Pour tous les gens d’ER qui veulent avoir un avis objectif sur la vie en cité, je leur conseil d’écouter la chanson du rappeur Mysa "l’hymne à la rue", qui est une critique réel de la délinquance des cités. Ce rappeur, originaire de Metz, clame une réconcialiation nationale, dénonce le fait que les autres rappeurs ne s’attaquent qu’au FN, dit la vérité sur la vie d’un délinquant et essai, avec son rap, d’encourager les jeunes des quartiers à ne pas tomber dans le piège de la délinquance, qui n’apporte rien ni au niveau personnel (c’est à dire de l’intêret individuel) ni à la société (c’est à dire à l’intêret collectif) ! Ce rappeur dénonce, entre autre, franc-maçons, NWO, sionistes mais aussi skyrock, les rappeurs qui font et disent n’importe quoi, le matérialisme, l’individualisme. Ce n’est pas un rappeur mais un véritable poète qui a une écriture magnifique et dit des vérités, c’est pour cela qu’il ne sera jamais médiatisé (d’ailleurs, il ne le veut pas).
"Et si j’ai pas le succés/ C’est que je l’ai bien voulu/ Je sais pas si tu sais/
Mais le talent de tes idoles n’est pas si poussé"
"La vérité / tu l’entendras pas sur radio FM/ Les rappeurs sont dans leur clichés/ Ils en ont marre que du FN"
"Boycotté, Je me suis demander/ qui ça dérangeait/
Les vieux rappeurs/ Les pédophiles, le biz à Bélanger" (Bélanger, patron de skyrock, franc maçons, condanmé à un an de prison pour viol en réunion su mineure de plus de 15ans).
"Tu connais quoi des francs-maçon/ Du corrupteur et du sionisme/
Tu connais pas pourtant/ T’es leur bonniche/
Tu racoles pour eux/ Même ton discour pue la com/
Ton rap sent le porc/ Et ta bouche pue l’alcool/
Faut pas que tu finisses stringuer/ Skyrock tire la ficelle/
Viens pas donner des leçons/ Qu’est-ce-que tu connais à la vie saine/".
"J’ai une dur vie/ Mais une durite de survie/
Acrroché sur le fil/ On met du rythme dans la turbine/
Et repars/ C’est peut-être le dernier repas/
Vu que tout le mondes est en perte de repére/ Même les ren-pas/
Remballe, tes histoires à deux balles/ Tes clips déplacés/
Si la France en veut encore/ Toute mon équipe est blasé/.