Je m’insurge non contre le fait de l’holocauste nazi (11.5 millions dans les camps d’extermination dont 5.6 millions de juifs, avec une incertitude de 5%) mais contre l’utilisation honteuse et abusive du massacre à des fins de sacralisation rentable par tant d’entrepreneurs en idéologie sioniste, véritable acte de magie noire mettant en jeu la mise à mort rétrospective délibérée de gens de leur propre sang ou de leur propre foi. On est en présence de presque l’équivalent d’un Abraham qui aurait sacrifié son propre fils pour plaire à un autre Dieu sans miséricorde. La négation systématique de l’holocauste est une erreur justement des plus commodes pour ce genre de crapules qui peuvent mettre tous leurs adversaires de référence dans le même sac. Il n’y a malheureusement rien d’étonnant vu la nature humaine que par exemple une mère de l’Inde ou d’un autre pays très pauvre estropie exprès un enfant ou deux parmi ses dix ou douze pour les faire mieux mendier, ou pour attirer plus de secours de l’aide internationale, et la croyance magique est même souvent au rendez-vous que les estropier exprès ou les faire mourir à petit feu peut bien disposer les dieux dispensateurs de prospérité. Or on a tendance parfois à sacrifier une partie des enfants pour d’autres qu’on estime mieux chez certains mauvais juifs aussi. Le fait est qu’il y a eu un bon nombre de juifs collabos, entre autres responsables d’opérations cabalistiques d’envoûtement de leur propre entité, et qui sans peut-être vouloir un tel holocauste comptaient sur l’extension du phénomène anti-sémite pour mieux faire advenir leur Israël, ou plutôt le triomphe de leur parti en Israël, parti actuellement au pouvoir.

Ce qui est extrêmement, voire criminellement désagréable d’entendre de la bouche d’un Finkielkraut c’est d’accuser tous les Français d’avoir eu un gouvernement collabo et une police complice des nazis en 1940-44 (comme si on pouvait accuser les Grecs d’avoir en ce moment une police et un gouvernement complices du FMI) alors que fort probablement le taux de collabos actifs parmi les juifs, sans être majoritaire tout de même, était plus élevé parmi les juifs ouest-européens que parmi les Français, tout simplement pour des raisons économiques d’appui à n’importe quel gouvernement de droite remettant le peuple et aussi les juifs détestés de l’Est à leur place, même s’il fallait subir soi des brimades. Ce genre de déshonneur qu’on espère rentable est une tare propre au gros de la nature humaine.