Egalité et Réconciliation
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Qui a tué nos enfants ?

Le croisement des courbes est historique, et même s’il est provisoire, il dit une chose très simple : les femmes réfléchissent à deux fois avant de mettre un enfant dans le monde de Macron, qui n’est que chaos, répression et dépression. Dites-vous bien que le pouvoir macroniste a imposé non seulement l’injection à tous, mais aussi aux femmes enceintes et aux enfants, voire aux bébés !

 

 

C’est un crime, dont on ne mesure pas encore les conséquences. Une des conséquences, pour le coup psychologique et démographique, c’est la chute de la natalité, qui est un marqueur de confiance d’une population, le signe qu’elle se voit un avenir. Il y a aussi la montée de la mortalité.

 

 

 

Pour ceux qui douteraient des courbes 2025, voici celle de l’INSEE pour 2024 :

 

Nos amis suisses n’ont pas de Macron et de Brigitte à leur tête, la stérilité érigée en dogme d’État, mais ils subissent aussi la pandémie woke, qui disparaît peu à peu des USA mais qui est toujours virulente chez nous.

Le site msn.com nous rassure : le phénomène frappe aussi nos voisins.

La « NZZ » rapporte que 80 % de la population suisse âgée entre 20 et 29 ans rêve d’avoir deux enfants ou plus. Pourtant, la fécondité moyenne atteint à peine 1,3 enfant par femme. Le « seuil de renouvellement » se situe à 2,1, et pour maintenir l’économie, il en faudrait même trois, estiment certains économistes.

La décision d’avoir un enfant relève désormais d’un calcul économique rationnel. Selon les chiffres du canton de Zurich, élever un enfant de 1 à 4 ans coûte en moyenne 1 440 francs par mois. Cette somme grimpe à près de 1 920 francs pour les adolescents. Sans compter les frais de garde : une place en crèche privée peut coûter 150 francs par jour à Zurich. Ainsi, pour trois jours par semaine, il faut ajouter 1 800 francs mensuels par enfant. S’ajoutent encore les frais « cachés » liés à la réduction du temps de travail, l’impact sur la carrière et donc sur la future retraite.

Et pourtant, les Suisses ont les moyens ! Qu’est-ce qu’on dirait de la France, où les salaires sont historiquement bas, à cause d’une chose : le grand patronat n’a jamais voulu payer les ouvriers correctement, car ils ne voulait pas nourrir la Bête rouge. L’ouvrier n’est pas une espèce en voie de disparition, l’ouvrier blanc, oui : il est remplacé depuis les Trente Glorieuses par l’ouvrier nord-africain, qui se syndique moins, réclame moins, et tout ça a fait que l’industrie française a pris du retard dans la modernisation, la robotisation. On en paye le prix aujourd’hui, et les trahisons industrielles des gouvernements successifs n’arrangent rien.

Le néolibéralisme sauvage appliqué à la France ne fonctionne pas, tout simplement. Et plus l’oligarchie insiste, plus le pays renâcle, plus la répression augmente. Le point de non-retour sera bientôt atteint. Ce pays ne veut pas mourir, et il se débarrassera de l’occupant, parce qu’il est plus fort que lui. En attendant, on souffrira encore, sous les coups de boutoir de nos persécuteurs. Le seul avantage, c’est que cette violence oligarchique croissante sonne le réveil national. Il en faut, des coups, pour réveiller un peuple endormi !

L’information du déficit des naissances en France nous ramène à un article du Figaro sur la Russie qui manque de main-d’œuvre. Une phrase, la première, a attiré notre attention :

Il n’y a de richesse que d’hommes. Cette formule n’a jamais sonné aussi juste que dans la Russie contemporaine. Le pays, qui se targue ces dernières années d’afficher des taux de croissance qui excèdent ceux de la plupart des économies européennes, fait face à une pénurie de main-d’œuvre sans précédent. D’ici 2030, Moscou aura besoin de près de 11 millions de personnes pour faire tourner son économie, selon le ministre du Travail, Anton Kotyakov. Plus de 3 millions pourraient manquer à l’appel, préviennent déjà les experts. De quoi menacer sérieusement la croissance du pays.

Il n’y a de richesse que d’hommes. À ce propos, on remarque que toutes les décisions du pouvoir depuis sept ans, depuis l’avènement de l’employé de la Banque, vont dans le sens contraire : avortement dans la constitution, euthanasie encouragée, injection de masse, paupérisation programmée, invasion migratoire ennemie. Il y a moins d’hommes, au sens propre et au sens figuré. Macron avait raison, nous sommes bien en guerre. Mais pas contre les Russes.

***

 

Faits & Documents inaugure sa série sur la destruction de la famille traditionnelle par ce numéro consacré à la déconstruction de la masculinité par les réseaux néo-féministes et la pression pornographique. Un numéro qui fournira à tous des arguments tangibles pour faire face à l’offensive !

 

Vous trouverez dans ce numéro :

- une enquête statistique sur les rapports homme-femme
- une enquête sur un sujet éludé par les féministes : les infanticides
- un rappel historique sur les réseaux à l’origine de l’industrie pornographique
- quatre pages de brèves d’actualités

 

(cliquez pour agrandir)

Français, croissez et multipliez

 






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5 Commentaires

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  • #3550827
    Le 22 juillet à 17:25 par Pamfli
    Qui a tué nos enfants ?

