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Les guerres et la nécessité de l’ennemi

 






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12 Commentaires

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  • #46822
    Le 20 septembre 2011 à 17:14 par theshield95
    Les guerres et la nécessité de l’ennemi

    Lire le bouquin remarquable de Webster G. Tarpley, "La Terreur Fabriquée" , qui traite notamment des opérations sous faux drapeaux ("false flag") .... et du 11 Septembre. Essentiel.
    Absolument.

     

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  • #46939
    Le 20 septembre 2011 à 23:28 par loubaron
    Les guerres et la nécessité de l’ennemi

    Rudolf Steiner en 1917 : "Si l’on veut fonder une domination commerciale-industrielle mondiale, alors il faut d’abord diviser en deux le principal domaine concerné. Je ne peux m’exprimer que par une comparaison :[...] Imaginez-vous un professeur sans élèves – cela n’existe pas. De même, il ne peut y avoir un commerce sans un domaine qui lui fait face. C’est pourquoi, comme le commerce britannique est fondé d’un côté, il faut créer le pôle russe qui s’y oppose et lui correspond. […] On ne peut faire du monde un royaume unitaire ; on ne pourrait pas simplement fonder un royaume commercial mondial. […] Il doit y avoir une dualité. […] c’est une grande, une gigantesque pensée de ces fraternités occultes dont je vous ai parlé. C’est une pensée gigantesque : créer l’opposition à côté de laquelle tout le reste semble être une bagatelle, cette opposition entre l’impérialisme commerciale britannique et ce qui vient de l’espace russe […]." (1917 !)

     

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  • #47005
    Le 21 septembre 2011 à 07:48 par fabrice
    Les guerres et la nécessité de l’ennemi

    la nécessité de l’ennemi quant à sa fabrication n’est pas ce que je pense être la première nécessité, mais plutôt la nécessité d’avoir les raisons d’attaquer l’ennemi, car je pense que tout compte fait l’ennemi est déjà désigné et à toujours été présent : c’est tout le monde. En résumé que voit on à chaque fois ? Des false flag, les false flag sont les prétextes qui donnent raison de faire quelque chose contre quelqu’un. Du nord au sud et d’’Est en ouest, l’ennemi est partout pour les mondialistes apatrides oligarchiques, ils leurs faut les raisons d’agir seulement. Je ne pense pas que les guerres soient provoquée parce qu’il y la nécessité d’avoir un ennemi pour faire tourner la machine militaro-industrielle ou parce que c’est "l’autre" pour ses raisons identitaires ou de présupposés bénéfices à en tirer, cette industrie est la parce qu’elle est le moyen de parvenir aux fins et non pas un moyen de se faire un buisness qu’il faut inlassablement nourrir avec cette nécessité de l’ennemi. Une fois qu’un ennemi est maîtrisé, ils passent au suivant parce que c’est le plan de conquête et de gouvernement totalitaire oligarchique. Le but oligarchique est de trouver inlassablement des raisons de gagner et de détenir tous les pouvoirs, le totalitarisme ; le pétrole est un faux prétexte aux guerres contre le pays producteur comme ennemi supposé, sinon pourquoi créer des officines influentes mondialiste comme le bilderberg ou le cfr et des think tanks si il y avait une simple nécessité de l’ennemi parce qu’il est l’autre pour une futile raison identitaire ou parce qu’il y a un supposé bénéfice à faire en se gardant le pétrole parce que ça fait du pognon. Le but final est bien la maîtrise de tout par l’argent, l’énergie et les ressources en se proccurant les richesses sur de faux prétextes. Certes, géopolitiquement on peut distinguer que la conquête semble stratégique sur certains points à certains endroits, mais politiquement il y a aussi ce même phénomène de la nécessité de trouver les raisons de maîtriser l’ennemi par la politique des Etats, par exemple : lois sociales bafouées, lois de l’enseignement révisées, médiamensonges, immigration, crises économique des etats souverains, chômage etc. Je ne pense pas que l’on puisse isoler le problème qu’évoque Chauprade à seulement sa géopolitique militaire et des bénéfices à en tirer financièrement avec son prétendu vide à combler.

     

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  • #47006
    Le 21 septembre 2011 à 07:49 par fabrice
    Les guerres et la nécessité de l’ennemi

    suite...
    La guerre est partout et de toute forme, il ne suffit pas d’envoyer un char et de faire saigner l’ennemi pour dire qu’il y a une guerre.

     

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    • #47383
      Le Septembre 2011 à 15:32 par Elevaton
      Les guerres et la nécessité de l’ennemi

      et elle est avant tout spirituel ! l’oligarchie le sait tres bien et je crois qu’ils commencent a avoir tres peur que les peuples se reapproprient certaines energies, gratuites qui plus est, et que cette bande de degenerés tante de controler et d’empecher de nous atteindre, mais ils ne pourront pas !
      leur projet s’appelera le nouveau fiasco mondial !

