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Obama contre le lobby pro-Israël

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Article initialement publié dans l'atelier E&R

Avec la nomination de Chuck Hagel au poste de secrétaire à la Défense, le Président se risque à une épreuve de force dont ses prédécesseurs s’étaient bien gardés. Cela pourrait-il être le signal d’un changement stratégique de politique étrangère ?

Pour la première fois depuis 40 ans, le chef du Pentagone est à nouveau un homme disposant d’une expérience militaire forgée au combat. En 1967, Chuck Hagel s’est porté volontaire pour le Vietnam où il a été blessé – son corps en porte encore les stigmates – et deux fois décoré. Il aurait pu pourtant effectuer son service militaire dans la paisible Allemagne de l’Ouest, cependant il choisit plutôt de s’engager sur le théâtre de guerre, en Indochine. Contrairement à ses prédécesseurs, et sur la base de sa propre expérience, Hagel sait donc parfaitement ce que signifie envoyer des jeunes gens sur le front. Cela n’a pas fait de lui un pacifiste pour autant, mais plutôt un réaliste. Et c’est précisément pour cette raison que cet homme de 66 ans constitue pour certains un élément de perturbation.

À peine l’éventualité d’une nomination de Hagel fut-elle envisagée en décembre 2012, qu’une campagne hostile et nauséabonde s’engageait dans les médias américains et israéliens. Selon le Jerusalem Post, ce dernier aurait un « problème juif » alors que, selon l’influent Sénateur Lindsay Graham, il se situerait « en dehors du courant dominant » puisqu’il deviendrait alors « le secrétaire à la Défense le plus hostile à Israël de l’histoire de notre nation ». Selon le Wall Street Journal, il exhalerait de lui comme « une odeur » d’antisémitisme. Le Weekly Standard, l’organe maison des néoconservateurs – Donald Rumsfeld, le secrétaire à la Défense de Bush, en faisait distribuer systématiquement quelques centaines d’exemplaires au Pentagone – accusa Hagel de faire preuve d’une « hostilité récurrente » envers Israël. Ainsi, le journal rapporta les propos suivants d’un employé républicain du Sénat : « Qu’on nous impose Hagel et nous allons faire en sorte que chaque Américain sache qu’il est un antisémite. » Quand Obama donna confirmation de son choix début janvier, le journal Hayom, proche du gouvernement israélien, fit savoir que l’entourage de Benjamin Netanyahou considérait la nomination de Hagel comme « un très mauvais choix ». Entre-temps, en Allemagne, la presse Springer avait également dégainé. [1]

Ainsi, dans le journal Die Welt, il fut qualifié de « stupide », tandis que le Bild-Zeitung estima que la décision du Président « avait soulevé une vague d’indignation » dans un article ayant pour titre « Le nouveau ministre d’Obama : Un ennemi d’Israël ? »

La violence de ces attaques est également à rechercher dans le fait qu’avec Hagel, le Président issu du camp démocrate a choisi d’envoyer un républicain au Pentagone, comme ce fut déjà le cas en 2009 avec Robert Gates. Cela suscite de la rage au sein du parti d’opposition, avant tout parmi les néoconservateurs, qui voient en Hagel le type même du conservateur traditionnel qui, s’il devait faire bonne figure aux yeux de la base conservatrice, à son poste ministériel, pourrait constituer une dangereuse épine dans leur pied. Hagel s’affiche ostensiblement comme catholique et opposant à l’avortement. De plus, en 1998, il s’est ouvertement opposé à la nomination au poste d’ambassadeur des États-Unis d’un candidat qualifié par lui d’« homosexuel agressif » [2].

Voilà qui plaît aux fermiers du Middle West et qui devrait pousser son parti à mettre en avant un vieux briscard de ce calibre. Pourtant, de façon malveillante, il est décrit comme étant « à la gauche d’Obama », ce qui est à peu près aussi pertinent que de situer Peter Gauweiler, le poil à gratter de la CSU, à la gauche de Steinbrück [3].

