J’ai travaillé pendant près de quarante ans dans des cabinets de conseils en propriété industrielle (deux très gros cabinets français) et n’ai vu, durant cette période, que deux brevets préemptés. L’un dans le domaine des carburants pour fusées, l’autre dans le domaine de la téléphonie. J’ai travaillé sur des milliers de dossiers, le pourcentage est très faible.