    Pétition contre la Loi Duplomb : Darmanin dénonce des « menaces inacceptables », la gauche va se mobiliser - Article de Rude Wesh

    Dès qu’un fait social embête le pouvoir, il le criminalise, le diabolise en parlant de menace, de kidnapping de bébé (Cf. Aurore Bergé pendant la contestation des retraites), d’activax, et de factieux envahisseurs d’hôpital public afin de pourrir le mouvement, pendant que les gauchistes agitent les foules jusqu’à son extinction rebellion...
    À mon avis, ce barnum Darmanainain/Sardine Ruisseau a pour objectif de court-cuiter le confinement du 10 septembre qui arrive, l’arrêt total du pays, le seul légitime qui conteste le pouvoir, les Gilets jaunes.
    Darmanainnain et Sardine vont finir avec Pierrot, Najat, Migaud... à la cour des comptes pour produire des rapports dont tout le monde se fout.
    Une pétifion qui inquiète le pouvoir mais bien sûr.

     

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  • #3550829
    Le 22 juillet à 18:11 par H. K. Daghlian
    Qui a tué nos enfants ?

    Si cela n’est pas un génocide, alors le terme ne veut plus rien dire.

     

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  • #3550835
    Le 22 juillet à 20:53 par ANONYME
    Qui a tué nos enfants ?

    ...invasion migratoire ennemie...



    ...et enfants-tueurs...

    Dans le service de néonatologie d’un hôpital pédiatrique, la petite Zayneb, née prématurée, est morte après avoir été manipulée par un enfant de 6 ans, membre d’une autre famille, qui se baladait sans cesse et librement dans toutes les chambres du service avec une chaise sur laquelle il montait pour débrancher les électrodes, il appelait le nouveau-né "ma poupée".

    Il a été aperçu près du berceau et du corps du bébé nu au sol, sans couche, avec le crâne ensanglanté, décédé d’un traumatisme cranio-encéphalique très sévère compatible avec une chute au sol. 

     

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  • #3550836
    Le 22 juillet à 20:54 par Robert
    Qui a tué nos enfants ?

    Combien d’entre nous sont prêts à remettre en cause dans leur vie voire dans leur esprit la logique de la contraception et de l’avortement qui sont avant tout un mode de vie, des habitus moraux et une logique utilitariste de l’existence qui touche aussi des cathos même moralement rigoureux.
    Je veux bien accabler les nouveaux Ceaucescu, mais je n’ai pas vu beaucoup de résistance à la révolution sous-culturelle et sexuelle depuis les années 60. Certes, on peut comprendre et regretter ses erreurs et se convertir à un mode de vie radicalement différent, ouvert à la vie et pas seulement après la carrière et le confort. Ceci dit, sans ces décennies de complaisance, de complicité de la grande majorité de nos contemporains parmi lesquels je me compte avec ces moeurs, le choc actuel serait moins bien passé. Et pour le quitter, c’est comme remonter le courant d’un immense fleuve déchainé, la nature humaine livrée à elle-même. Thibon disait bien "ne croyez pas aux briseurs de règle qui vous parlent au nom de l’amour. Là ou la règle est brisée l’amour avorte."
    Si on peut jeter son enfant à la poubelle depuis 75, protégé par la constitution sans grande résistance populaire, tout ce qui suit n’est plus qu’anecdotique.
    C’est d’un vrai mea culpa personnel et d’une réforme personnelle et sociale dont nous avons besoin. Accabler des adulescents pervers parce qu’ils sont au pouvoir ne fera rien pour y parvenir, à mon avis. C’est à chacun d’entre nous d’y contribuer, mais cela sera long et douloureux. C’est en quittant les idées et les moeurs anarchistes de ma jeunesse et en découvrant la foi catholique que j’ai compris que je quittais la majorité et le consensus pour une petite minorité, le conflit et la contradiction avec le monde. Et cela n’a jamais été simple ni acquis.
    J’ai choisi, je ne regrette rien, mais je n’oublie pas qui je suis et d’où je viens. Autrement dit, j’essaie de rester humble et lucide.
    Que personne ne prenne ce propos pour une leçon de morale, c’est plus un aveu.

     

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  • #3550839
    Le 22 juillet à 21:12 par goy pride
    Qui a tué nos enfants ?

    La conséquence est une possible extinction de l’espèce humaine. Des espèces animales se sont éteintes pour quoi que ça ! La différence c’est que l’humain en ayant conscience de son extinction est capable de réfléchir à des contres-mesures, mais les contres-mesures nécessaires seront effroyables : il faudra identifier les injectés, appliquer une politique discriminatoire contre ceux qui ont été génétiquement modifiés afin de les exclure du pool reproducteur et préserver ainsi l’intégrité du génome de la population saine...j’imagine même une possible guerre civile entre humains OGM et intacts...enfin bref nous ne sommes pas sortis de la merde, loin s’en faut !

     

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