Le fait que les néoconservateurs s’opposent ainsi à Hagel repose sur quatre raisons principales qui ont toutes à voir avec le Proche-Orient. Tout d’abord, il n’a soutenu la guerre en Irak qu’à ses tout débuts, en 2003, avant de s’y opposer par la suite, arguant que Bush « jouait au ping-pong avec la vie d’Américains ». Par ailleurs, il a défendu le point de vue suivant : « Israël est notre ami et notre allié et nous devons assurer nos devoirs à son égard mais en aucun cas au détriment du peuple palestinien. » Troisièmement, il a voté plusieurs fois contre une aggravation des sanctions à l’égard de l’Iran et, dans la continuité de sa position, il s’est toujours opposé à toute intervention militaire. Concernant la question d’une hypothétique arme nucléaire iranienne, il ne partage ni l’obsession panique des néoconservateurs, ni l’opposition mesurée tout autant que ferme d’Obama à ce sujet. Le « génie des armes nucléaires est déjà sorti de sa bouteille, quoi que fasse l’Iran », a-t-il écrit de façon lapidaire, en 2008. Et enfin, et ce n’est pas le moindre, en 2006, dans le cadre du Congrès des États-Unis il a exprimé le constat suivant : « Au sein de cette assemblée beaucoup de gens sont sous l’intimidation du lobby juif. » C’est ainsi que lorsque la puissante organisation lobbyiste American Israel Public Affairs Committee (AIPAC) présente un projet de résolution, elle recueille la signature de 80 à 90 sénateurs en moins de temps qu’il ne faut pour le dire. Si lui-même n’a encore désigné personne nommément, il a fait savoir qu’il tient une telle attitude pour « stupide ». Pour conclure avec ses propres mots, il n’est en aucun cas « un sénateur israélien mais un sénateur des États-Unis ».

L’utilisation de l’expression « lobby juif » par Hagel est particulièrement significative. À ce propos, il convient de rappeler qu’en Israël même – cf. l’article que le Jerusalem Post a consacré à Hagel le 26 décembre 2012 – l’AIPAC est décrite comme « ha lobby hayehudi », à savoir sous les termes de « lobby juif ».

En dénonçant comme il le fait les pressions exercées par cette organisation sur les politiciens, Hagel exprime ce que beaucoup pensent tout bas. En l’occurrence, le mécanisme d’intimidation ne repose pas sur des manifestations de violence pure mais sous une autre forme. Par exemple, quand un politicien prend des positions conformes aux intérêts du lobby, alors l’AIPAC intervient pour le mettre en contact avec des sponsors. Au contraire, s’il ne le fait pas, il voit une campagne dans les médias ou sur Internet immédiatement diligentée contre lui. En février 2007, l’ancien président Jimmy Carter a résumé les choses de la façon suivante : « Pour un membre du Congrès qui souhaite être réélu, ce serait presque un suicide politique que de soutenir une position contraire à celle du gouvernement conservateur israélien. »

Un autre ancien président, à savoir Bill Clinton, a évoqué quant à lui le « lobby le plus efficace de Washington ». Qu’on en juge : chaque année, l’AIPAC peut compter sur un budget de 47 millions de dollars, sur 100 000 membres à l’échelle du pays et sur un siège national situé à Washington comptant plus de cent lobbyistes, spin doctors [4], publicitaires et autres éminences grises classés parmi les plus illustres sur la liste publiée par le National Journal en 2005, ce qui fait de cette organisation le deuxième lobby en importance après celui des armes représenté par la fameuse National Rifle Association. À l’occasion de l’assemblée générale annuelle de l’organisation, l’énonciation de la liste de tous ses sympathisants dans le monde politique dure pratiquement une demi-heure. Depuis des années, indépendamment de l’appartenance politique des présidents successifs, la majorité des membres du Sénat, un quart des membres de la Chambre des représentants, plus de 50 ambassadeurs ainsi que des douzaines de hauts fonctionnaires gouvernementaux figurent sur cette liste.

Qu’Obama ait réussi à imposer son secrétaire à la Défense dans ce contexte de vents contraires et à se sortir de l’impasse dans laquelle il risquait de s’enfermer, ne fut rendu possible qu’en raison du soutien d’une grande partie des généraux les plus et les mieux décorés, ainsi que de celui des experts en stratégie les plus renommés. Pour aller plus loin, on pourrait d’ailleurs avancer que ce sont précisément les accusations du lobby pro-Israël et des néoconservateurs contre Hagel qui, par leur côté excessif et perfide, ont suscité une contre-réaction au sein de l’establishment, pour la première fois depuis bien longtemps, et encouragé l’école dite réaliste à oser sortir de la clandestinité.

