La culture de mort ou le triomphe de l’individualisme totalitaire
23 août 2013 09:56, par Igor Meiev
Pourquoi être contre l’avortement ? tout simplement parce qu’il s’agit de protéger le plus faible. Hors, est-ce la mère la plus faible ou l’enfant qui est dans son ventre ?
Il ne s’agit pas que de prendre seulement en compte l’avis de la mère, l’intérêt d’un seul parti, il faut aussi penser à l’enfant en devenir qui se trouve en elle qui, lui, ne peut encore rien dire ou faire pour sa défense. L’enfant est la vulnérabilité même, voilà pourquoi d’ailleurs les satanistes en tout genre adorent s’en prendre à eux ; ils sont les meilleurs porteurs d’un symbole, d’une innocence qu’il faut à tout prix souiller.
Le débat porterait sur "est-ce bien un être humain que cet embryon ?"… que je saches cet embryon ne donnera pas plus tard un poulet, ni une souris. Que cet être humain soit à l’instant de la conception une division cellulaire ne change pas le fait que l’issue de cette division cellulaire est un enfant. Alors que tout n’est qu’une question de temps, soit disant tout peut être remis en cause.
En ce cas, pourquoi sommes-nous capables lorsque nous regardons un bulbe, une graine, une pousse, de dire "c’est un graine de chêne" ou "c’est une graine fleur" et de dire pour une graine d’enfant "ceci n’est pas un enfant". Le fœtus EST un enfant ! La preuve ? Si nous fauchions systématiquement chaque fœtus du monde dans le ventre de sa mère, il n’y aurait plus d’enfant à naître !… tout comme si nous fauchions chaque graine d’arbre il n’y aurait plus d’arbre qui pousserait.
Le lien de cause à effet est direct, donc s’il n’y a plus d’enfant à naître par avortement généralisé c’est donc que ce qui a été avorté à la source était un enfant.