Je lis les commentaires de quelques "épais",
1 le contexte québécois ne se prête pas à une forte mobilisation de cette LDJ à Montréal,
le mouvement national socialiste du FLQ, avait déjà dans ses rangs, en 1968, des membres actifs dans les camps de formation en Palestine. Les québécois ne comprendront pas ce que ce groupe aura à y faire. Leur logiciel étant plutôt pro Palestinien.
2 il y a une loi "antigang" dérogatoire à la charte des droits et liberté canadienne, qui a fait des ravages chez les bandes de motards au Québec et au Canada, la GRC veuille au grain, quitte à créer des incidents au sein même des organisations qui pourraient mettre en péril la sécurité et la souveraineté nationale.
3 la communauté juive de Montréal, très bien représentée dans le milieu des affaires, n’a pas intérêt à ce que la lumière soit particulièrement dirigée sur sa propre communauté et ce de manière violente, ils ont GenJ, fondation Brian Bronfman etc. Intéressez vous un peu avant de dire des inepties !
4 le contexte politique et économique au Canada est très loin de la déliquescence qui a cours en France, le niveau de vie est plus proche de la Suisse.
5 les juifs du Canada tendent plus naturellement vers la vraie diaspora, c-à-d, qu’ils se marient facilement avec des non juifs