À cet égard, ceux qui ont toujours pensé que la politique extérieure US était conduite en sous-main par un centre de pouvoir collectif à trois têtes, à savoir Henry Kissinger, Georges Soros et Zbigniew Brzezinski, sont désormais dans l’obligation de reconnaître, devant les marques d’hostilité qui s’expriment au grand jour, qu’un tel centre de pouvoir homogène n’existe pas. C’est ainsi que Zbigniew Brzezinski s’est ouvertement exprimé, aux côtés d’autres conseillers de présidents précédents (James L. Jones, Brent Scowcroft, Frank Carlucci) et cela avant même que le président Obama ait fait connaître son choix en faveur de Hagel, pour faire savoir qu’à ses yeux, le sénateur serait « un homme d’une intégrité et d’une sagesse inébranlables qui, dans la guerre comme dans la paix, avait servi son pays de la manière la plus noble ». De même, dans une prise de position commune, onze responsables militaires parmi les plus haut gradés se sont prononcés de manière élogieuse en faveur de Hagel, voyant en lui un « solide dirigeant du Pentagone » ainsi qu’ « une voix modérée et équilibrée dans une époque troublée et déséquilibrée ». Parmi d’autres signataires, on compte par exemple l’amiral William J. Fallon et le général Anthony Zinni, deux des plus récents responsables de l’US Central Command (CENTCOM) qui est la structure de commandement des opérations de guerre au Proche-Orient (Zinni en fut le responsable de 1997 à 2000 et Fallon de 2007 à 2008).

Tout comme son mentor John Kerry, le nouveau ministre des Affaires étrangères Hagel est un tenant de la doctrine Powell, doctrine qui fut mise en œuvre lors de la première guerre d’Irak, en 1991, alors que Colin Powell était commandant suprême des forces armées US. À cette époque, il était convenu que les États-Unis ne rentraient en guerre que quand les conditions suivantes étaient réunies : lorsque la Nation était face à une menace, lorsque l’on disposait d’une supériorité militaire importante, lorsque l’on disposait du soutien de l’opinion publique et enfin lorsqu’il existait une claire stratégie de sortie de guerre.

Lors de la deuxième guerre d’Irak menée sous la présidence de Georges W. Bush, c’est au contraire principalement la doctrine Rumsfeld qui prévalut, celle-ci étant fondée sur les principes suivants : il serait autorisé et parfaitement légitime d’intervenir militairement pour exporter la démocratie ; il ne serait nullement nécessaire pour cela de disposer d’une supériorité militaire avérée puisque les opprimés accueilleraient de toute façon les soldats US comme des libérateurs ; enfin, l’existence d’une stratégie de sortie de la guerre ne constituerait qu’un luxe supplémentaire.

Le général Petraeus, chef des forces armées américaines en Afghanistan de 2010 à 2011 puis chef de la CIA sous le premier mandat Obama, ne fit que mettre en œuvre cette doctrine dans une version modifiée. En lieu et place des strictes conditions nécessaires au déclenchement d’un « large » conflit avancées par Powell, il substitua l’idée de conflits « limités » et de guerre antiterroriste généralisée. C’est dans cette perspective que Petraeus révisa le manuel officiel de contre-insurrection (Field Manual on Counterinsurgency). Ce qu’il avance dans cette nouvelle mouture pourrait paraître parfaitement inoffensif à première lecture. Ainsi, dans cette version, c’est la protection des populations civiles qui est mise en avant plutôt que l’élimination physique de l’adversaire. Dès lors, cela implique que la victoire militaire ne constitue plus forcément l’objectif recherché mais que c’est plutôt l’équilibre fragile d’une situation qu’on essaie de préserver. C’est exactement ainsi que les choses se sont déroulées en Afghanistan : sans critères pour juger d’une victoire, il n’existe plus aucun repère pour savoir s’il faut rester ou quitter le pays. Dans ces conditions, on peut laisser des troupes éternellement sur les bords de l’Hindu Kush puisqu’il y a toujours des populations civiles à « protéger ». Le fait que cette entreprise de « protection » suscite de nombreuses pertes parmi la population civile par effet collatéral n’entre pas évidemment pas dans les calculs.

