Le cycle de la paix
Oligarques,
Entendez le courroux arrivé car vous ne pourrez l’éviter,
Si ce n’est d’y méditer,
Le chant de la révolution foisonne l’évolution.
Poètes d’autrefois,
entendez pour une fois,
à travers votre foi,
ce choix d’ébranler l’inégalité et d’en faire un lieu de liberté et Ô jamais ne craignez ni-même hésitez !
L’oxymore de ces fous,
vous poussant à la mort,
Vous cloisonnant à votre sort,
Frissonnant au son de la crise,
Provoqué par eux jadis,
Dans le but de vous anéantir,
A vous de faire retentir,
un son différent qui puisse rejaillir,
A travers les âges alloués par nos sages,
La victoire de l’égalité, la liberté, la fraternité et de la souveraineté.
Signé par un homme libre