 par solaine
    Les profits de Call of Duty aux Bermudes

    Ceux qui nous gouvernent prennent peut-être un petit billet en passant..., raison pour laquelle ils ferment les yeux sur ces voleurs en col blanc qui profitent des failles du système financier... différent d’un pays à l’autre.
    Sauf erreur, j’ai pourtant entendu quelqu’un dire que les paradis fiscaux c’est fini !!!
    Mais en lisant cet article, je me rends compte au contraire qu’ils ont le vent en poupe !!!

     

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    • #486815
      Le Août 2013 à 19:58 par Soda
      Les profits de Call of Duty aux Bermudes

      Je ne vois que les détracteurs du jeu vidéo ici parler d’art. Il n’en est pourtant rien. A la rigueur, un graphiste ou un musicien va se servir de connaissances et compétences artistiques pour produire mais je ne crois pas qu’ils prétendent contribuer à une oeuvre d’art (après y’a toujours des gros prétentieux, hein).

      Il est possible comme vous dites que l’art soit un argument parmi d’autres pour appuyer une promotion commerciale. Mais franchement, je doute que les joueurs de Call Of Duty en aient quelques chose à foutre.

      Vous dites "que le divertissement c’est automatiquement de l’art" pourtant je n’ai vu personne ici soutenir cette thèse. Dans le langage courant on parle du JV comme d’une sous-culture, à l’instar de la BD. Enfin, on aime ou on n’aime pas ce terme... J’appelle ça tantôt des réalisations tantôt des créations.

      Vous ajoutez "que des codes ça fait une culture automatiquement et pas une forme de consommation".
      Il est vrai qu’un genre comporte des codes et on peut s’amuser à les observer aussi dans la musique par exemple (punk, metal reggae et même musette...). Enfin de là à dire que c’est automatique...
      Et hélas oui, c’est aussi une forme de consommation pour certains. Mais ce n’est pas l’un ou l’autre, ce sont les deux à la fois. Après il y a toujours le débat (nécessaire) sur la marchandisation de la culture ou des produits culturels ou des créations, c’est comme on veut.
      Mais là aussi, libre à chacun de considérer ça comme de la culture ou non. Personnellement non, car pour moi la culture a une dimension beaucoup plus grande.

      Quant à dire que le jeu vidéo est un sport... Vous y croyez sérieusement ? ça n’est qu’une grosse ficelle pour ce qui concerne les marques et encore un symptôme de bêtise de masse pour ceux qui s’adonnent à ce genre d’activité. Et ce qu’ils appellent l’E-Sport (fallait oser...) reste en somme assez marginal. Vous connaissez des pratiquants ?

      Et qui est donc ce "on" qui magnifie les jeux indé ? On sait tous que le marché tend à tout récupérer. Et effectivement, un constructeur comme $ony va vanter un titre comme "Journey" alors qu’il n’est pour rien dans sa création. Son propre modèle de développement le destinant plus à faire du "Call Of Duty". Mais peu importe, la scène indé perdure et restera toujours foisonnante.

       
  • #486048
    Le 7 août 2013 à 01:51 par seber
    Les profits de Call of Duty aux Bermudes

    Après "l’Effroyable Imposture du Rap", je pense qu’il va falloir s’atteler à la rédaction de "L’Effroyable Imposture des Jeux Vidéo" car il y a pas mal de monde atteint vu le nombre de commentaires débiles, et j’insiste, qu’on peut lire de la part de prétendus "dissidents".
    Il ne peut pas exister de "Culture des jeux vidéos". Quand j’entends ce genre d’expression, j’ai envie de sortir mon revolver XP-38-Z à quadruple canon virtuel.
    Tiens, il ne manquerait plus qu’on vienne me parler d’art. Au point où on en est. Ca ou Jeff Koones. Tout est (t)art(e).

     

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    • #486169
      Le Août 2013 à 09:54 par ced
      Les profits de Call of Duty aux Bermudes

      Autant tu trouves un grand nombre de livre de m*** (considéré comme de la culture)
      Autant tu trouves des tableaux de m*** (cf le ramassis de vomi de Nabe)
      Autant tu trouves de la musique de m*** (cf les radios mainstream)
      Autant tu trouves des films de m*** (du navet à plusieurs millions, y’en a à la pelle)
      Autant tu trouves des architectures incensés

      Tout ça répond de la "culture" !

