"le Monde des livres n’est pas le lieu pour ouvrir une telle polémique (...) C’est un fameux lièvre que vous levez."
Voilà résumée, dans cette petite phrase, la psychologie structurante de ces êtres qui parasitent l’espace public pour ériger le mensonge, la poltronnerie, l’obscurantisme, la crétinerie et autres franciseries en normes morales devant servir d’ingrédients à l’esthétique de la vie communautaire et individuelle.
Cette dame, paix à son âme même si je ne la connaissait pas bien, n’est pas la seule Homme de lettres qui soit incrédule. Ils sont nombreux ; même Pierre Vidal Naquet, quand on le voyait dans sa hargne contre Robert Faurisson, n’était pas convainquant. Quand on le voit encore aujourd’hui, on est saisi, non pas par la finesse de son argumentation et de ses analyses, mais par la gène qui le saisit pendant qu’il fait sa profession de foi anti Faurisson.
Le refus d’examiner les éléments techniques que le prof met en lumière pour soutenir la thèse de l’inexistence des chambres à gaz homicide en Allemagne pendant 39-45 et du mythe de la "solution finale", est la preuve par 2000 mille milliards de trillions que Naquet et les prétendus contradicteurs de Faurisson, ne croyaient pas en leur thèse de la gazéification. Pour comprendre le manque de couilles dont celui de la défunte aussi, il faut lire Kant, "Qu’est-ce que les Lumières ?" et De la Boétie, " Discours sur la servitude volontaire" et la réflexion sartrienne sur la mauvaise foi. Réflexion qui s’adresse bien sûr à Sartre aussi.