Certes, la nomination de Hagel au poste de secrétaire à la Défense renforce l’espoir que les USA accélèreront leur départ de l’Hindu Kush et qu’au Proche-Orient ils prendront leurs distances avec les va-t-en-guerre de Tel-Aviv et d’ailleurs également. Quoi qu’il en soit, on ne devrait pas se faire trop d’illusions en la matière. Ce n’est pas Hagel qui fait la politique des États-Unis mais bel et bien le Président. En matière de Sécurité nationale, plus que tout autre avant lui, ce dernier a concentré les capacités décisionnaires à la Maison Blanche, ce que le Pentagone et le Département d’État n’ont d’autre choix que d’accepter. Et malheureusement, Obama en a fait la preuve lors de son premier mandat : il est tout à fait capable de décisions négatives.

 

Approfondir le sujet avec Kontre Kulture :

Notes

[1] Les commentaires, analyses et réactions diverses suite à la nomination de Hagel ont pris beaucoup plus d’importance dans la presse allemande que dans la presse française. Cela confirme à la fois le niveau supérieur de l’information dans ce pays sur les questions de géopolitique ainsi que l’allégeance d’une partie importante de ses élites au grand frère américain, ce qui ne surprendra pas les visiteurs du site E&R familiarisés avec les conférences de François Asselineau – NdT.

[2] En 1998, en tant que sénateur, Hagel s’est opposé à la nomination au poste d’ambassadeur US au Luxembourg de James Hormel au motif que ce dernier serait « ostensiblement et agressivement homosexuel ». Lors des auditions préalables à sa nomination au poste de secrétaire d’État US, en décembre 2012, il a dit regretter ses propos de l’époque – NdT.

[3] En Allemagne où certaines valeurs issues des traditions catholiques, protestantes ou prussiennes influencent encore certaines franges du corps social, ce type de comparaison apparaît comme pertinente, ce qui est beaucoup moins le cas en France. Pour rappel, Peer Steinbruck sera le candidat-chancelier du SPD aux prochaines élections de 2013 – NdT.

[4] Conseillers en communication et en marketing politiques.

 






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39 Commentaires

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  • #344562
    Le 1er mars 2013 à 19:14 par Peter B.
    Obama contre le lobby pro-Israël

    Je recommande atous le visionnage de ce reportage. Ca vous aidera a mieux comprendre le tournant que prend l’Amerique.

    https://www.youtube.com/watch?v=M5-...

     

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  • #344568
    Le 1er mars 2013 à 19:18 par gwen
    Obama contre le lobby pro-Israël

    Et ca vient critiquer les collabos en france qui prenaient part au regime en place. Eux sont différents, ils ne balancent personne pour defendre un regime d un pays. Oui mais c est pas pareil !

    Faites ce que je dis, pas ce que je fais !

     

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  • #344640
    Le 1er mars 2013 à 20:30 par osman
    Obama contre le lobby pro-Israël

    Union entre patriote américain , il y a que que sa qui peut libérer l’Amérique de l’occupation sioniste . Obama et Hagel ne peuvent rien tout seul et n’oublions pas que le sioniste n’hésitera pas un flinguer un président des Etats Unis en pleine rue comme ce fut le cas du malheureux Kennedy.

    Obama a foutu la merde , il attaque ses propres frères africains et massacre tous les jours une dizaine de Pakistanais avec ses drones . Mais cette tentative de libération montre qu’il est mal à l’aise et c’est tant mieux pour son pays , pour lui et pour le reste du monde . Espérons tout de même qu’il poursuivra cette politique en faisant face aux pressions sionistes . Et avec un peu de chance il dévoilera peut être les vrais responsables des attaques du 11 septembre comme la dit notre camarade Saxo et Cie.

