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« Politique de la ville » : plus d’argent public mais pas moins de délinquance ?

Voyons concrètement quel est l’équipement d’un des pires coupe-gorge de France, avec trafics massifs de stupéfiants, tirs à l’arme de guerre sur la police, etc. : le quartier de La Villeneuve à Grenoble (15 000 habitants environ).

Il s’étend sur 167 hectares, dont 66 d’espaces verts et compte deux piscines, quatre gymnases, une patinoire, huit « équipements culturels », trois collèges, six écoles primaires, cinq établissements de formation professionnelle supérieure. Pour le maire de la ville, « c’est un quartier récent, bien équipé en structures publiques, crèches, écoles, collèges et centres sociaux ». Pour Le Parisien : « Rien n’y manque… commerces, équipements sociaux et sportifs… marché quotidien. » Et Le Monde : « L’un des mieux dotés de la ville en matière d’aides à l’insertion… centres sociaux… guichets d’aide aux démarches administratives, etc. »

Posons maintenant les questions qui fâchent :

Sommes-nous à Calcutta ? Où sont les damnés de la terre ? Mais surtout : quelle ville rurale comparable du Cantal ou de la Creuse bénéficie-t-elle d’un tel luxe social ? Aucune. Et quel est le niveau de criminalité dans ces communes pauvres ? Quasi nul.

« Politique de la ville » : combien ça coûte ? D’où vient et où va l’argent ? Grand mystère. Seule certitude : cette « politique » est pharaonique (Le Monde, 31/07/2011) : « 300 villes concernées par ces immenses chantiers… 138 000 logements démolis, 132 000 reconstruits », des dizaines de milliards d’euros en cause, on le verra plus bas.

Or, un rapport après l’autre (Cour des comptes, par exemple) dénonce la parfaite opacité de toute l’affaire. « Les députés ont tenté, en vain, de mesurer l’effort des différentes administrations dans les zones urbaines sensibles » (Le Monde, 16/10/2010). « Il n’existe aucun outil permettant de chiffrer, donc de vérifier, les efforts des administrations envers les quartiers en difficulté » (Cour des comptes, rapport, 2012).

Lire la suite de l’article sur bvoltaire.fr

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24 Commentaires

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  • Ayant enseigné pendant trente ans je ne me souviens pas d’avoir eu un seul élève d’origine maghrébine ayant témoigné la moindre considération pour la France .

     

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    • Posez vous la question pourquoi ! Ils sont traité comme kaka et on exige qu’ils adorent la France.
      Vous qui etes enseignant , ensegnez leur a temoigner de la consideration pour la france au lieu de les critiquer sur des forums sous des pseudo anonymes

       
    • Vu l’état de la France depuis ces trente ans dont vous parlez, je les comprends. Ces "maghrébins" auraient aimé la France de Saint-Louis, de Louis XIV, du grand Condé ou de De Gaulle.

      De grâce, ne leur demandez pas d’aimer la France de : Pompidou, Giscard, Mitterrand, Chirac, Sarkozy et Hollande !!!

      Merci !!!

       
    • @teach Pas un seul petit m.rdeux qui ait montré son attachement à la France en 30 années ? t’aurais dû dire "en 130 années",là on l’aurait avalée la couleuvre...j’ai eu un professeur d’histoire comme vous,qui avait des "visions" en pleine journée et qui a fini malheureusement complètement marteau,avec traitement lourd et tout,faites attention à vous quand-même...Féthi

       
  • Trouver ne serait ce qu’un petit boulot est beaucoup plus difficile dans le Cantal qu’en Seine Saint Denis(moins d’entreprises,il faut une voiture,pas de grandes centres urbains ni touristiques ,à proximité,le premier pole emploi à vingt bornes

     