       
  • #47007
    Le 21 septembre 2011 à 08:07 par fabrice
    Les guerres et la nécessité de l’ennemi

    Réduire les etats unis à une simple puissance seule et unique c’est dire faussement la vérité, si chauprade avant écrit et dit qui sont ceux qui gouvernent les etats unis il ne passerait jamais sur rfi ou une autre émission radiophonique. Ce qu’il dit est bien, mais ce n’est pas tout et ça conforte que trop facilement. Il n’enseigne plus mais il a toujours un poste... cherchez l’erreur.

     

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  • #47074
    Le 21 septembre 2011 à 14:40 par ai
    Les guerres et la nécessité de l’ennemi

    C’est hallucinant de voir ce que dit Pierre Conesa quand il prétend que les hommes politiques grecs n’ont pas essayé de réduire la tension entre la Grèce et la Turque .
    Comme si cela pouvait être fait unilatéralement par la seule Grèce...
    C’est le parlement turc qui a voté en 1995 la loi du casus belli selon laquelle la Turquie considérerait comme acte de guerre l’application par la Grèce du droit international en fixant ses eaux à 12 milles nautiques (et à la ligne médiane quand c’est impossible).
    C’est vraiment ignorer totalement l’histoire des deux pays que de dire que les hommes politiques grecs n’ont pas essayé.
    Il y a eu énormément de tentatives de rapprochement, énormément : de Vénizélos en passant par Papandréou l’actuel premier mnistre. Enormément, depuis les années 20 jusqu’à nos jours ; même la dictature des colonels en 1967 a tenté un rapprochement.
    Vraiment je suis scotché qu’un soi disant spécialiste ait une analyse aussi médiocre.
    Le vrai problème entre la Grèce et la Turque est justement le déséquilibre créé par la toute puissance turque qui va croissante. (pour reprendre la terminologie de M. Chauprade, qui semble beaucoup plus sérieux et modéré dans ses analyses que ce M Conesa dont le ton est par ailleurs extrêmement péremptoire)
    Jusqu’à preuve du contraire c’est la Turquie qui revendique des îles grecques ou conteste la souveraineté de certains espaces maritimes de la Grèce ou de Chypre (voir en ce moment la crise sur les recherches pétrolières à Chypre) et la Grèce ne revendique rien ; je passe sur le fait que la Turquie ait envahi Chypre, le fait que laTurquie ait expulsé tous les Grecs d’Istanbul entre 1955 et 1967).
    Lisant le grec et m’intéressant à ces questions mon opinion personnelle est que les hommes politiques grecs ont cédé volontiers à de plusieurs reprises et le problème vient peut-être de là aussi (l’appétit vietn en mangeant et la Turquieest peut-être encouragée par la politique grecque de reculades permanentes ; un exemple les îles d’Imbros et Ténédos en Turquie devaient être à majorité grecque et autonomes selon le traité de Lausanne ; la Grèce n’a jamais revendiqué l’application du traité de Lausanne sur ce point)

     

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  • #47153
    Le 21 septembre 2011 à 18:34 par Strounga
    Les guerres et la nécessité de l’ennemi

    Pas impérialiste la Chine ?
    Il faudrait en parler aux mongols, aux tibétains, aux ouïgours, aux... , aux...
    Et oui, las Malvinas son argentinas, Volveremos !
    Et si demain, les grecs baissent la garde face aux turcs, sans que ceux-ci n’aillent dans le même sens, je ne donne pas une décade de répit aux héllénes.

     

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  • #47255
    Le 22 septembre 2011 à 03:58 par Thorwald
    Les guerres et la nécessité de l’ennemi

    Chers lecteurs et passionnés de géopolitique, j’aimerais vous conseiller quelques ouvrages de références à posséder absolument pour ceux qui souhaitent en savoir un peu plus sur notre monde :
    - Géopolitique, Constantes et changements dans l’histoire ; Aymeric Chauprade ; Ellipses ; ISBN : 2- 7298-1122-2 (très bonne référence)

    - Chronique du choc des civilisations ; Aymeric Chauprade ; Chroniques Editions ;
    ISBN:978-2-918978-80-0 ; 31€

    - Le grand échiquier ; Zbigniew Brzezinski ; Bayard Editions ; ISBN : 2-227-12519-0 ; 19,06€

    - Géopolitique ; Yves Lacoste ; Larousse ; 35€
    - La géopolitique, les relations internationales ; Pascal Boniface ; Editions Eyrolles ; 10€
    - La véritable histoire des Bilderbergers ; Daniel Estulin ; Editions Nouvelle Terre ; ISBN : 978-2-9518345-9-0 ; 22€ (ouvrage indispensable)

    - Les 36 stratagèmes, manuel secret de l’art de la guerre ; Rivages poche/Petite Bibliothèque ; 8,50€

    Bonne lecture à tous les géopoliticiens et aux joueurs d’échec, que la Force soit avec vous...

     

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    • #47326
      Le Septembre 2011 à 12:20 par leeloo
      Les guerres et la nécessité de l’ennemi

      Tu peux ajouter à ton panier "La Stratégie du Choc" de Naomi Klein

      Merci à tous pour vos idées de lecture, quelques uns manquaient à ma bibliothèque