Il est tout à fait possible que le "oui" l’emporte facilement. Les Grecs veulent garder l’euro, c’est comme ca.

Ce ci dit, je soupçonne Tsipras de balancer ce référendum afin de partir "la tête haute".

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Bonsoir,
Superbe analyse Mr Prescott, je la partage totalement. Mais ça serait bien qu’on se trompe.

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C’est analyste est bien sympa mais il se trompe pour une simple raison de logique. Il est trop sûr de lui-même alors que tout peux arriver d’ici quelques jours. Si le oui l’emporte il fera passer son pari pour du béton, sinon il se fera oublier pendant quelques jours avant de revenir plus tard comme si de rien n’était. Nos amis ne sont pas toujours ceux que nous croyons être.

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Je pense que Tsipras roule pour les ricains. C’est justement suite à un sondage en faveur du oui qu’il a décidé de passer au referendum !

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Les Grecs vont se libérer, c’est déjà fait.

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Analyse très pertinente et réaliste. Mais jusque dimanche, il y a de l’espoir ; ne nous en privons pas.

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Tsipras fait semblant de faire campagne pour le NON mais il fait TOUT pour que la Grèce adopte des mesures d’austérité au profit des banques. Il serait dans une situation intenable si le non l’emportait puisqu’il veut se tourner vers les Grecs et dire "J’étais contre l’austérité, mais vous ne me laissez pas le choix, puisque vous acceptez les conditions des banques Allemandes".
 Référendum fait en catastrophe alors que les banques ferment (voulu), il aurait pu faire un référendum pour sortir de l’euro il y a 2 mois mais ne le fera jamais
 Question compliquée pour flouer les électeurs
 Prétend que la Grèce ne pourrait imprimer sa propre devise faute de presses alors qu’Haiti peut le faire
 Les moins cons savent parfaitement que même si le non l’emporte, la Grèce n’obtiendra rien de plus puisqu’il est hors de question de sortir de la zone euro ; ils s’abstiendront de voter.

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On attend des grecs qu’ils s’opposent ouvertement à la politique européenne menée par les banquiers et les politiciens acquis à leur cause. Ils ont déjà à l’issue d’un processus électoral pavé d’embûches organisés porté au pouvoir une coalition politique qui a tenté avec énergie et conviction de faire entendre raison aux spoliateurs européens+FMI (ignoble Lagarde). Evidemment cette coalition s’est heurtée à un mur et elle est contrainte de revenir devant les électeurs. Mais ce référendum grec est décrié par les spoliateurs des peuples et des Etats qui trouvent cela déloyal car ils attendent d’un gouvernement qu’il soit complice des vols qu’ils commettent c’est-à-dire qu’il fasse avaler la pilule à ses électeurs et renie ses engagements ( Hollande est le modèle du genre collabo qui quand il était candidat n’avait qu’un ennemi sans visage, la finance…). Or il faut rappeler que c’est le mécanisme du surendettement qui est à l’origine de la crise grecque, surendettement évidemment synonyme de mauvaise gestion publique et aussi et surtout de corruption des responsables politiques. Les banques qui ont prêté au delà du raisonnable ont -elles été imprudentes ? Non car elles savaient très bien que le moment venu (défaut de paiement) ces mêmes politiques viendraient à leur secours pour communautariser leurs créances merdiques, c’est-à-dire les transférer aux Etats. C’est ainsi que les français ont récupéré 60 milliards de la dette grecque pour sauver leurs grandes banques véreuses telles que BNP ou Crédit agricole. Or c’est cette décision qui aurait dû non seulement être soumise à référendum mais aussi assortie de conditions sérieuses pouvant aller jusqu’à la nationalisation, contrepartie juste d’un sauvetage nécessaire. Il est temps d’arrêter ce vol en groupe organisé (rappelez-vous le duo Sarko-Merkel, complices de la manipulation). Et qui a la charge de cela ? les grecs, les plus faibles de la zone euro. Mais ne vont-ils pas reculer devant les difficultés à venir ? On les comprendrait et on le regretterait. En tout cas il faudrait une mobilisation très large des peuples européens pour soutenir la résistance des grecs face à leurs spoliateurs qui sont aussi les nôtres.

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Regardez moi tous ces commentaires défaitistes ...Il suffit d’un peu de propagande de nos chers merdias pour que vous soyez assaillis par le doute !

Moi je suis persuadé que les grecs vont voter NON !! Ils en ont marre des mesures d’austérité européennes et même s’ ils restent attachés à l’esprit "euro", ils savent très bien que la mascarade ne peut plus continuer.

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Finalement, M. Prescot s’est un peu trompé dans ses pronostics sur le vote grec.

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