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Nikola Mirkovic et François Martin : ’’ La guerre en Ukraine n’est pas une guerre territoriale’’

 

 

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9 Commentaires

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  • On vient de voir un autre exemple que la guerre menée en Ukraine est également livrée à des enfants dans les écoles britanniques : au Rye College (dans l’est du Sussex), une enfant de 13 ans s’est fait coller en retenue, conscrire pour un "dialogue éducatif approprié", annoncer qu’elle serait visée part un rapport défavorable, et menacer de devoir fréquenter une autre école si elle n’adhérait pas à la notion selon laquelle chacun choisirait son genre.

    L’escalade commence lorsque l’enfant déclare qu’il y a quelque chose qui cloche chez une autre élève qui s’identifie comme un chat.

    L’institutrice qualifie cette affirmation d’abjecte, que cette personne est libre de s’identifier comme elle l’entend, que l’affitmation voulant qu’il n’y aurait que 2 genres ne constitue pas une "opinion" (comme le clame l’élève grondée), mais qu’elle a plutôt à voir avec l’homophobie qui ravage le monde, et qu’elle ce genre de propos n’a pas droit de cité dans sa classe,

    https://www.dailymail.co.uk/news/ar...

    Tollé de protestation chez les parents. Du côté de l’école c’est le silence radio.

     

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  • C’est clair, l’Ukraine n’est pas une Nation, juste un lego bidouillé par l’URSS à partir de 1920. Avant, l’Ukraine n’a jamais existé. Des territoires prussiens devenus polonais puis soviétiques (Lviv, Loutsk, Ternopil), des parcelles de l’ex empire autro-hongrois devenus hongroises ou roumaines (Oujhorod, Ivano-Frankivsk, Tchernivsti), et le reste (75%) était russe. La langue ukrainienne n’est qu’un vulgaire patois, la religion orthodoxe est majoritaire, tout comme le gène slave.
    L’URSS a créé l’Ukraine (et le Belarus) pour en faire un champs de batailles il y a 100 ans. On y est. L’intervention russe a permis d’éviter une épuration ethnique totale des populations russes ukrainiennes, soit 20-30 millions d’habitants. Staline n’avait pas prévu ça. Les pauvres ukrainiens paient maintenant le prix fort, à débit, du merveilleux chant des sirènes de l’occident.

     

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  • Un peu mon n’veu ! De toute façon quand BHL est dans le coup, c’est bon pour Israël...

     

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  • Il semblerait que la propagande où l’Ukraine aurait une histoire très ancienne est à l’œuvre actuellement : Fiche wikipédia, lien google vers des sites d’histoire, tout est retranscrit en mettant les mots "Ukraine" et ses adjectifs pour coller à leurs narratifs.

     

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  • #3198315

    Excellente conférence. On en redemande.

     

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  • Alors que Mirkovic fait vaguement allusion (et de manière un peu gênée) aux difficultées qu’il y auraient à expliquer l’intervention russe en se fondant sur le droit international, Scott Ritter explique de manière détaillée (et avec l’aplomb d’un ex-Marines) que les russes servent à l’occident le scénario mis en oeuvre par l’OTAN en ex-Yougoslavie. En d’autre mots, si ces règles sont bonnes pour l’OTAN, elles le sont également pour la Russie.

    Certains ont tendance à oublier que le droit international n’est pas fait que de traités. Il est également façonné par l’effectivité et l’accumulation de précédents.

     

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  • Je ne suis pas sûr que le début de l’opération spéciale en Ukraine avec l’attaque sur Kiev ait été préméditée côté Russe.

    En février 2022, c’est Zelinski qui s’apprètait, lui, à passer à l’offensive dans le Dombass. Il avait constitué un corps de bataille de 150 000 hommes et la cadence de l’artillerie kievienne était multipliée par 40 en février 2022 contre les Ukrainiens pro-russes. A cette époque, quelles étaient les troupes russes disponibles à proximité de l’Ukraine ? Celles en manoeuvre en Bielorussie.

    Poutine attaque Kiev et fait plier Zelinski dans le Dombass. Mais l’Otan attendait les Russes de pied ferme avec des armes anti char modernes. D’autant plus que la période était mauvaise pour le mouvement avec les conditions météo qui imposait aux blindés de rester en colonne sur les routes praticables. Ce fut un désastre obligeant les Russes à se retirer.

    Poutine n’a pas tout perdu en se rattrapant à l’est. Mais s’il a envahi ensuite les zones russes de l’est ukrainiens, il n’a pas percé la "ligne Maginot" kievienne lui permettant d’occuper la totalité des régions russophonne du Dombass. Sauf peut-être à Marioupole qui a constituer La véritable victoire pour Poutine.

     

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