Comme si la Suisse devait en avoir quoi que ce soit à foutre. Elle tient le couteau par le manche : c’est le pôle scientifique de l’Europe (avec la France aussi qui a souvent de très bons chercheurs, surtout en maths). Les seuls bénéfices mutuels auraient été des échanges avec la France et avec l’Allemagne (et peut-être avec le Royaume Uni, quand même, et peut-être un peu avec l’Autriche).

La "punition" européenne ne concerne absolument pas la Chine et la Corée, qui sont les deux pôles mondiaux de la recherche (surtout la Chine) depuis que les usa sont à la ramasse. Alors la Suisse peut s’en ficher. Ce sont plutôt les chercheurs italiens, espagnols, portugais, hollandais, etc. qui vont pas être contents.

De toute façon, les échanges entre scientifiques continueront d’une façon ou d’une autre. Si ça se trouve, un jour prochain, les jeunes chercheurs feront des stages à distances munis de leurs google glasses et autre gadgets.