Oscars 2013 : propagande en perspective
12 janvier 2013 01:25, par OdalisqueJe suis parfaitement d’accord avec le message véhiculé dans cet article. Il est assez clair que la cérémonie des Oscar n’est ni plus ni moins que la célébration de la plus grosse machine à propagande de l’histoire de l’humanité avec un petit ’’h’’. L’engouement médiatique pour les Golden Globes, les Oscar, les César et toutes ces fêtes pour artistes aux égos surdimensionnés est la manifestation de la récompense des esclaves du mondialisme. Il faut que ce système de récompenses tienne la route et protège les icônes cinématographiques pour qu’elles puissent participer activement à la destruction de toutes les traditions familiales du terroir. Ce n’est pas de l’art, mais de la vulgarité qui aveugle les gens à la quête de rêves et de je ne sais quoi d’autre. Ces cérémonies cachent aussi cette sous-culture pitoyable de l’idôlatrie. Les acteurs et les actrices font partie d’une royauté dont l’opulence amer attire les citoyens lobotomisés et élevés dans une société de consommation. Et depuis quelques années, on remarque que les dits acteurs se font de plus en plus présents sur la scène politique notamment aux États-Unis. Il y a un mélange des genres assez tragique et dégueulasse qui en ressort. L’ONU, par exemple, engage des ambassadeurs de bonne volonté qui sillonnent la planète afin d’attirer notre attention de pauvres cons sur les guerres les plus sanglantes et les famines les plus redoutables !!! J’ai presque envie de vomir rien que d’écrire ces lignes. Maintenant, ce sont les Angelina Jolie, George Clooney et autres grognasses du système qui viennent nous donner des leçons dans une impunité exponentielle. On essaye de manipuler les citoyens qui eux n’ont pas le luxe du cosmopolitisme et essayent de nous soutirer du fric à travers leurs campagnes de financement. C’est vraiment que de nous prendre pour des salopes. Eux qui jouissent de l’opulence et se tartinent le fion avec de l’or osent quémander de l’argent en essayant de nous ’’sensibiliser’’ aux pires atrocités subventionnées par leur gouvernement si démocratique (USA). C’est un système qui engendre des chiens et des chiennes qui existent simplement pour qu’on parlent d’eux dans les magazines-poubelles. Le plus drôle est que personne ne songe s’indigner une bonne fois pour toute. Qui aura le courage de glisser une quenelle en live pendant les Oscar ?