Bonjour,
Attention à ne pas surréagir ! J’aime bien Aldo Stérone, mais je sens poindre un certain puritanisme dans son analyse. L’ouvrage décrit ici n’a rien à voir avec la théorie du genre. On y voit un petit garçon et une petite fille jouer aux chatouilles en cachette, à l’abri du regard des adultes, ce qui pour moi est un jeu, somme toute, relativement innocent. Cherchez dans vos souvenirs et vous réaliserez qu’on a tous plus ou moins vécu ces expériences sans qu’il y ait traumatisme. La "prétendue" sexualité des enfants dont semble douter Aldo existe bel et bien, seulement elle se vit et se découvre sans perversion, entre enfants, en cachette dans la cabane du jardin, dans les greniers, dans les recoins des cours d’école, à l’abri du regard des adultes et c’est très bien comme ça.
Le crime serait que cet "apprentissage" soit prodigué par un adulte, on est bien d’accord.
Je pense que vous sous-estimez la soif de curiosité des enfants, ils n’ont pas attendu de lire "les chatouilles" pour avoir envie de découvrir le corps de l’autre, ils sont trop malins.
Je ne comprend d’ailleurs pas les allusions au satanisme dans l’œil manquant de la poupée ou l’abat-jour(?) mentionnés dans les post ci-dessus, quelqu’un pour m’éclairer ? Avez-vous regardé les jouets de vos enfants ? L’ourson de ma fille n’a qu’un œil également, une oreille déchirée, une langue pendante et je ne pense pas y déceler une quelconque perversité naissante.
Et quand bien même il y en aurai, vont-ils s’imprimer dans l’esprit enfantin ? Dans ce cas faut-il interdire les contes de Grimm, Alice aux pays des merveilles, Pinocchio ?
Foutons la paix aux enfants, qu’ils fassent leur propres expériences sans les influencer. Le plus important étant la transmission des fondamentaux, l’écriture, le calcul, l’histoire(les enfants adorent l’histoire), les arts, sciences que ne dispensent pas les "agents" LGBT dans les écoles.
Gare à ne pas se poser en inquisiteur à notre tour en accusant n’importe qui de crime d’arrière pensée comme en sont victimes Alain Soral, dieudonné, Farida Belghoul.
bien à vous