      Pourtant, dans chacune des ces branches, se trouvent de pépites de perfection culturelle !

      LES JEUX VIDEO c’est pareil !

      C’est un art à part entière, certe encore plus récent que le cinéma.

      - La serie Metal Gear Solid
      - Ico
      - Shadow of Colosseus
      - Final fantasy
      - Shenmue
      etc....etc...etc...

      Il y a des dérives comme dans tous les milieux. Mais si pour toi, le jeu video n’est pas respectable, tu dois être de ceux qui ne voient de la richesse artistique que sur les murs de Lascaux !

      Tu es le dissident des cavernes !

       
    • #486184
      Le Août 2013 à 10:20 par mk
      Les profits de Call of Duty aux Bermudes

      sauf que en l’occurence il n’y a pas d’imposture.

       
    • #486203
      Le Août 2013 à 10:48 par Soda
      Les profits de Call of Duty aux Bermudes

      Le jeu cité ici est emblématique du big business. Si on fait la comparaison avec le cinéma, il s’agit d’un blockbuster comme l’est "Avatar". Aussi, a-t-il en commun tant de l’idéologie douteuse que des gros sous.

      Le jeu vidéo comme produit commercial est né dans les années 70 et a évolué de décennies en décennies. Si à première vue ce sont les bonds technologiques qui sont alors frappants, son marketing et donc son contenu a lui aussi évolué pour pouvoir toucher le plus grand nombre. Comme c’est, hélas, le cas de nombreux autres produits. (Sous-)Culturels ou non.

      Pour ma part je joue très peu mais me passionne pour les anciens jeux et participe à une communauté (hin hin :)) que l’on désigne comme "Retro". Car dans cette période des années 70-80 et jusqu’au début des 90, on trouve de nombreux titres originaux et surtout un savoir-faire encore artisanal (équipes réduites de 1 à 10 contre gros projets à plusieurs dizaines voire centaines). Bref, des créations à échelle humaine et à caractère pluridisciplinaire.

      Un savoir-faire qui m’a inspiré étant jeune et qui m’a donné envie d’apprendre le graphisme et l’informatique. Métiers que j’ai pratiqué et que je pratique encore bien que cela soit en dehors de cette industrie aujourd’hui tant industrialisée et marquetée qu’elle en est caricaturale. Sans regret pour ma part...

      Aujourd’hui il faut savoir qu’il existe un marché parallèle à celui des majors : celui des indépendants. Où les titres sont à nouveau développés par des équipes réduites. Où il est lieu de créativité car ici on ne parle pas de "franchise" mais on se creuse encore la tête pour produire un concept et rares sont les suites. Et surtout où les tarifs pratiqués sont raisonnables : 5€ en moyenne, souvent 1€ et même très souvent gratuit car il y a aussi de nombreux passionnés dans le lot.

      Et de même que pour le logiciel, la volonté de proposer un support matériel alternatif existe bien. C’est le cas de la console Ouya, projet de console financée par les internautes l’été dernier et sorti dernièrement pour beaucoup moins chère que chez les deux autres mastodontes, M$ et $ony.

      Donc comme malheureusement souvent, nous avons bien une masse de crétins et une minorité plus éclairée.

       
    • #486428
      Le Août 2013 à 15:51 par Kesu
      Les profits de Call of Duty aux Bermudes

      La relativité de la culture, c’est un truc qui vient des USA modernes, pour faire contrepoids sans doute aux cultures (emprunt d’histoire et de technicité) européenne.

      En fait, ça permet de vendre (industrie) et faire croire, comme répété par nombre de joueur avides de reconnaissance :
      - que le divertissement c’est automatiquement de l’art
      - que des codes ça fait une culture automatiquement et pas une forme de consommation
      - que le jeux vidéo est un sport

      On va magnifier les jeux indé (journey me fait plus penser à court métrage), la belle construction narrative de quelques jeux et on se retrouve devant le même débat frêle que les cinéphiles sur l’art, alors que c’est souvent du culturel business qui n’a essentiellement rien de culture dans son sens premier.

      Je ne dis pas qu’il n’y pas d’œuvres vidéoludiques appréciables, mais qu’on s’empresse souvent d’accoler ses propres fantasmes à des jeux vidéo qui sont souvent loin d’être pleinement exploités, d’avoir du génie.

