Mathieu Gallet : ascension et disgrâce d’un Bel-Ami du XXIème siècle
4 avril 2015 21:33, par Erdoval
Et si justement ce bellâtre qui joue le rôle de patron d’une maison de prostitué(e)s avait été placé à ce poste pour faire péter une baraque rénovée à grands frais (et ce n’est pas fini) dont les auditeurs (c’est-à-dire les contribuables payeurs de la taxe sur l’audiovisuel public), las d’entendre répéter la pensée unique sur tous les tons, à toutes les occasions et sur tous les canaux du groupe, à l’unisson des grandes radios privées, ces machines à avilir l’auditeur, (au point qu’on ne sait plus à quelle radio se vouer) sont chaque jour plus nombreux à faire la grève des ondes. Ce Mathieu Gallet est à l’image de ce qu’est ce milieu bobo communautariste souffrant d’un énorme complexe de supériorité. Mais il a commis ce qui est considéré comme une véritable trahison : il a fait rénover son bureau pour un budget égal à celui consacré à la rénovation de tout l’appartement du Secrétaire Général de la CGT ! C’est indigne d’un vrai patron de gauche qui se doit d’afficher son goût du luxe en toutes occasions pour se démarquer du populo. Le luxe et les paillettes sont les marques de la supériorité de ce milieu qu’il se doit de représenter dignement. La communauté radiophonique publique estime donc désormais qu’il n’est pas à sa place, le costume de Radio-France n’est pas fait pour lui. Un peu comme Valls et Hollande, entre autres. Sauf que lui il est bien habillé, trop bien même, au point que les hystériques qui peuplent ce milieu culturo-médiatique, rêvent tous de le déshabiller. Mais il est à peu près sûr qu’il ne sera pas le seul à se retrouver bientôt à poil. Plus le temps passe plus les chiffres du plan social augmentent. Et comme on n’entrevoit pas la fin de la grève, c’est dire que la liste des remerciés pourrait être longue et que l’inquiétude croissant parmi les dégénérés du micro, les luttes internes risquent d’être rudes. C’est en tout cas pas demain que les auditeurs pourront enfin en avoir pour leur argent. Si au moins ils pouvaient éviter d’être une nouvelle fois mis à contribution pour préserver le confort de cette maison de propagande coûteuse.