Alain Soral fait preuve de noblesse en dispensant des cours de sociologie de drague et d’histoire dans la rue ...

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Ca fait mal. Ca fait mal de regarder et d’écouter la splendeur de Paris - c’est-à-dire, les gens qui causent et qui se cherchent ensemble, pris sans le savoir, dans l’élan de la combinaison du verbe et de l’émotion - quand on à été fabriquer comme exclu catégorique dès le début et qu’on a été forcé de vivre comme exhilé au Canada anglophone. Mais après le génocide de Gaza, après le droit-de-l’hommisme finalement retourné pour mettre les gens qui ne sont pas encore esclaves des QUI abusifs en prison pour propos qui ne seraient même pas publiques, ce monde est de toute façon fini. Fallait pas leur laisser faire. Fallait pas leur donner les clés. Maintentant ce n’est plus seulement moi et les quelques autres Frankensteins de ma génération qui ont tout perdu.

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La force du concept chez le patron, c’est très très fort.

Ça m’arrive parfois de faire du concept devant des femmes, et le plus souvent, ça les fait juste fuir ;) mais comme le patron le dit lui même dans la vidéo, il n’a pas la pression du désir, donc il peut parler sans pression et avec plaisir (donc faire du concept).
Peut-être la présence de la caméra permet-elle à la fille de la fin de maintenir son intérêt et son attention.

C’est toujours intéressant d’entendre les femmes parler en vérité (c’est si rare), notamment quand celle en fin de vidéo dit que le bel homme est très souvent pauvre, et que le riche est très souvent plutôt laid. Je me rappelle l’époque où je roulais en voiture de sport cabriolet avec une gueule d’enfer, j’ai réussi à me faire rembarrer par une gamine de 18 ans ; a contrario, aujourd’hui en voiture banale, ça marche sans commune mesure ! En réalité, ce qui change, c’est pas la voiture, mais le bonhomme : plus frais, plus serein, plus charmant qu’à l’époque de la super caisse. Cela rejoint donc le propos de la fille.

Sur la drague à 40 ans, évidemment que sortir pour draguer exclusivement, tel faire des saillies, c’est vraiment pas fou. Mais en même temps, quand on est célibataire, il faut savoir saisir les opportunités : il est en effet beaucoup plus sain à 40 balais d’intégrer une drague opportuniste dans le cadre d’une sortie dont la cause est autre chose que la drague elle-même, comme faire ses courses, arpenter une librairie... Ya pas de raisons objectives de s’en priver.

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Si nous ne courrions pas à la catastrophe d’en être vérolé, nous devrions remercier le sionisme d’avoir exacerbé pareil gaillard que le gars Soral et porté ses différentes facettes à notre connaissance.

Je n’ai jamais apprécié la drague et les dragueurs, pour ne pas être bon en la matière et surtout car je n’en avais pas le moteur, tant l’une de mes activités (toujours en cours), l’œil rivé au prisme de l’appareil photo, faisait de moi une de ces lampes à attirer les libellules, les papillons et autres insectes jusqu’aux guêpes pas folles, les « grillant » par l’érotisation et la sublimation de leur atours, et/ou, narcissisme enfoui ou apparent. Ainsi donc, n’ai-je jamais manqué de matière, pas plus que je n’avais de fêlure du passé à combler. Cependant reste-t-il un point commun : celui d’attraper le specimen inaccessible...
Ayant effectué l’introspection du phénomène, j’ai fini par saisir qu’une facette de ma nature était de relever des défis. Et que ce n’était pas la photo, la femme, son cerveau, son corps, son sexe qui se trouvait être le sujet de tension, mais la victoire sur moi-même, paraissait-elle être sur l’autre.
Car ainsi en était-il aussi au dojo où, à contrario, je dédaignais les filles pourtant rares, pour choper les costauds...
Mais aussi, c’est que je préférais le débat, la dialectique et la maïeutique, à la conversation, ce qui est toujours le cas qui flingue souvent mon niveau d’intelligence sociale. De fait, n’ayant pas de but à atteindre (comme le dragueur), il fallait vraiment que j’apprécie un tantinet la nana pour lui tenir le crachoir cependant qu’elle me disait tout et son contraire dans la même phrase, la tempérance prêtée à mon esprit logique autant qu’à mes perceptions intuitives, ayant ses limites que seule la tolérance pouvait et peut toujours combler. De la connaître un peu, donc et de l’aimer bien aussi. Alors baratiner une inconnue pour traiter ses objections... ^ ^
Et puis aurait-il fallu se dégager de la disponibilité.

Punaise, heureusement que j’ai passé l’âge : vraiment, je n’aimerais pas avoir 15-25 ans dans cette époque.

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@Mister Moom, oui, le déclin était déjà là, dans les années 90, et il est vrai qu’à l’époque Jacques Chirac était président de la République, mais rien à voir avec la décadence de la présidence de sarkozy et de ce cher emmanuel qui eux ont mis le coup de grâce.

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Tu veux économiser 2 francs !!! On reconnait les vrais, ça fait plaisir !

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c’est frais, c’est de la rue,
y’a pas de condescendance, de fausseté

ça fait du bien, cette fraîcheur

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il est magistral quand même le tôlier

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Quand on est détendu et à l’aise, ça passe très bien. Dès qu’on est un peu « en manque » ça fait fuir les meufs.

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Excellent Alain !

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