85 % des Français ne souhaitent pas que Hollande se représente
8 septembre 2014 10:41, par Mettons tous ces poltrons dehorsNotre oui-oui mécano de l’Elysée s’attache au pouvoir comme un arapède à son rocher. Nous ne voulons plus de sa médiocrité à la tête de notre pays. A ce minuscule machin-chose, nous lui conseillons de reprendre la route vers Tulle, là où il aurait dû définitivement y rester. Ses dégâts sont irrattrapables et surtout notre image de marque à l’étranger est ternie pour toujours avec un tel bouffon. Il restera accrocher à son fauteuil jusqu’en mai 2017, date où plusieurs options s’offriront aux Français :
1. recommencer avec Ohllandouille pour 5 ans de plus s’il se trouve face à Marine Le Pen (le jeu de la collusion UMPS s’exprimera à nouveau),
2. il décide de ne pas se représenter alors c’est El Blancos qui s’y frottera et là face à MLP = ce teigneux risque d’être élu. Là, très mauvais pour toute la dissidence et pour l’ensemble de nos libertés qui seront de fait supprimées.
3. soit les Français s’affranchissent : dans un duel FN / PS - choix pour le FN et là ce serait la révolution par le choc de civilisation. Au final, cela se serait, peut-être, un mal pour un bien.
4. Face à l’UMP, le FN perd car le PS votera comme en 2002 pour l’UMP par dépit et enfermement de la pensée. Nous repartirions pour 5 ans de galère, de médiocrité avec des affaires financières malsaines ressorties par les média PS qui en ferait leurs choux gras.
Il faut s’attendre à ce que les sans-dents bouffent les racines, seuls aliments qui leurs resteront après que la caste politique se soit gavée malgré leurs insuccès patents qui se répéteront dans un contexte mondialisé puisque seront les mêmes : la haute finance, les lobbys, les clubs internationaux qui se sucreront.
Le cercle vicieux nous attend car nous tomberons de Charybde en Scylla passant de la droite à la gauche puis de la gauche à la droite ; comme un métronome qui marque le tempo, nous sommes condamner à être enfermés dans ce schéma car malheureusement les Français n’accepterons jamais de changer de modèle de société qu’ils critiquent, pourtant, chaque jour à moins que nous connaissions une situation pire que la Grèce, ce qui sera notre planche de salut, il permettrait le réveil des consciences : “quand le peuple a faim, le peuple se réveille”.