Jean Le Bitoux à propos du lien entre pédophilie et homosexualité
20 mars 2014 12:49, par laricoLes amalgames sont regrettables. Quelque soit les pourcentages, corrélation n’est pas causalité. Basique.
Allez, on va vous donner de quoi en faire de nouveaux. Peut-être auront-il moins de succès ici ?
Les réseaux pédophiles du père Glencross :
Michel Caignet, Jean-Manuel Vuillaume et Bernard Alapetite. Tous les trois ont été activistes à la fois dans les milieux pédophiles et dans ceux d’extrême droite. Michel Caignet tout d’abord qui a été trésorier de la FANE, organisation néonazie. Il publiait un magazine d’extrême droite homosexuel intitulé Gaie France pendant les années 80. Ce magazine a été interdit aux mineurs en 1992 pour apologie de la pédophilie. Michel Caignet a été arrêté à plusieurs reprises par la police dans des affaires de diffusion de documents pédopornographiques, mais à chaque fois les juges lui donnaient des non-lieux. Jean-Manuel Vuillaume a travaillé pour la revue Défense de l’Occident. Il dirigeait Palestra, un magazine proche du militantisme pédophile. Il avait une galerie où il exposait des photos d’enfants nus. Bernard Alapetite a collaboré avec la revue Défense de l’Occident, ainsi qu’avec Element. Il a fondé dans les années 80 des magazines destinés à une clientèle pédophile : Beach Boy, Jean’s et P’tit Loup. Magasines repris ensuite par Michel Caignet
Michel Caignet et Jean-Manuel Vuillaume ont été condamné dans l’affaire Toro Bravo en 1997 : 71 personnes y avaient été jugées pour production, diffusion ou détention de cassettes vidéo à caractère pédophile mettant en scène de jeunes Colombiens. Ce serait Jean-Manuel Vuillaume qui aurait réalisé les films. Lui et Michel Caignet auraient été à la tête du réseau Toro Bravo. Bernard Alapetite a été condamné dans le cadre du réseau Ado 71 en 2000 : cette affaire avait fait du bruit, car la police avait effectué 686 interpellations en 1997. Une cinquantaine de personnes ont finalement été condamnées pour distribution ou détention de cassettes vidéo pédopornographiques. Bernard Alapetite aurait été le principal responsable de ce réseau. Avant ce procès, il avait été condamné à 4 reprises pour des faits semblables.
On retrouve alors des liaisons entre extrême-droite, satanisme et pédocriminalité. Plusieurs sectes d’inspiration templière où néonazi et sataniste ont été dénoncées comme pratiquant des actes pédocriminels dont certaines fondées par Michel Caignet (Ordre des Templiers Orientaux...)
Nationalistes = neonazi = satanisme = homosexualité = pedocriminalité ?