Persécutions d’Alain Soral : suite
14 septembre 2015 12:41, par Erdoval
Les ennuis judiciaires d’Alain Soral sont principalement les suites de sa dénonciation répétée, énergique et talentueuse du dévoiement du système français basée sur une analyse approfondie et clairvoyante de la situation. Dévoiement qui n’est d’ailleurs que l’expression hexagonale d’un dévoiement plus général au niveau mondial bénéficiant à des intérêts mondialisés, échappant à tous les contrôles. Il est une de ces grandes gueules critiques que le pouvoir veut absolument réduire au silence. Ce que ne supporte pas le médiocre pouvoir médiatico-politique français aux ordres des intérêts mondialisés c’est d’être démasqué et que soient révélées ses multiples indignités à l’égard de la France et des français ; cette oligarchie bien-pensante est profondément corrompue et prête à toutes les trahisons, grandes et petites, pour jouir sans entraves des retombées financières de ses trahisons(ah, les carrières juteuses), tout en faisant mine (hypocrisie des esprits petit-bourgeois indispensable pour se tromper eux-mêmes et préserver ainsi leur bonne conscience) de défendre les victimes de l’ordre libéral libertaire (la religion des droits de l’homme) qu’elle défend parfois de façon pitoyable soit par excès(les plus royalistes que le roi), soit par bêtise (les crétins utiles). Cela fait beaucoup de monde. Si bien que Soral se trouve un peu dans la position d’un leader emblématique de la résistance à cet ordre mondial dégénéré qui rabaisse l’humanité au niveau de son tube digestif et qui n’a qu’une seule ambition dévorer toujours plus. Malraux disait que le XXI ème siècle serait religieux ou ne serait pas. Il est clair que sans sursaut spirituel, l’avenir de l’humanité est bien compromis. En tout cas il apparaît que la crise s’amplifie chaque jour et qu’un chaos général semble vouloir prendre le dessus. A quand la revanche des nations pour sortir de cet enfer annoncé ? Car il me semble bien que ce soit la seule voie possible du retour à un ordre plus humain.