     

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  • #344762
    Le 1er mars 2013 à 23:07 par pierre1
    Obama contre le lobby pro-Israël

    Obama est en train de les ballader.

    Et je parierais que les chars et l’armée americaine s’approcheront dans quelques temps bien trop prés d’israel.
    Voir carrement d’envahir une partie d’israel histoire qu’ils se fassent pipi dessus..
    Histoire de leurs montrer qu’un type avec des billets sur lui ne pese pas lourd face a un autre type avec un fusil.

    Je pense que Obama a dut baisser la tete plus d’une fois et que maintenant comme c’est son dernier mandat,il va les remettre a leur place.

    Je crois qu’on a gagné,il faut surtout pas laché mais je crois qu’on a gagné.

    Alain,Dieudo,Pierre au pantheon.

     

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    • #345955
      Le Mars 2013 à 07:08 par oeildufaucon
      Obama contre le lobby pro-Israël

      tu te fourvoie totalement mon amis on a rien gagner du tout, tout ceux qui on un sens un petit peu aiguisé de la critique, et quelques connaissance en histoire, savent que Israel vas être sacrifier, ce n’est pas pour autant, qu’on aura gagner loin de là, toute les personne qui on financé l’état d’Israël, habite bien loin de celui ci, tant que c’est personne pourront se pavaner librement on aura jamais gagner, que je sache, la nouvelle loi que Obama à passé lors de sont dernier mandat qui transforme officiellement l’Amérique en état fasciste, (on peut arréter et condamné sans preuves et de manière immédiate) , je pense pas qu’il en feront usage tant qu’il n’auront pas réussi à supprimer la vente libre d’arme, ils y laisseraient leurs dents.
      Tant qu’il ne reviendra pas sur cet amendement alors, cela signifie, qu’il n’a pas changé de camp ni de but, c’est juste israel qui vas devenir le bouc émissaire de toutes les guerre du monde.
      Tout ça est prévue depuis des siècle et élaboré par des génies qui ne se sont pas trompé jusqu’à maintenant , il semble utopique qu’il perdent la main mise ua moment ou il contrôle tout.
      N’oublions jamais que l’antechrist ou le dahja al se présentera comme notre messie avant d’essayer de nous fourrer une épaulé, alors restons vigilent parce qu’on à encore rien gagner

       
    • #346804
      Le Mars 2013 à 23:46 par pierre1
      Obama contre le lobby pro-Israël

      Fourvoyé:c’est s’egaré.
      C’etait une pensée sur le moment.

      Les petits génie ne sont pas que du coté du mal,heureusement, sinon personne ne serait au courant de rien.
      Et les petits genies font des erreurs,preuve en est beaucoup de monde commence a etre au courant de la Kaballe...Et on va bien s’amuser je te le garantie.(sic !)

      Ceci dit je suis entierement d’accord avec toi:tant que l’on est pas sur qu’ils ont cedé on ne lache pas !
      C’est tres clair dans ma tete.

      Les juifs ont l’air de tenir le congrés americain et carrement les usa.
      Ils sont racistes parceque c’est leur psyché de peuple "elu" qui leur commande.(pas de chance pour eux).
      Qu’ils fassent massacré leur peuple pour leur but ultime a atteindre,ça c’est la seconde guerre mondiale.
      Seulement LA MASSE dont font partie les juifs n’est pas au courant de tous les tenants et aboutissant du NWO.

      Et c’est là ou un evenement imprevue sera irremediablement fatal pour le NWO.
      Qui de la MASSE,juifs compris, voudrait vivre dans un monde ressemblant au "meilleur des mondes" ?

      Donc les juifs sont racistes,Obama est a moitié Africain et il a dut baisser la tete plus d’une fois pour en etre là.
      Si tu crois qu’il ne s’en ais pas aperçus de leur racisme ?

      Ils ont dut choisir leur poulain...mais devant la realité un homme reste un homme,avec de l’affectif ,des sentiments et le sentiment d’etre issue d’un peuple opprimé,roulé dans la boue reduit a l’etat d’esclavage par les arabes,les blancs ect...
      C’etaient les chefs de tribus qui vendait leur tribu(sic !) ou d’autres tribus.
      Mais c’etait une autre epoque et Obama a fait des etudes,frequenté la sociétée,ce n’est pas qu’un robot.

