Il connaît sûrement Ryssen vu le niveau. Il a peut-être une famille, un travail, une vie sociale. Chacun résiste a sa facon, il dit la même chose que Ryssen avec des mots différends. Les gens ne sont pas prêts pour Ryssen, faut quelques étapes entre les soirées Arte et Hervé.

Voter aux Européennes équivaut à voter pour une dictature !...

La majorité des Français ne veulent plus des politiques véreux qui ont trahis le peuple en ne respectant pas le référendum (2005) et soutiennent majoritairement les GILETS JAUNES ... Les diviseurs vont en être pour leur frais !..
Le R I C sans limitation voulu par le peuple souverain doit être (comme la république en son temps) proclamé par la "convention nationale gilets jaunes" où ne sera pas !...

Une constitution écrite (abstraction contre nature) à pour effet de remplacer le DROIT NATUREL de l’humain à suivre ses émotions et sentiments présents CONCRETS produits par son sixième sens spirituel l’intelligence du coeur animé des Nobles valeurs de gratuité et de compassion PAR UN DROIT POSITIF étatique (matrice contre nature) imposant comme règle de vie le commerce et son corollaire l’argent par des lois égotique-ment abstraites (pathologie d’abstraction égotique) !...

Ainsi donc toutes constitutions écrites qui remplacent le DROIT NATUREL définit ci dessus par un droit positif égotique-ment abstrait (contre nature) sans l’accord de l’intéressé (à défaut de lui avoir posé la question) est ILLÉGITIME car contre nature !...

Nous avons la solution pour neutraliser leur pouvoir bancaire c’est celle donné par le JUSTE il y a 2019 ans, c’est à dire de remplacer l’argent (abstraction contre nature) par la gratuité naturelle, c’est ce qu’il nous dit en ces termes :

" Puis, s’étant fait montrer la « monnaie du tribut », sur laquelle était l’effigie de César, il leur dit : « Rendez donc à César ce qui appartient à César (l’argent) et à Dieu ce qui appartient à Dieu ( la gratuité ), car nul ne peut servir deux maîtres aux valeurs opposées ».

Le capitalisme est corruption de l’âme, il est l’effet de la pathologie d’abstraction égotique (1) de l’homo égoticuss !...

Il faut disséquer à vif.
Mettre à la loupe chaque mot, chaque attitude, en direct, sur le fait. Les brûler continuellement au soleil de la vérité.
Ne leur laisser aucune porte de sortie, tendre des pièges subtils pour tomber leurs masques.

En réalité il est facile de percer leurs mentales et d’avoir plus de culture, de bonne culture.
Le plus difficile étant de s’exprimer de manière claire et net, de rendre les mots comme une lame ou une balle.
Le tout en étant le plus à l’aise possible, physiquement et mentalement. Avec toujours une main tendu en cas de miracle. Rarissime mais extrêmement gratifiant.

La seule limite étant le coût social, voir financier, qu’on est prêt à y mettre.

Enfin ça, c’est ma méthode.

Remettre les pendules à l’heure est quand même un bon début.

Après, il se trouvera toujours un être pour affirmer que l’heure est une abstraction qui n’a de raison que pratique, et que cette pratique est contrainte à la liberté de l’être. Un type toujours en retard ou un autre systématiquement en avance, l’heure permet justement de favoriser une rencontre du troisième type, et qui est la rencontre effective, à dire vrai pratico-pratique, puisqu’elle produit la possibilité dialectique - du dialogue authentique ou pas - entre deux êtres qui sans elle, ne se seraient probablement jamais rencontrés. L’égotisme ne se trouve pas forcément là où il parait être : la réalité s’inscrit toujours en négatif des apparences, disait Hegel.

Quoiqu’il arrive, et si par exemple l’heure viendrait à être considérée comme une donnée qui asservit l’humanité dans un dictact absolument arbitraire, viendrait toujours l’espace-temps qui nécessiterait d’en rétablir l’usage ; puisque compter sur un être de chair est se livrer soi-même à l’errance et à la perte de soi : Savoir qu’au moins un passerait sa vie à attendre un autre, pour retrouver un sens à sa vie dont l’attente a éliminé les contours du chemin. L’estime du temps passé, encourage le recours à l’usage de la force de caractère, celle qui remet en mouvement l’être qui dans l’attente s’était momentanément et par intérêt d’une plus grande nature immobilisé.

L’artifice est donc un essentiel, et pas l’objet qui le dénature injustement. Si nous étions pur esprit, nous serions morts, en tant qu’Humain. A ce titre, oui, il est possible d’affirmer que le temps est une marchandise comme une autre, qui relie des intérêts d’une plus grande nature et sans les fantasmer ; sans les idéaliser en manquant aux règles définitives de la conclusion ; et que par là-même, la philosophie est elle-même une marchandise comme une autre.

Pour autant faut-il encore admettre que cette réalité se tient hors de portée d’un certain réel pratique et de bon sens : savoir que ne peut être confondu l’outil, l’instrument et l’objet de leur contenance proto-historique : la raison qui les a produite ; ce qui renverrait à confondre l’effet et la cause, prendre le message pour ce qu’il est dans son importance en tenant hors de portée les conditions de son achèvement qui marque la fin d’un cycle et non le début d’un autre.

Par exemple que la mort n’existe pas... Cela nous renvoie à une physique émancipée.
Mais ici nous éloigne encore plus du sujet init..