       
  • #486215
    Le 7 août 2013 à 11:07 par nicolas
    Les profits de Call of Duty aux Bermudes

    Les jeux vidéos c’est comme les films y’en a qui servent a abrutir d’autre a éveillé les consciences ne mettez pas tout dans le même panier

    En films qui éveille les consciences il y’a ghost writer fight club certains épisodes d’au dela du réel et certains épisodes d’ x files le film JFK avec kevin costner ect.....

    Pour les jeux : Metal gear 1 et 2
    Les fameux Deus ex 1 et 2 plus deus ex human revolution qui sont en béton on apprend tout dans ces jeux la manipulation les corporations les épidémie provoqué par le gouvernement le gouvernement mondial les mots franc maçon et illuminatis sont employé souvent j’en dit pas plus on en ressort plus intelligent que dans mario c’est claire et nette

     

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    • #486356
      Le Août 2013 à 14:56 par matrix le gaulois
      Les profits de Call of Duty aux Bermudes

      Vous avez aussi la trame globale de la série Bio Hazard (resident evil dans nos contrées) dont le principe est assez simple (pas besoin de faire tous les épisodes) :

      Les entreprises privées (anglo-américaines ou chinoises) peuvent manipuler le vivant, faire tuer qui bon leur semble (jusqu’à provoquer une explosion nucléaire) & être si puissantes qu’aucun état ne peut leur demander quoi que ce soit (d’ailleurs on se demande à la fin si l’état n’est pas lui-même une succursale de ces méga-corporations).

      Très riche en symbole : l’antagoniste principal se nomme Umbrella Corporation.
      - le logo d’Umbrella ressemble à celui de Microsoft.
      - Rien que le logo est tout le symbole de l’hypocrisie de cette entreprise (ça sent qu’ils ont des communiquants puissants) : un parapluie (ou une ombrelle), quelque chose qui est censé protéger ceux qui s’y abritent...mais qui en réalité cause beaucoup de malheurs.
      - Elle a plus de moyens qu’Ikea, Microsoft, Areva, General Motors & les U.S.A. tous réunis.
      - Comme Monsanto, elle manipule le vivant et finit par créer des monstruosités (d’où le "hasard biologique" du titre)
      - Elle transgresse ce qu’il y a de plus sacré (faire revenir les morts à la vie) afin de créer un homme nouveau, affranchis de la mort et totalement soumis à Umbrella...la franc-marçonnerie ?
      - Elle pratique évidemment la vivisection, les expériences les plus hasardeuses sur des cobayes, y compris humains.
      - Elle semble omni-présente, plaçant ses agents partout, même au sein de la résistance, elle est un état dans l’état (le lobby Inuit).
      - Elle emploie des forces spéciales composées de maniaques & de sadiques recrutés sur un peu tous les champs de bataille du monde (Black Water).

      Bref, une sacrée synthèse des entreprises privées toutes puissantes qui prennent l’ascendant sur l’état...et une symbolique également du cauchemar du salariat (dans presque tous les épisodes vous avez au moins un passage où vous devez abattre des "zombis" dans des bureaux, une salle d’informatique, un laboratoire ou une usine ; le message en substance : le salarié parfait c’est quelqu’un qui n’a plus de vie (on rappellera que ce jeu est japonais et le suicide au travail là-bas, c’est un sujet très grave & tragique)).

      Évidemment, il ne faut pas se faire d’illusion : c’est une pompe à fric et on peut vivre sans y jouer (moi-même, je n’y ai jamais trop joué) mais on ne peut pas dire que le propos soit inintéressant ; ici il ne s’agit pas de tuer des Irakiens.

       
  • #486302
    Le 7 août 2013 à 13:39 par spoutnik
    Les profits de Call of Duty aux Bermudes

    il y a un détail qui me fait tilter a chaque fois dans ces jeux
    c est en fait l état du monde dans lequel évolue les personnages
    le dernier sortie se passe en 2025 on y retrouve l armée américaine traquant un terroriste essayant de fédérer le continent sud américain et certain pays musulman contre les états unis d Amérique
    dans ce jeux le nouvel ordre mondiale est en place

    l armée américaine avec l otan "qui porte un autre nom dans le jeu "décide de tout
    en gros qui vit et qui meurt (c est pas des connerie c ’est vraiment ce qu on ressent en y jouant)
    bref ce terroriste (en fait un nouveaux Hitler ) parle de liberté des peuple a se diriger eux même sans ingérence extérieure et pour cela il est catalogué comme extrémiste et radicalement dangereux pour la sécurité de tous
    et pour le discréditer encore dans ces idée ils le montre comme un personnage sadique tortionnaire et impulsif

    donc d un coté on a un fou dangereux terroriste ;répressif assassin et désaxée dans sa tète et qui parle de combattre le nouvel ordre mondiale
    et de l autre on a la gentille brave respectueuse et pleine d honneur .
    cette armée américaine qui représente le N.O.M

    propagande quand tu nous tient

     

