il est un fait que nombre de secteurs ont été féminisés que ce soit l’enseignement, le monde médical la banque....
Personnellement, j’ai travaillé avec des femmes qui avaient le même salaire que les hommes POUR LE même travail. elles étaient de qualité professionnelles variables.
ce sont des grilles indiciaires qui gèrent les rémunérations.
durant mes jeunes années je ne voyais pas de femmes dans les mêmes fonctions. cette féminisation n’est pas sans inconvénients dans certains cas.
J’en connais un grand nombre qui utilisent à fond la durée maximale légale de congés maladie pour leur intérêt personnel. ceci dans la fonction publique ;
Je pense qu’une femme qui veut devenir mère doit privilégier son enfant car cela relève d’un devoir naturel. mais encore faut il que la politique sociale lui permette de compenser son manque à gagner. Une femme qui élève ses enfants apporte beaucoup à la nation,
ceci dit, lorsqu’un magasin employant des vendeuses, je le vois mal licencier des hommes à moins que celles-ci soient trans-sexuelles. et lorsqu’elles travaillaient on ne se plaignait pas de la discrimination envers les hommes. Vendeur est AUSSI un métier masculin.
Les femmes revendiquent de travailler dans le bâtiment, mais elles demandent à leurs collègues mâles de porter leur caisse à outils (cas vérifié)
Nos grands-mères travaillaient dur dans les champs, elles partageaient le sort de leur mari, et quand il y avait de la misère, elle était pour tous ;
personnellement je suis hors circuit depuis 5 ans, après 30 piges à travailler, sans compter mes heures, mais voilà mon contrat non renouvelé j’ai cru que je ne serais pas resté longtemps chômeur, connu par mes performances ; MON oeil
handicapé depuis 77 lorsque je me suis pointé à Pôle emploi (2008) la conseillère (tiens une femme) a eu un regard significatif. En fait 60 piges et handicapé c’est le cimetière quelque soit votre valeur professionnelle. Pour moi, le travail fut une distraction.
il suffit de regarder la télé ou écouter la radio pour constater que la féminisation est une réalité ; et ce n’est pas d’une meilleure qualité pour autant.