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  • Sinon boulevardvolt’,si vous connaissiez autre chose que vos quartiers de panam’,vous sauriez qu’historiquement,Grenoble a toujours été le "far west" Français,un carrefour dans les Alpes où se sont toujours retrouvées les pègres Françaises(french connection vous connaissez ?ils étaient très nombreux et très impliqués dans le tissu économique local,je suis né à Aubagne,je connais bien l’histoire),Italiennes et même d’autres choses plus occultes(ceux qui parlent à longueur de temps de satanisme,intéressez-vous à Grenoble et son histoire,c’est un musicien métalos Grenoblois de mes amis qui m’avait parlé de tout ça,des symboles en ville,etc,intéressant le récit ; par-ailleurs un batteur phénoménal,double grosse-caisse jouée à la vitesse de la lumière,après faut aimer le métal,certes,mais j’ai travaillé en métallurgie,du coup j’aimais bien l’ambiance "Slayer") ...pour toutes ces raisons Grenoble est si particulière que la prendre en exemple pour parler de "boonlieuuu-euh" qui ont à peine 40 ou 50 ans,c’est encore une fois(de plus,mais avec voltaire on a l’habitude) faire fausse route...et pour conclure,des armes à feu,il y en a beaucoup beaucoup énormément moins en circulation que dans les années 80,croyez le bien (je connais aussi assez bien le sujet,mon "père" s’est fait flinguer à Marseille quand j’avais un an,en 1979 donc,j’avoue que j’ai l’ai pas pleuré et que là oui ça craignait de se promener le soir en ville,toxicos,proxos,braqueurs car encore du liquide en circulation,etc,etc...à boulevardvolt’,je suis sûr par-exemple que l’histoire de Toulouse,méra avec un Uzi,comme à Los Angeles,vous avez avalé l’appât,l’hameçon et la canne-à-pèche,pas vrai ?)...Féthi

     

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  • « Politique de la ville »... chez les socialos sionards veut dire clientélisme électoral !!!........

     

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  • #964059

    L’article illustre d’une certaine façon la thèse du géographe Christophe Guilluy "fractures françaises".
    Les zones sensibles c’est 8% de la population française et 15% des ménages pauvres, mais elles absorbent la majorité des subventions de nature sociale.
    La gauche en 1983 en abandonnant la lutte des classes (dominants/dominés) comme outil d’analyse et d’action, lui a substitué une analyse en termes d’espaces favorisés/défavorisés, villes/banlieues et donc implicitement gaulois/minorités.

    Plusieurs conséquences :

    - Les minorités ont été nourries par ce discours et considèrent (presqu’inconsciemment) que blanc = riche. Il y a pourtant des des millions de blancs pauvres invisibles (qui ne passent jamais à la télé, pas de voitures qui brûlent, les bourges des classes dominantes politiques et médiatiques les considèrent comme des sous-merdes qui votent Lepen). En France il commence a y avoir des "white trash" à l’américaine, pas beaucoup car malgré tout il y a encore un Etat social qui n’existe pas aux Usa).

    - Les banlieue des grandes ville sont les sas d’arrivée où s’installent les immigrés africains, maghrébins, les clandestins, le regroupement familial. Toutes ces populations absorbent les aides sociales de l’Etat. Cette immigration massive occulte à l’inverse le fait qu’il y a une mobilité sociale dans les banlieues : il y a des des membres des minorités qui réussissent, font des études, montent des entreprises, etc. mais ils quittent alors ces zones pour aller vivre dans des endroits plus agréables. Il ne reste plus sur place et dans les statistiques que le lumpen prolétariat mondial complètement à la masse qui grossit du fait de l’immigration incontrôlée et imposée au peuple français.

    - Les banlieue ne sont plus aujourd’hui des zones de relégation sociale comme elles l’étaient dans les années 60-70-80, elles font parties des grandes métropoles qui vivent à l’heure de la mondialisation : moyens de transports, infrastructures publiques de tous ordres, etc.
    Au contraire les zones rurales et périurbaines ou vivent les classes populaires européennes sont les vrais zones de relégation (t’as pas de bagnole, tu peux pas bouger car il n’y a pas de transports en commun).
    Un jeune de cité a plus de chances de s’en sortir (ça veut pas dire que c’est le bonheur, ça reste galère) qu’un jeune rural ou vivant dans les espaces au-delà des banlieue.

