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Slate, le pure player de Colombani, Attali et Rothschild, glisse dans le porno

Il y a une loi en télé que tous les producteurs connaissent : si pour un problème d’audience tu injectes du cul dans une émission, après tu peux plus le retirer. Ensuite, c’est l’accoutumance, la glissade et la mort. En presse c’est pareil, et l’évolution du pure player Slate, fondé en 2009 par le quatuor Colombani, ex-patron du Monde, excusez du peu, Leser, Hufnnagel et Attali, en est la parfaite illustration.

 

Pour les problèmes d’audience, on consulte Wikipédia :

La version française Slate.fr n’a jamais été bénéficiaire, écrit Jérôme Lefilliâtre dans Libération en 2017. (...)
D’après BFM Business, les résultats nets annuels sont en baisse continue depuis la création du site. (...)
Pour essayer d’atteindre l’équilibre financier, Slate passe en 2017 à une équipe de 7 personnes au lieu de 12, et compte s’appuyer plus sur ses pigistes.

Traduction  : le site dit « de gauche » n’a jamais marché, et au lieu de modifier le contenu, pour le rendre plus fort, ses dirigeants ont réduit la voilure, payant (pas cher) des pigistes plutôt que des permanents. Le résultat ? Des articles de moins en moins sérieux, de moins en moins politiques, de plus en plus sociétaux, jusqu’à ce fond de cuve, ou fond de capote (humour Slate).

Carrément de la déchetterie porno. On est même en dessous de la presse masculine ou féminine dite spécialisée, qui ne va pas aussi loin dans le crade. On peut aimer le sexe et être pudique.

Qu’est-ce que Colombani et Attali sont venus faire dans cette galère, ou plutôt pourquoi restent-ils dans cette galère ?

Probablement parce que les actionnaires ont besoin d’une danseuse qui fait des pertes (oups !), afin de soulager une holding en termes fiscaux, c’est pour ça que des groupes (économiques) s’offrent, pour une bouchée de brioche, un titre de presse – papier ou en ligne – économiquement non viable. Tu achètes un organe d’influence pas cher et en plus tu payes moins d’impôts (parce que les pertes rognent le bénéfice global), quand tu ne touches pas en plus des aides à la presse, et cette année, Macron a lâché un demi-milliard ! Que du bonheur.

Voyons voir qui détient Slate, on en saura peut-être plus.

Bon, bon, bon, on va parler foot un peu, ou réchauffement, hein. Pour ceux qui veulent aller plus loin dans l’aventure Slate, il y a cet article d’Acrimed daté de 2010, qui a fortement inspiré Wikipédia.

Colombani sur Lèche-cul TV

« Il faut préserver les solidarités essentielles, et la solidarité transatlantique à mes yeux en est une »

 

La vie professionnelle de Jean-Marie Colombani sur Internet est abordée à 18’46. L’homme « de gauche » nous en sort une belle à 19’21 :

L’ambition de Slate n’est rien d’autre que de défendre sur Internet le journalisme de qualité.

On vient de voir ce qu’est son journalisme de qualité.
Pour être totalement honnêtes, JMC dit quand même que la particularité de Slate, c’est l’union entre des journalistes chevronnés à l’ancienne, et la nouvelle génération née sur le Net. Ce qui donne, en termes moins châtiés : des équipes de « tout jeunes journalistes » mal payés qui font du cul pour faire remonter une audience qui n’a jamais décollé. C’est exactement le modèle économique de Jacques Attali dans son business « humanitaire » PlaNet Finance, devenue Positive Planet : par ici les stagiaires à deux balles, vive l’uberisation !

Comme prévu, sur E&R :

 






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18 Commentaires

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  • J’en parlais pas plus tard que ce matin.
    la presse type konbini, slate, brut, etc… diffusée à outrance sur les réseaux sociaux en mode pub dont il est impossible d’échapper, est en train de placer la femme en dominatrice vicieuse, haineuse et vulgaire sous couvert de féminisme droit des femmes mon corps mon choix et toutes ces conneries.

    ‘’le résultat je le vois auprès de certaines nanas que je peux côtoyer ou avec qui je suis « amis » sur les réseaux. Leur vision de l’homme, du couple et de la femme, est totalement ahurissante. Et c’est ce genre de nana que l’on entend le plus en soirée ou autre.
    Quand ces pauvres meufs, se rendront compte qu’elles ont fait fuir tous les hommes susceptibles de leur apporter sécurité amour et bonheur … on va bien se marrer, car pour moi, une nana qui parle un peu féministe ou tiens des discours débiles pondu sur konbini, même pas en rêve. Même pas avec un bâton. Tu peux crever ma belle tu ne m’auras jamais.

