On a prié toute la nuit pour que cet article tombé de l’Enfer ne tombe pas entre les innocentes mains de SOS Racisme.
Quoique, aujourd’hui, avec le grand renversement d’alliances du CRIF, passé de la gauche (israélo-)immigrationniste à la droite (israélo-)nationaliste, on peut dormir tranquilles.
La proportion de Noirs et de Blancs dans l’équipe de France (EDF) est un débat sans fin : avec son armée d’Afrique, Deschamps est allé en finale de quatre titres majeurs. Avant, c’est vrai, dans les années 80, l’EDF était blanche à 90 %.
Au fait, que serait l’équipe de France de volley aux JO sans Ngapeth ?
Quand l’auteur, dans sa conclusion, propose, sur la lancée du Pierrot, d’opérer une séparation des couleurs, cela signifie-t-il une EDF blanche et une EDF noire, ou noire et maghrébine ?
Dans ce cas, laquelle jouerait les compétitions internationales ? La noire ou la blanche ? Et les Maghrébins, ils seront de quel côté ? Zizou, il va jouer avec Thuram ou Deschamps ?
On propose un match pour départager les racistes et les antiracistes (oui mais du coup, Thuram, tu le mets où ?).
Pour aller encore plus loin que ce Léon, on pourrait imaginer que Deschamps cacherait un raciste invétéré, ce qu’avait supposé Benzema (ce qui lui avait valu une suspension de l’EDF), un raciste qui aurait fait exprès de sélectionner onze Noirs juste pour que les Français se révoltent, histoire de retrouver un peu de blancheur…
Sinon, pour dire la vérité, on a joué au foot avec les Maliens des terrains du bois de Vincennes, et c’était effectivement très dur d’avoir le ballon. Mais dans le foot, il faut s’imposer, même dans sa propre équipe, qu’elle soit noire, blanche ou grise. Ce n’est pas le petit Blanc Grizou, à ses débuts, qui nous dira le contraire.
Pierre Ménès est un grand bourgeois né dans la 8e arrondissement de Paris le 29 Juin 1963, Thierry Roland était fils d’un diamantaire des Champs-Élysées ; pas seulement breton de Brest, comme le dit sa fiche Wiki.
Pierre Ménès pour 1 000 ans ?
Il était connu jusqu’ici pour être un commentateur de football populaire, au langage fleuri, puis victime de l’opération de castration de l’homme blanc MeToo, au prétexte qu’il aurait tripoté ou remarqué ouvertement certains postérieurs féminins sur un plateau de télévision. Grivois il racontait ses parties de jambes en l’air, qu’il aimait bien Ronadhinho car il prêtait ses nombreuses amies.
L’homme blanc doit être un eunuque, il ne pourra bientôt même plus aller aux putes, activité pratiquée ouvertement par l’ami Pierre.
Il était aussi connu pour être le punching-ball des gens de droite, ou des complotistes, Stéphane Édouard nota justement qu’il n’était pas malade, son opération du rein était la suite naturelle de sa surconsommation de Coca-Cola. Alain Soral le remit à sa place car n’étant pas capable de courir le 200 mètres en moins de 20 secondes, il devait cesser les critiques envers les joueurs de l’équipe de France de football.
Seul quelque groupe extrémiste avait noté qu’il faisait partie de la communauté juive, comme feu Thierry Roland – dit Lévy – d’ailleurs. Et j’avais noté que sous ses vidéos YouTube, il répondait que la présence d’Africains en équipe de France ne le choquait pas ; j’avais cessé de suivre cet homme héroïque depuis quelques jours.
Pierre est d’une santé fragile, à 63 ans : avec ses antécédents, comme on dit, il sait qu’il peut vite passer l’arme à gauche, comme on dit. Donc, la race et les couilles, à l’heure de la fin, reprennent souvent le dessus. Être l’homme le plus riche du cimetière, star de la télévision, des femmes à foison, est peu vendeur au moment de mourir. Au moment de crever, quand on est pas la dernière des ordures, on ne veut pas que son fils vive dans un enfer.
Pierre Ménès :
« J’ai mis mon fils au club de Torcy.
Dans l’équipe, C’est la réalité du football.
Regardez l’Équipe de France : 11 noirs. »
@tvlofficiel pic.twitter.com/HRonVGDE4s
— Actu Foot (@ActuFoot_) September 4, 2025
Ménès aime sûrement la France des années 1970, Bourvil et Tabarly ; a sûrement adoré le malien Jean Tigana ; mais là, avant de tirer sa révérence – excellente autobiographie d’un journaliste dit d’extrême droite –, il apporte sa pierre à l’édifice en énonçant une évidence, même pas un reproche. Un blanc ne peut pas jouer au football en France car les Africains le rejettent, et il y a onze Africains en équipe de France. Ne pas aimer l’équipe de Platini – que peu de bourgeois regardaient – est une faute de goût. Regarder l’équipe africaine de Deschamps relève de tendances suicidaires.
« On nous dit que l’équipe de France [de football] est black-blanc-beur... En fait, aujourd’hui, elle est black-black-black, ce qui fait ricaner toute l’Europe. » (Alain Finkielkraut dans Haaretz, 17 novembre 2005 )
- Un Blanc se cache dans ce dessin :
saurez-vous le trouver ?
En allant au bout des propos de Ménès, la seule chose importante pour le Français n’est-il pas d’opérer une séparation « raciale », car, comme le fils de Pierre Ménès, nous allons bientôt être des étrangers, des citoyens de seconde zone dans notre propre pays ?
Pierrot se lâche-t-il avant la fin ?