     

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    • #983865

      "En France il commence a y avoir des "white trash" à l’américaine, pas beaucoup car malgré tout il y a encore un Etat social qui n’existe pas aux Usa)."funkyzarathoustra.
      FAUX ET ARCHIFAUX !!!!
      Le social existe au USA même si il est géré là-bas d’une main de fer et n’a rien à voir avec la gabegie clientéliste socialiste ou les grandes largesses de l’état vis à vis de nos immigrés,de nos assos de banlieues bidons ou inutiles,des chômeurs longue durée professionnels et autres assistés permanents de nos quartiers,des "allocs braguettes" de pères defamilles nombreuses vivant sans bosser et autres fraudeurs à la CAF et à la C.V. qui ne sont pratiquement jamais sanctionnés,etc..
      Environ 50 M "d’états-uniens" vivent aujourd’hui grâce à l’état et ses fameux "food-stamps" (timbres garantis par l’état contre nourriture) que les commerçants sont obligés d’accepter...
      Les USA c’est aussi 12 M de SDF,30 M de gens qui vivent dans des caravanes ou des villages de tentes,20 M de familles à qui l’état paye le loyer sinon le gosses coucheraient dehors !!
      Des états comme la Caroline du Sud,le Michigan,l’Alabama,le Mississipi ou la Louisiane qui sont plus pauvres que le Portugal ou la Grèce aujourd’hui,etc,etc...
      On nous fait croire que les States c’est Manhattan,Hollywood ou Miami Beach,certes c’est aussi ça mais pas que...
      Derrière la façade ultralibérale et le slogan simpliste disant qui n’importe quel émigré un peu bosseur peut brillamment réussir aux USA se cache la gestion plutôt mauvaise mais aujourd’hui quasi-soviétique par l’état américain des pauvres et des perdants:l’Amérique des villes et des états sinistrés,des SDF,des faillites en chaines des PME,ds coupes sur les retraites et la fonction publique,des chômeurs longue durée,des vétérans devenus clochards,des drogués,des loosers,des malchanceux,des alcooliques,des analphabètes,des obèses,des handicapés et malades chroniques des arriérés mentaux,et... et croyez-moi ils sont au moins deux fois plus nombreux que les familles bourges ou midleclass qu’on nous montre à la télévisision !!

       
  • #964064

    Comme l’indique Xavier Raufer dans « Ces banlieues qui croulent sous le fric » les départements les plus pauvres sont l’Ariège, le Cantal et la Creuse, et à l’inverse la Seine Saint Denis est l’un des départements les plus riches du pays si on inclut l’économie souterraine qu’est le trafic de drogue. Pourtant, les voitures ne brûlent pas en Ariège et la Creuse n’est pas sous le couvre-feu des tirs de kalashnikovs.

     

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  • Cet argent ne fait que transiter par les "quartiers", aucun risque que le circuit de redistribution vers des grandes multinationales ne soit court-circuité par les petites coopératives qui se développent dans la France profonde.

     

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  • "La politique de la ville" c’est comme les éoliennes : ça ne sert à rien - sauf à enrichir les sionistes aux dépens des contribuables .

     

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  • Je n’ai rien contre les immigrés - ils sont 200 000 chaque année à compenser les 200 000 avortements annuels - mais je n’aime pas ceux qui crachent dans la soupe, et je crois malheureusement qu’ils sont nombreux à le faire...

     

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    • @Adalbert Moi non-plus je n’aime pas les crachats dans la soupe,mais qui l’ouvre aujourd’hui quand il voit des comportements déplacés ? personne et c’est bien ça le problème (pas plus tard qu’il y a deux ou trois jours,un m.rdeux de 10 ans marche avec son clando de père en roulant les mécaniques,regardant les gens de travers et crachant par-terre juste devant les pieds de votre serviteur ;malgré qu’il y avait une dizaine d’hommes,je suis le seul qui suit sorti de la troupe pour corriger ce petit c.n,je l’ai bien secoué et son père beaucoup mieux nourri que moi a vite fermé sa bouche parce-qu’il savait que j’avais raison)...tant que tout-le-monde continuera de regarder ses chaussures,tu auras du zèle et des crachats dans la soupe,c’est logique à mes yeux-j’ai pas dit "c’est normal" mais "c’est logique",cause à effet...les gars,enlevez une chose du crâne : c’est pas parce-qu’un type débarque d’Irak ou de jsépaou qu’il a plus de c..lles que vous et arrêtez de regarder vos chaussures quand tout part en vrille autour de vous...Féthi