     

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    • N’oubliez pas aussi le huffington post, crée par Anne (Schwartz) Sinclair et où lié par Louis Dreyfus, qui nous renseigne les résultats de plusieurs années d’expérience (entre autre) :

      - 4 façons de (bien) se masturber sans les mains
      - 4 façons excitantes d’être plus lubrifiée
      - 4 positions pour un coït réussi sans enlever ses ses fringues
      - Utiliser des glaçons pendant le sexe et autres jeux de températures

      je vous laisse taper ces mots dans la barre de recherche….

       
  • Colombani ,celui qui déclarait " nous sommes tous américains " aprè le 11 septembre 2001. Donc cet américain applique les recettes de gouvernance des Démocrates US, parangons du bon goût pour la bien pensance "française " désormais : du cul/Woke libéral libertaire ad nauseam.

     

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  • #3008779

    Ces psychopathes nous inventent des tabous qui n’ont jamais été des tabous chez aucune femme ! En quoi le mélange de foutre et de cyprine qui sort de la chatte serait un mystère et un tabou ? En près d’un demi siècle de vie c’est le première fois que j’entend cette idiotie. Cela me rappelle cet article débile du Nouvel Obs intitulez "Osez le clito !", comme si les femmes avaient attendu le Nouvels Obs pour connaître l’existence de leur clitoris ! Celle qui veulent jouer avec jouent avec, celles qui ne s’y intéressent pas ne s’y intéressent pas et point barre !
    Est-ce que l’élite se fout de notre gueule où bien elle croit vraiment que les gens sont à ce point prudes et coincés du cul ?

     

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    • C’est pour crétiniser les populations.
      Leur rêve est de nous réduire à des individus qui se contentent de satisfaire leurs besoins les plus primaires : baiser (mais sans se reproduire), manger (mal) et se divertir (en regardant des merdes).

       
    • #3008958

      L’élite veut mettre tout le monde dans la banalisation de la sexualité, on doit tout dire voir tout montrer comme on va acheter des croissants le matin.... Et surtout, surtout les enfants. Ils gagnent des points auprès de leur maître en salissant la pureté, et le plus tôt possible.
      Aujourd’hui l’âge de la découverte des images porno n’est plus vers 17 ans comme dans les années 60, plus vers 13- 14 ans comme dans les années 90 qui était encore un âge raisonnable pour ça, mais vers 6 ou 7 ans...imagine le carnage dans les consciences des bambins.
      Mais les mamans n’ont pas l’air globalement contre, et les papas non plus car ils pensent comme maman, globalement, sauf les interdits de droits.

       
  • #3008791

    Alors, Slate est gratiné mais je crois connaître encore pire : le dernier numéro de Causette, le soi disant magazine féministe, est en ce sens une synthèse de ce que la presse peut faire de plus abject, de plus putassier, de plus vil.
    En couverture du numéro de juillet, une main gluante, qui nous annonce un sujet, que dis-je, un dossier...sur le doigtage, oui oui. Mais commenté par des experts, attention ! et en inclusive ! La dernière page est une illustration de différents baisers, et on note que les couples homosexuels et racisés sont désormais majoritaires...
    Bref, vous avez encore du pain sur la planche, E&R ;)

     

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  • Abjecte et je pèse mes mots.

    J’observe depuis quelques années un paradoxe qui devrait être considéré comme une dissonance cognitive entre l’idéologie « féminisme/droit des femmes/fin du patriarcat (cochez selon) » et les faits qui eux, sont têtus.

    Plus notre société prétend défendre les droits des femmes tout en promouvant leur liberté ou leur indépendance (mais pas du grand capital !) plus celles-ci sont objectivisées ou au mieux traitées comme un vulgaire organisme vivant.

    On pourra remarquer le même phénomène avec la mouvance LGBTQ++ qui prône le droit des enfants et/ou adolescents à affirmer leur « identité » non pas dans l’excellence dans le domaine du sport, des études, de la musique, de l’artisanat ou que sais-je … mais leur simple identité sexuelle dont l’éventail de choix rendrait n’importe quel être humain totalement fou ou au mieux dépressif !

    Je rappelle, à toutes fins utiles, que l’hyper-classe à son propre « système de valeurs », et pour celles et ceux qui sont initiés (sans mauvais jeux de mots) à leur véritable idéologie, les enfants et les femmes ne sont que de vulgaires marchandises.

