Egalité et Réconciliation
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Quand le "journaliste" des Grandes Gueules Alain Marschall défend la dictature sanitaire

Quand la France aura été libérée de la tyrannie mondialiste, quand nos enfants étudieront à l’école la monstrueuse occupation des années 2020 avec ses dizaines de milliers de morts, le désastre de la dictature sanitaire sur l’économie, la fracturation programmée du pays, l’apartheid entre vaccinés prisonniers et non-vaccinés dans le maquis, la répression des Gilets jaunes, des antipass et des antivax, le contrôle mental et social via les algorithmes, la corruption absolue du clan gouvernemental, la mainmise du Big Pharma sur la santé publique, l’influence du Big Tech sur l’information et les mentalités, au moment où il faudra leur montrer qui étaient les collaborateurs de cette infâme dictature, on leur montrera la sortie d’Alain Marschall, des Grandes Gueules, contre son chroniqueur étudiant. Édifiant !

 

Ce mercredi 18 août 2021, nous sommes en présence de la ravissante Joëlle Dago-Serry, chroniqueuse récurrente sur RMC, de Louis Boyard, président de l’Union nationale des lycéens présenté par (a)Valeurs actuelles, et de Benjamin Cauchy, portraité par France 3 Occitanie. Et bien sûr d’Alain Marschall, le « journaliste » et animateur maison. On a mis journaliste entre guillemets, car il y a débat.

Boyard  : Que l’exceptionnel devienne la norme, c’est vrai. Que des policiers puissent venir nous contrôler, c’est pas quelque chose de normal !

Cauchy  : Le critère sanitaire, c’est pas quelque chose de normal, on va te demander si t’es en bonne santé pour te déplacer, Alain, c’est ça la question.

Marschall  : C’est le virus qui emmerde le monde !

Boyard  : Mais derrière ce que dit Joëlle, c’est très, très vrai, c’est quelques personnes qui ont décidé ça dans un Conseil de défense, on ne sait pas ce qui est dit, parce que ce qui est dit dedans est secret.

Marschall  : Tu veux qu’on t’appelle avant ?

Boyard  : Ben j’aimerais bien,

Marschall  : Tu veux quoi, tu veux qu’on t’appelle avant ? Tu veux qu’on organise un référendum ? À ce moment-là on organise un référendum, on pose une question oui/non, on organise un référendum, on laisse passer 10 jours, 15 jours...

Cauchy  : La démocratie, c’est pas un gros mot, hein. C’est pas un gros mot la démocratie, Alain.

Marschall  : La démocratie, c’est pas un gros mot, effectivement, les gens qui sont au Parlement s’appellent des élus. Ils s’appellent des élus, ceux qui sont à l’Assemblée nationale s’appellent des élus, y a eu des discussions, y a eu des amendements, y a une majorité, c’est accepté, c’est refusé, c’est retoqué.

Boyard  : Arrête de dire ça ! L’allocution elle a eu lieu, Macron a tout décidé en Conseil de défense, les députés ils ont pas eu le choix de voter ça !

Marschall  : Y a pas eu un vote à l’Assemblée nationale ? Parce que y a eu une majorité ! Elle changera l’année prochaine...

Boyard  : Mais la majorité c’est une bande de playmobil !

Marschall  : C’est pas des playmobil !

 

Tout le monde sait pourtant que sous la Ve, l’Assemblée est devenue la chambre d’enregistrement des injonctions présidentielles, même Marschall le sait, mais il semble défendre quelque chose... Quelque chose qui ressemble au Grand Mensonge présidentiel, un président qui a été élu, ô surprise, surtout par les médias qui l’ont vendu comme un paquet de lessive qui lave plus blanc à des Français complètement hypnotisés, sans compter une curieuse distribution des voix au premier tour...

Et parmi ces médias, le premier d’entre eux, en termes de compromission, il y avait RMC-BFM TV de Patrick Drahi, qui a mis sa puissance de frappe au service de Macron, donc de la Banque, celle qui soutient un Drahi assis sur une montagne de dettes estimée à plus de 30 milliards en 2021. Depuis 2015 (date du schéma), Drahi se débarrasse d’actifs, mais il a toujours la Banque avec lui.

 

 

Le groupe audiovisuel ressemble donc à une construction en forme de courte-échelle pour l’élu de la Banque, pas des Français, même si au final il a été élu par des millions de crédules. Qui ont cru voter contre le fascisme de Marine, et qui ont voté pour le fascisme bancaire. Une belle bande de blaireaux qui payent aujourd’hui leur dramatique erreur. Mais on ne va pas refaire l’histoire, juste lancer notre référendum du jour.

Alors, Marschall, andouille ou complice ? Idiot ou collabo ? Votez ici. Mais ne trichez pas, hein, comme Macron en 2017.

Comme prévu, sur E&R :

 






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