       
    • @ Féthi

      C’est peut-être ça la fracture entre les camps...
      Y a pas si longtemps un collègue a insulté le patron lors d’une réunion de travail, qui dégouté a levé la séance (repoussée aux calanques...).
      Bref les autres collègues l’ont félicité pour son courage tout en dénonçant par derrière la légèreté de son comportement.
      Je trouvais plus simple de lui dire, à l’occasion, qu’il avait fait une faute et aurait du régler son pb en aparté. Il a pas aimé que je lui dise ce que je pensais et m’a limite insulté et m’a renvoyée dans mes filets...mais depuis m’a toujours témoigné beaucoup de respect.
      J’en profite pour te rappeler celui que j’éprouve pour ton parcours et ta manière de surmonter les galères.

       
    • @Uncendy Bien le bonsoir,j’espère que tout va bien pour tes pitchounets et toi !...Féthi

       
    • @ Féthi,

      Grand bonjour depuis mon sud,

      Disons que je ne leur cuisine pas aussi souvent que je le voudrais des bons petits plats avec des ingrédients magiques aux vertus curatives mais globalement ça va. Il faudrait que les mères de famille aient des vies parallèles pour s’occuper correctement de leurs gosses tout en ayant moult activités, le régime alimentaire qui va avec et une vie sociale "trépidante".
      Je crains que pour moi tout cela relève un peu trop souvent de l’ à peu près, sauf pour mes pitchounes (ahaha) parce que là c’est les tripes qui parlent.
      Et quand on vient du sud elles ont tendance à hurler.
      Je te lis et devine que tu te portes comme un charme, tant mieux.
      Bien à toi.

       
  • @Fethi

    Bien sur, tu as raison, le Francais-blanc-autochtone regarde bien souvent ses pieds.
    Pour ma part je le reconnais sincerement, il m’est encore difficile d’engueuler les petits/grands cons.

    Ceci est du aux multiples agressions que j’ai subi : Mounir, Driss, Said, Hazdine, Zacharia, Hamid, Mohamed, Ayoub. Il y a eu un Stephane egalement.

    Ceci est du au fait d’avoir ete eleve sans pere egalement, donc sans modele autoritaire-securitaire-donnant confiance en sa masculinitz/virilite.

    A l’inverse des Maghrebins psychanalytiquement structures (1 pere, viril et salarie ; 1 mere, souvent au foyer car exclue/premunie du marche de l’emploi) et quasi-institutionnellement defendus/preserves.

    Face a des autochtones perdus-paumes et destructures (feminisme+culpabilisation mediatiques).

    Le vote FN=>la confiance masculine.et humakkia dignite et le courage d’affronter les ptits cons et les populations communautarisees.

     

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    • @souch39 Salut camarade,bien que j’ai été virulent,je ne suis pas du tout un bagarreur compulsif et je suis bien placé pour comprendre ce dont tu parles (pas de papa moi-aussi,jamais vu,mais j’ai un frangin qui a fait le boulot de me décoincer,il en a un peu trop fait même parfois,j’étais son sac de boxe ambulant)...mais il y a aussi un rapport étroit avec la praxis,même si t’es le type le plus gentil du monde,tu ne te laisses plus emm.rder quand tu passes tes journées à faire un vrai labeur,à suer et bouger des tonnes (l’autre qui va t’emm.rder,il s’est levé à midi chez maman,il fait peut-être du tchi-tchung mais toi à 17h t’auras les mains bien dures aussi)...pour un type non-violent,je crois que travailler en maçonnerie ou autre est la plus intelligente manière de se décoincer une bonne fois pour toutes,sincèrement...bien à toi camarade...Féthi

       
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