Plusieurs questions se posent :
Poutine peut-il être à la fois l’allié d’Israël et celui de la Syrie ?
Peut-il jouer un rôle d’arbitre pacificateur dans cette région ?
L’Ukraine n’était-elle qu’un piège destiné à détourner l’attention de Poutine de cette région ?
Combien de temps cette situation peut-elle perdurer ? Probablement assez longtemps.
Quel peut-être le rôle de l’Iran au milieu ? Et ne parlons pas de la Turquie.
De quoi occuper les réflexions et conversations des longues soirées d’hiver pour ceux qui ont un toit.