De deux choses l’une : soit ce mec, emporté par la vanité de s’adresser à 400 000 abonnés (5 fois le Stade de France), se change en virologue de classe mondiale, soit il est payé par le Big Pharma pour rassurer les moutons sur le chemin de la dangereuse injection.
On penche pour l’option 1, teintée du désir puéril de se faire bien voir des autorités. On ignore son nom, mais cet olibrius a quand même induit en erreur des centaines de milliers de jeunes, dont beaucoup, après avoir vu cette pub pfizériste truffée de fake news, sont allés se faire « vacciner » contre la peur. Et parmi ces crédules, beaucoup ont dû ressentir des effets secondaires, des plus bénins aux plus sérieux.
Le jeune barbu ne devrait pas parler de ce qu’il ne connaît pas, surtout quand ça engage des innocents ou des idiots, ce qu’il n’est visiblement pas. En même temps, il y aura toujours des gens pour croire à des salades, et d’autres pour les débunker. Débunker, c’était pourtant la mission d’Osons causer...
C’est à 6’34 que le virologue autoproclamé nous apprend, triomphant, souriant, histoire de calmer le troupeau fébrile avant le shoot toxique, que
« par contre, des effets secondaires très graves, il n’y en a quasiment aucun ! »
Un filou a rassemblé les annonces à la fois les plus bêtes et les plus dangereuses de cette pub. Il s’agit d’un montage, donc non représentatif de la vidéo entière.
J'avais oublié ce Combo de bullshit . Je vous ai fait un mini montage best off pic.twitter.com/24nv7m6SfX— marco nius (@NiusMarco) December 27, 2023
Sur E&R, depuis les premiers frémissements vaccinatoires du Big Pharma et du Big Média en 2021, qui ont trompé ensemble des millions d’abrutis ou de peureux, on a senti l’arnaque. C’était facile puisque la pandémie sentait l’arnaque depuis le début 2020, avec des Chinois mourant par milliers dans les rues, sans oublier les images virales tirées du film Contagion, la fameuse scène où l’on voit des hommes en tenue NBC empiler des sacs bleus dans des fosses communes...
Revenons sur ce film prophétique à plus d’un titre. Vu d’aujourd’hui, on a l’impression que ce Soderbergh de 2011 a été créé spécialement après la psychose du virus H1N1 de 2010, ce brouillon de la psychose covidiste, histoire d’imprimer dans la tête du public que le vaccin était l’unique solution.
Alors qu’il n’y a même pas de vaccin efficace contre la grippe, ce qui n’empêche pas le Big Pharma de revendre – merci les médecins complices – une dose antipneumococcique à des millions de boomers chaque année. C’est le marché de la peur, vieux comme le monde : faire flipper un idiot, et lui revendre un contenu qui n’empêche ni la maladie ni la contamination.
« Si quelqu’un a pu trouver le moyen de militariser la grippe aviaire, c’est à ça qu’on va faire face. »
Ce qui est intéressant dans Contagion, sorti dans la foulée du H1N1, outre l’énorme publicité faite au vaccin-miracle, c’est la dépublicité faite aux RS, d’où émerge une solution qui n’est « évidemment » pas viable. L’équation est simple : Internet = complotistes = ignorants = dangereux pour la santé.
En réalité, c’est tout l’inverse qui s’est passé. Dix ans après l’essai non validé du H1N1, le Big Pharma, cette fois-ci soutenu à fond par le Big Tech et le Big Media, a réussi à marquer son essai, entre les poteaux, au détriment de millions de personnes qui ont couru sauver leur peau, une peau qui n’était même pas menacée. Aujourd’hui, parmi ces malheureux, beaucoup connaissent les effets secondaires désastreux de la pandémie « Pfizer-Moderna », bien réelle celle-là.
Contagion répare l’échec H1N1 et lance l’offensive covidiste. Ceci étant dit, nous pardonnerons ses erreurs au jeune barbu, qui ne fera jamais autant de mal que les personnes suivantes, qui, on l’espère, seront un jour (actuellement, la justice est vendue) devant le juge pour abus de confiance et mise en danger de la vie d’autrui :
Buzyn, Salomon, Marty, Delfraissy, Véran, Megarbane, Deray, Cohen, Fischer, Hirsch, Onfray. Et on en oublie !