Le syndrome de Charlie qui s’est propagé dans les esprits est l’exemple parfaite d’ingénierie sociale visant la manipulation des masses concoctée fort à propos par notre gouvernement, dans un moment si propice, alors qu’il sombrait dans les tréfonds de sa popularité.
Le "Charlisme" est l’équivalent d’un syndrome de Stockholm appliqué à l’échelle d’une nation. Car les mêmes responsables politiques, de gauche et de droite confondus, oeuvrant depuis des décennies pour les grands patrons et les financiers, pour leurs intérêts supranationaux, nous jouent depuis longtemps la comédie politique, un simulacre d’opposition, pour rouler le peuple dans la mélasse d’une l’alternance démocratique qui confine exactement aux mêmes effets.
Ces partis politiques institutionnels ont tous favorisé et organisé l’immigration de masse depuis 1974, date où Giscard autorisa le regroupement familial, et ils ont fini par établir les circonstance sociales propices qui pourraient déboucher sur une guerre civile et religieuse, au sein de notre pays.
Hormis l’asservissement économique programmé des classes sociales les plus basses, opéré par la substitution du prolétariat autochtone par main d’oeuvre immigrée venue de pays sous-développés, il se matérialisa un effet collatéral potentiellement désastreux pour notre société, résultant de cette injection brutalement courte à l’échelle historique de la construction d’une nation - 30 ans au plus - d’une proportion massive d’immigrés de cultures, de moeurs, d’ethnies et de religions, fortement différentes et heurtant de front une population hôte passive, constituant de fait une rupture culturelle d’ampleur telle, qu’elle rend définitivement impossible une assimilation harmonieuse et progressive.