L’état-major des armées va perdre 30% de ses effectifs
12 mars 2014 22:57, par PROFANEnon seulkement on a des generaux rentiers a la pelle et inutiles...
ET EN PLUS ON EST OBLIGE DE FAIRE FAIRE LES ENQUËTES PAR DES ANGLAIS ! ! ! comme a tarnac....elle a la chtouille mariane cest sure...
Affaire Tarnac : un policier anglais avait pour mission de surveiller Julien Coupat
La justice enquête, depuis le 11 novembre 2008, sur des sabotages de lignes TGV attribués à un groupe de jeunes gens basés à Tarnac (Corrèze) et réunis autour de Julien Coupat.
Son ombre planait sur l’affaire de Tarnac (Corrèze). Désormais, grâce à plusieurs documents judiciaires anglais obtenus par Le Monde, la volonté d’infiltration du sulfureux espion anglais Mark Kennedy auprès de Julien Coupat, considéré par les services de renseignements comme le leader du groupe issus de la « mouvance anarcho-autonome », est une certitude. Et son rôle de pourvoyeur d’informations pour les policiers français est attesté. Le 24 août 2008, le « rapport de suivi » de l’UCO 133 (undercover officer, « officier infiltré »), signé par son responsable hiérarchique, est ainsi mis à jour, « pour ajouter Julien Coupat aux personnes autorisées pour une infiltration spécifique par l’UCO ».
Lire aussi : L’espion anglais qui a piégé le groupe de Tarnac
Dix personnes sont mises en examen, depuis novembre 2008, pour « association de malfaiteurs en vue de la préparation d’un acte terroriste » dans le dossier de Tarnac. Il leur est notamment reproché le sabotage de lignes TGV.
Le scandale qui a suivi la révélation des méthodes du policier anglais et de son service – provocations à la commission de délits, relations sexuelles avec les militantes, mensonges – n’en finit pas de provoquer des soubresauts judiciaires au Royaume-Uni. Les documents témoignant du rôle de M. Kennedy dans l’affaire de Tarnac sont issus de l’une des procédures en cours à Londres. Les services du procureur ont autorisé la déclassification des rapports d’activité de Mark Kennedy de juin à août 2008.
TRADITION ANCIENNE
Or, cet été 2008 est un moment-clé du dossier Tarnac. Une enquête préliminaire a été ouverte en avril à la suite d’informations fournies par les Renseignements généraux (RG), mais elle est au point mort. La sous-direction antiterroriste de la police judiciaire (SDAT), chargée des investigations, a manifestement d’autres chats