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    • #486393
      Le Août 2013 à 15:25 par matrix le gaulois
      Les profits de Call of Duty aux Bermudes

      La pire propagande c’est celle qui ne se voit pas au premier coup d’oeil :

      Avez-vous remarqué que dans la plupart des jeux, des films, des séries ou des livres (récents...la sf des années 70 se tenait mieux) parlant de la société future (star wars, par exemple) : systématiquement, la monnaie s’appelle "LE CREDIT" ! Sans déconner ! Une monnaie qui s’appelle "le crédit" ou autrement dit "la dette"...pour vous payer à manger vous dépensez de la dette...ce détail m’a toujours frappé !

      - Au moins, dans Fondation d’Isaac Asimov : l’or a toujours cours.
      - Et dans Star Trek : vous avez certes un "nouvel ordre mondial" qui se nomme la Fédération...mais elle essaie de vivre à peu près en paix avec ses voisins extra-terrestres...et en plus la question du droit à être indépendant face à ce N.O.M. qu’est la fédération est fréquemment posée (beaucoup de colonies profitent de l’éloignement pour arracher leur indépendance...et y arrivent sans être traitées en ennemies).

       
  • #486319
    Le 7 août 2013 à 14:07 par kirikou
    Les profits de Call of Duty aux Bermudes

    Les jeux video un art ? Non faut pas déconner quand même.
    Je ne suis pas anti jeux video puisque j’y joue de temps en temps, assez rarement même, mais vous devez vous rendre compte que tout ça c’est une industrie de divertissement.
    Donc pendant que vous passez des heures et des heures à jouer, vous ne vous intéressez pas aux choses plus importantes comme la création monétaire, la fr maç etc...
    Bon si vous êtes sur ER c’est que probablement vous êtes déjà eu courant de ces sujets, mais pensez à la masse qui n’est au courant de rien.
    Autre forme de divertissement : les séries télé, depuis une dizaine d’années elles sont de plus en plus populaires, c’est une vraie mode avec des gens qui en regardent énormément et quasi que des séries américaines. Alors je reconnais qu’il y en a qui sont vraiment bonnes (Les Soprano par exemple) mais voilà tout ça c’est des heures et des heures de perdues et même de propagande americaine : les americains sont les gentils et les arabes sont mechants par exemple, banalisation et apologie de l’homosexualité, etc...
    Je pense qu’il y a une volonté de distraire les gens pour les éloigner des vrais sujets.

     

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  • #487148
    Le 7 août 2013 à 23:56 par Insensé
    Les profits de Call of Duty aux Bermudes

    Je suis personnellement un passionné de call of dutty tant dans sa jouabilité que dans ses qualités graphiques. Cependant il faut réellement débrancher son cerveau pour y jouer car c’est un énorme outils de propagande américano-sioniste, exemples : les scènes où il faut tuer Fidel Castro, les méchants sont systématiquement les mêmes populations : Arabes, Russes, Nord Coréens, Iraniens, etc.

    Autre information que j’ai relevé personnellement : il est possible de jouer en ligne et de créer un clan que l’on peut nommer comme on le souhaite (4 lettres maximum), quasiment toutes les combinaisons sont possibles sauf : "NAZI" (que l’on peut aisément comprendre), mais plus choquant encore : "GAZA" !
    On comprends cependant un peu mieux lorsque l’on s’intéresse au comité de direction de cette société, dont le CEO n’est autre qu’Eric Hirshberg (comprendra qui pourra)

    _

     

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  • #492467
    Le 14 août 2013 à 03:49 par 564564654
    Les profits de Call of Duty aux Bermudes

    oh la... c’est qun jeu bande de noobs qui semballent sur la violence, etc...
    Allez mattez vos gonzos en tranquilité pour ensuite vous emballer sur des jeux . mais mdr..

     

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