Cette affirmation trouve son origine dans un recueil d’entretiens mené par Michel Salomon sorti il y a près de 30 ans, en 1981, et intitulé « l’avenir de la vie » ( coll. Les Visages de l’avenir ed. Seghers) auquel l’essayiste Jacques Attali avait été interviewé

[…] dès qu’on dépasse 60/65 ans, l’homme vit plus longtemps qu’il ne produit et il coûte alors cher à la société. D’où je crois que dans la logique même de la société industrielle, l’objectif ne va plus être d’allonger l’espérance de vie, mais de faire en sorte qu’à l’intérieur même d’une durée de vie déterminée, l’homme vive le mieux possible mais de telle sorte que les dépenses de santé seront les plus réduites possible en termes de coûts pour la collectivité ».

Quelques lignes plus loin, il écrit : « en effet du point de vue de la société, il est bien préférable que la machine humaine s’arrête brutalement plutôt qu’elle ne se détériore progressivement ». Et d’ajouter : « je suis pour ma part, en tant que socialiste, objectivement contre l’allongement de la vie parce que c’est un leurre, un faux problème ».
« La liberté fondamentale, c’est le suicide »

À ce moment-là, la question de l’euthanasie n’est pas encore abordée. C’est le journaliste qui lance le sujet, dans la question suivante : « Le monde à venir, "libéral" ou "socialiste", aura besoin d’une morale "biologique", de se créer une éthique du clonage ou de l’euthanasie par exemple », relance-t-il.

« L’euthanasie sera un des instruments essentiels de nos sociétés futures dans tous les cas de figure. Dans une logique socialiste, pour commencer, le problème se pose comme suit : la logique socialiste c’est la liberté et la liberté fondamentale, c’est le suicide ; en conséquence le droit au suicide direct ou indirect est donc une valeur absolue dans ce type de société.

Dans une société capitaliste, des machines à tuer, des prothèses qui permettront d’éliminer la vie lorsqu’elle sera trop insupportable, ou économiquement trop coûteuse, verront le jour et seront de pratique courante. Je pense donc que l’euthanasie, qu’elle soit une valeur de liberté ou une marchandise, sera un des règles de la société future », imagine Jacques Attali, en 1981.

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Oulla.
Cette jeune femme se met en danger à raconter tout ça.
Quand on dit que sur Internet tout le monde détient un bout de vérité, je trouve qu’elle a accrochés un à un les wagons, très intéressant !!!

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Elle est rayonnante, un Ange, que Dieu la garde.

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Vidéo très intéressante.
Je commence de plus en plus à penser que le virus vient pas de Chine, mais des States. Le Dr Judy Mikovits ne cesse de le dire depuis plus d’un an, que le virus vient de Fort Detrick, aux USA, ou ils ont aussi un labo de haute sécurité travaillant sur des trucs louches.
Plusieurs personnes, dont Valérie Bugault et le Dr David Martin, ont affirmés que la DARPA avaient investi massivement dans les entreprises Pfizer et Moderna, tout comme le dit cette journaliste d’investigation.
David Martin a aussi prouvé que la DARPA avait déposé un brevet il y a des années, relatif à l’utilisation de la protéîne Spike comme arme de biotechnologie.
Les chinois n’y sont sans doute pour rien, après toutes les manipulations de l’oncle Sam à travers les derniers siècles, serait ce si surprenant ?

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Est-ce possible d’avoir la vidéo originale, sans la voix off ? Merci

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à propos du mega group (en fait le study group :)
https://www.wsj.com/articles/SB8942...
bonnes recherches !

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Magnifique ... voici un complément d’informations très important et très riche.
il faut intercaler ces informations entre les infos de Pierre Jovanovic et Pierre Hillard (et certainement Saint Pierre), et là on a un schéma extrêmement clair de l’organisation oligarchique, jusqu’à un certain niveau !

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J’ai écouté la "performance" de HARARI au FEM de janvier 2020
Bon en fait, l’histoire des rats, c’est dans le cadre d’un scenario SF où l’humanité disparaîtrait et où ce serait les rats qui la remplaceraient, pour ne pas faire forcément les mêmes "erreurs". Je ne l’y ai pas vu nous traiter de "rats". Ce serait bien que les dissidents arrêtent de surinterpréter inutilement des passages pour faire dans la sensation, et nous décrédibiliser
Mais les deux points à retenir de cette conférence à mon avis :
1) les pays "libres" doivent se lancer à fond dans l’AI car sinon cette technologie sera seulement dans la mains de dictatures numériques, qui pourront alors dominer les autres nations ("le nouveau Staline" dit-il, bizarre il ne dit pas "le nouveau Hitler", lui l’israëlien, peut-être est-ce un petit clin d’oeil vers la Russie, très en avance sur le sujet d’après Whitney Webb, ou la corée du nord, qu’il cite également en mauvais exemple)
2) l’homme doit s’attendre à être en dissonance cognitive avec les décisions qui seront prises par le super ordinateur, car cet idiot d’humain prend des décisions à partir de 2 ou 3 données/arguments significatifs, alors que cette machine brassera un nombre incalculable (pour l’homme) de données nous concernant, afin de prendre les décisions à notre place. En gros les politiques publiques nous paraîtront absurdes (comme si ce n’était pas déjà le cas), mais ce sera parce que notre cerveau n’est pas assez évolué.. Or, la capacité de synthèse/tri d’informations pour discerner des éléments significatifs qui doivent l’emporter sur tous les autres est la base d’une intelligence évoluée. Un ordi qui mettrait des millions de données en rapport, permettant de noyer les quelques importantes au milieu des marginales, même avec un système de pondération, ne peut que provoquer des décisions illogiques, insuffisantes, non pertinentes. Sans parler des décisions liés à notre positionnement politiques... Si c’est ça l’intelligence artificielle, c’est vraiment pas brillant. Mais au moins ça prépare les gens à accepter l’inacceptable, à remettre leur vie dans une sorte de providence numérique, un insondable qui remplacera très concrètement Dieu dans la conscience de l’humain 2.0. C’est bien cela l’antéchrist, le doigt de Satan que l’homme touchera (Satan qui ne s’incarnera pas, pour ne pas se soumettre à l’ordre divin, mais exprimera sa "rationalité" anti-humaine via la toute pure machine, totalement hors de l’ordre de la création

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Nous en France on a Konbini

Konbini accuse le film Kaamelott d’accorder “une place démesurée aux personnages masculins blancs” et “hétérosexuels”
Sorti en salle le 21 juillet dernier, le film réalisé par Alexandre Astier a été disséqué par Konbini qui lui reproche notamment une représentation sexiste de l’époque médiévale.

Sacré époque !

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personne magnifique qui a le courage de dire le QUI. Par contre elle plane quand elle dit que la solution c’est de sortir de leur système du point de vue économique. Quand ils auront tout mis sous contrôle tu ne pourra échapper à rien du tout, c’est un essai de drones militarisés qui viendra te neutraliser à la seringue hypodermique dans ton sanctuaire des Causses, je te le garanti.

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