Le croisement des courbes est historique, et même s’il est provisoire, il dit une chose très simple : les femmes réfléchissent à deux fois avant de mettre un enfant dans le monde de Macron, qui n’est que chaos, répression et dépression. Dites-vous bien que le pouvoir macroniste a imposé non seulement l’injection à tous, mais aussi aux femmes enceintes et aux enfants, voire aux bébés !
DEVOIR DE MÉMOIRE
10/2021 Pr Cyril HUISSOUD : « La vaccination peut être réalisée à n'importe quel moment de la grossesse, y compris au premier trimestre de la grossesse. »
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C’est un crime, dont on ne mesure pas encore les conséquences. Une des conséquences, pour le coup psychologique et démographique, c’est la chute de la natalité, qui est un marqueur de confiance d’une population, le signe qu’elle se voit un avenir. Il y a aussi la montée de la mortalité.


Pour ceux qui douteraient des courbes 2025, voici celle de l’INSEE pour 2024 :

Nos amis suisses n’ont pas de Macron et de Brigitte à leur tête, la stérilité érigée en dogme d’État, mais ils subissent aussi la pandémie woke, qui disparaît peu à peu des USA mais qui est toujours virulente chez nous.
Le site msn.com nous rassure : le phénomène frappe aussi nos voisins.
La « NZZ » rapporte que 80 % de la population suisse âgée entre 20 et 29 ans rêve d’avoir deux enfants ou plus. Pourtant, la fécondité moyenne atteint à peine 1,3 enfant par femme. Le « seuil de renouvellement » se situe à 2,1, et pour maintenir l’économie, il en faudrait même trois, estiment certains économistes.
La décision d’avoir un enfant relève désormais d’un calcul économique rationnel. Selon les chiffres du canton de Zurich, élever un enfant de 1 à 4 ans coûte en moyenne 1 440 francs par mois. Cette somme grimpe à près de 1 920 francs pour les adolescents. Sans compter les frais de garde : une place en crèche privée peut coûter 150 francs par jour à Zurich. Ainsi, pour trois jours par semaine, il faut ajouter 1 800 francs mensuels par enfant. S’ajoutent encore les frais « cachés » liés à la réduction du temps de travail, l’impact sur la carrière et donc sur la future retraite.
Et pourtant, les Suisses ont les moyens ! Qu’est-ce qu’on dirait de la France, où les salaires sont historiquement bas, à cause d’une chose : le grand patronat n’a jamais voulu payer les ouvriers correctement, car ils ne voulait pas nourrir la Bête rouge. L’ouvrier n’est pas une espèce en voie de disparition, l’ouvrier blanc, oui : il est remplacé depuis les Trente Glorieuses par l’ouvrier nord-africain, qui se syndique moins, réclame moins, et tout ça a fait que l’industrie française a pris du retard dans la modernisation, la robotisation. On en paye le prix aujourd’hui, et les trahisons industrielles des gouvernements successifs n’arrangent rien.
Le néolibéralisme sauvage appliqué à la France ne fonctionne pas, tout simplement. Et plus l’oligarchie insiste, plus le pays renâcle, plus la répression augmente. Le point de non-retour sera bientôt atteint. Ce pays ne veut pas mourir, et il se débarrassera de l’occupant, parce qu’il est plus fort que lui. En attendant, on souffrira encore, sous les coups de boutoir de nos persécuteurs. Le seul avantage, c’est que cette violence oligarchique croissante sonne le réveil national. Il en faut, des coups, pour réveiller un peuple endormi !
L’information du déficit des naissances en France nous ramène à un article du Figaro sur la Russie qui manque de main-d’œuvre. Une phrase, la première, a attiré notre attention :
Il n’y a de richesse que d’hommes. Cette formule n’a jamais sonné aussi juste que dans la Russie contemporaine. Le pays, qui se targue ces dernières années d’afficher des taux de croissance qui excèdent ceux de la plupart des économies européennes, fait face à une pénurie de main-d’œuvre sans précédent. D’ici 2030, Moscou aura besoin de près de 11 millions de personnes pour faire tourner son économie, selon le ministre du Travail, Anton Kotyakov. Plus de 3 millions pourraient manquer à l’appel, préviennent déjà les experts. De quoi menacer sérieusement la croissance du pays.
Il n’y a de richesse que d’hommes. À ce propos, on remarque que toutes les décisions du pouvoir depuis sept ans, depuis l’avènement de l’employé de la Banque, vont dans le sens contraire : avortement dans la constitution, euthanasie encouragée, injection de masse, paupérisation programmée, invasion migratoire ennemie. Il y a moins d’hommes, au sens propre et au sens figuré. Macron avait raison, nous sommes bien en guerre. Mais pas contre les Russes.
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Faits & Documents inaugure sa série sur la destruction de la famille traditionnelle par ce numéro consacré à la déconstruction de la masculinité par les réseaux néo-féministes et la pression pornographique. Un numéro qui fournira à tous des arguments tangibles pour faire face à l’offensive !
Vous trouverez dans ce numéro :
une enquête statistique sur les rapports homme-femme
une enquête sur un sujet éludé par les féministes : les infanticides
un rappel historique sur les réseaux à l’origine de l’industrie pornographique
quatre pages de brèves d’actualités