      Tant que c’est pour le bien des usa il a ete dressé pour ça,mais là c’est different.
      Les usa il n’y en auras plus,c’est un cas de figure unique.
      Tu crois qu’il a fait des etudes pour ça ?
      Obama doit etre maintenant bien conscient qu’il rend pour l’eternité esclave 7 milliard d’humains.
      C’est sont dernier mandat et Hillard parle de l’instinct de survie qui peut etre salvateur.

      Pensant choisir un Afro-americain pour faire passer la pilule plus facilement,c’est a double tranchant,parceque il est pas idiot le monsieur.

      Voila ma reflexion.

       
  • #344838
    Le 2 mars 2013 à 00:22 par papiche
    Obama contre le lobby pro-Israël

    c’est juste de la communication
    a chaque fois que l’on a vu un "modéré" il s’est avéré pire que les précédents
    maintenant on connait la chanson

     

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  • #345405
    Le 2 mars 2013 à 16:48 par lib
    Obama contre le lobby pro-Israël

    Bon, on ne sait pas... C’est sûr que s’il mettait "tout sur la table" (pressions du lobby juif et tout le bataclan) et qu’il demande au peuple de se grouper autour de lui, çà marcherait pour une "nouvelle grande amérique"... On n’en est pas là... Il aurait pu être "le plus grand", il restera ce qu’il a toujours été, un "nègre de maison" A mon avis, c’est du cinéma, il est juste dans une sorte de "hollandisme révolutionnaire" (donc de façade). Mais tout celà pourrait bientôt lui retomber sur la gueule, comme à l’autre de chez nous, et ce sera bien fait.

     

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  • #345759
    Le 2 mars 2013 à 22:57 par A.g
    Obama contre le lobby pro-Israël

    Bien joué Barack !! Marre des salauds

     

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  • #346851
    Le 4 mars 2013 à 00:45 par cellule
    Obama contre le lobby pro-Israël

    Ceux qui croient que l’administration américaine s’est émancipée de l’influence des lobby pro-israéliens se trompent lourdement.

    Cela ressemble plus à un règlement de compte entre Obama qui s’est fait humilier à plusieurs reprises par Netanyahu et par l’AIPAC (lobby sioniste de Washington).

    Mais dès le prochain président, tout redeviendra comme avant et les sionistes continueront de dicter leurs lois au Congrès.

     

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    • #346976
      Le Mars 2013 à 08:00 par pierre1
      Obama contre le lobby pro-Israël

      Sauf si le peuple(le monde) est au courant et c’est ce que vous faites j’espere....

      Si ils ont tout passé sous silence depuis 1913 alors ce qui va rendre caduque cette machination infernal,c’est
      d’EN PARLER.
      Ils manipulent les esprits,c’est a ceux qui savent de reveler la verité de cette saloperie de machination diabolique.

      Et de convaincre:commencé par aller vois les personnes qui se pose deja des questions.

      L’effet boulle de neige !
      C’est imparable.

       
  • #347735
    Le 4 mars 2013 à 21:46 par NARKOZY
    Obama contre le lobby pro-Israël

    OBAMA reste, à son corps défendant, à la botte des banquiers sionistes de Wall Street et constater cela rend triste : les USA ne s’appartiennent plus ! "Ils" lui laissent une petit marge de manoeuvre ces temps-ci car ils ont entendu sous leurs fenêtres il y a quelques mois de petits manifestants américains lancer des slogans qui étaient dirigés contre le peuple qu’il ne faut point nommer....et donc il s’agit maintenant de maintenir un minimum de paravents afin de détourner à nouveau les regards vers le Pentagon.

     

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  • #349316
    Le 6 mars 2013 à 08:04 par Seber
    Obama contre le lobby pro-Israël

    La naïveté de certaines personnes est touchante. Cette nouvelle stratégie géo-politique a été décidée et annoncée par le CFR en 2010 ou 2011.
    Barack Obama obéit, point barre. Israël n’a été crée et soutenue que pour servir les intérêts de l’oligarchie. Le vent tourne et les "meilleures" choses ont une fin.

     

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