    Alors que l’on nous vend la « démocratie » (nous savons tous ce que cela signifie), jamais de l’histoire de l’humanité, sur une si grande échelle, la femme et l’enfant n’ont été aussi avilis et bestialisés.

    C’est mon ressenti..

     

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    • Il suffit de regarder le traitement des poussins mâle broyés en usine pour se rendre compte qu’ils considèrent l’homme de la même manière, sauf qu’il ne peuvent pas appliquer directement les mêmes méthodes, ce serait trop voyant, du coup, ils utilisent ce genre de subterfuge pour nous pousser au suicide, la presse n’est jamais que le relais de ce qu’ils veulent qu’on soit et ne reflète en rien la pensée de la population.

       
    • Oui c’est le paradoxe, les femmes n’ont jamais été autant valorisées, ni autant traités comme des objets, car elles sont valorisées dans la consommation. Les femmes sont censées être libres et indépendantes mais doivent absolument jouer de leur sexualité sans tabou, tout en étant innocentes et victimes de tout. Bonjour la dissonance cognitive.

      On comprend mieux les jeunes filles qui s’enlaidissent, s’habillent comme des hommes, se couvrent de tatouages. Et les féministes qui s’inventent une nouvelle "oppression" tous les deux jours.... elles croient sans doute échapper à ce piège et s’enfoncent encore plus.

       
  • #3008834

    "L’ambition de Slate n’est rien d’autre que de défendre sur Internet le journalisme de qualité." Non mais franchement, là ce n’est plus possible. Comment peut on dire un truc pareil ? Le gars il parle de Slate ! Il n’y a ni journalisme, ni qualité, chez Slate ! Ce truc, c’est juste pour les bonobos, pour leurs rappeler qu’ils sont des bonobos...

     

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  • Si on excepte le Monde et le Figaro (et encore faudrait vérifier), et les rares journaux réellement indépendant (Prescrire, Que choisir etc) toute la presse écrite et en ligne est totalement dépendante du Pognon, soit du grand Capital soit par les subventions de l’Etat. Donc en résumé non viable selon l’économie de marché ! On comprend mieux pourquoi ils ont tous la trouille qu’on gvt patriote arrive au pouvoir. Oh sans être anti ceci ou cela. On se posera des questions sur la pertinence de verser des subventions à la presse, et ce depuis des années....

    Je peux prolonger ma réflexion sur le monde merveilleux des associations. Là aussi il y aurait matière à tailler dans les subventions en tous genres (ce qui a déjà été fait dans les mairies FN/RN) ! Etc etc

    Certes ca ne réduira pas miraculeusement le déficit de l’Etat (peut-être des collectivités locales), mais ce sera ca en moins pour l’anti-France.

     

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  • #3008862

    le problème n’est pas la nature des secrétions post-coïtales mais l’exercice en lui-même qui se raréfie de plus en plus. le féminisme qui encourage les femmes à être chiantes et hermétiques aux approches et qui décourage les hommes de faire ces fameuses approche en l’interdisant dans les lieux les plus classiques : boulot / université. Quant à la drague de rue ou autres raccourcis que nous tend le destin, ils sont sujets à la loi sur le harcèlement.

    après si vous êtes un beau gosse vous ramassez tout sur Tinder et si vous êtes un rentier vous organisez des soirées dans la terrasse de votre logement Parisien centrée et vous ramassez de la belle trentenaire en recherche de papa poule pour ovules en déclin.

    le souci c’est que le beau gosse et le bourgoie ne sont pas une catégorie suffisante pour perpétuer l’espèce. le pays, déjà "envahit" par les vagues de migrations n’est qu’à un taux de fécondité de 1,87 par femme (premier d’Europe !), les Allemands, tchèques ou autres roumains sont des pays en extinction.

    Slate et ses combats d’arrière garde.

     

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  • Ca me rappelle cette discussion entre deux pouffes :

    - Tu baises plutôt le soir ou le matin, toi ?

    - Le matin. J’aime bien avoir quelque chose de chaud dans le ventre pour aller travailler.

     

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  • #3009272

    Est-ce un effet pervers de l’ annonce de la perte de subventions due à l’ abolition de la taxe audiovisuelle ; en tout cas, la 2 se lance sans attendre dans les programmes pour invertis "drag race France".....challenge du fion trafiqué aux frais des contribuables...minuit,.... "réservé aux plus de 10 ans" avant leur être, on en est sûrs, au final, recommandé.

     

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