"Le but de la morale laïque est de permettre à chaque élève de s’émanciper… Il faut être capable d’arracher l’élève à tous les déterminismes : familial, ethnique, social, intellectuel"
(Vincent Peillon, Le Figaro, 2/9/2012)
"La religion et la morale laïques exigent donc, pour lutter contre les déterminismes, de "changer les mentalités (…) notamment par le biais d’une éducation au respect de la diversité des orientations sexuelles"
(Vincent Peillon, Lettre du 4 janvier 2013 aux recteurs)
"Toute l’opération consiste bien, avec la foi laïque, à changer la nature même de la religion, de Dieu, du Christ, et à terrasser définitivement l’Eglise".
(Vincent Peillon, Une religion pour la République, p. 277, édition du Seuil, 2010)
"Il faut donc à la fois déraciner l’empreinte catholique qui ne s’accommode pas de la République et trouver, en dehors des formes religieuses traditionnelles, une religion de substitution qui arrive à inscrire jusque dans les mœurs, les cœurs, la chair, les valeurs et l’esprit républicain sans lesquels les institutions républicaines sont des corps sans âme qui se préparent à tous les dévoiements"
(Vincent Peillon, ibid, p. 34)
"La laïcité française, son ancrage premier dans l’école, est l’effet d’un mouvement entamé en 1789, celui de la recherche permanente, incessante, obstinée de la religion qui pourra réaliser la Révolution comme promesse politique, morale, sociale, spirituelle. Il faut pour cela une religion universelle : ce sera la laïcité. Il lui faut aussi son temple ou son église : ce sera l’école. Enfin, il lui faut son nouveau clergé : ce seront les hussards noirs de la république"
(Vincent Peillon, ibid, p. 48)
Cet intégriste, le Frollo de Notre-Dame, réinstaure l’Inquisition. Puisse Quasimodo le balancer par-delà les gargouilles !