« Détruire (l’État islamique) n’est pas seulement un objectif réaliste, c’est une tâche que nous allons mener au bout. Nous les éliminerons. Nous reprendrons les terres où ils sont, nous supprimerons leurs financements, nous traquerons leurs dirigeants, nous démantèlerons leurs réseaux, leur lignes de ravitaillement, et nous les éliminerons. »
Barrack a totalement raison.
Depuis la 2GM, les 2 états juifs (Etats-unis et Israel) ainsi que leurs 5ièmes colonnes en Europe et ailleurs, ont eu suffisamment de moyens
-) idéologiques (consumérisme),
-) mafieux (chantage, assassinat, drogue),
-) hypermédiatiques (Al Djazira, journaux, télé ...),
-) et surtout financiers,
pour manipuler sans aucun moyen militaire des dizaines de pays.
Ils ont chez eux des milliers de datchas destinées au refuge de tous les corrompus du monde entier.
De plus, l’Oligarchie décide totalement :
-) de quel sujet doit monopoliser les médias,
-) et durant combien de temps.
Et si elle peut décider AUSSI du combien de temps, c’est justement en imposant un nouveau sujet médiatique qui fera oublier le précédent. On a vu récemment qu’une seule photo d’enfant noyé suffisait à faire, en un jour, la "une" du monde entier.
Lorsque des terroristes n’ont pas ou plus d’état protecteur, comment imaginer qu’avec les moyens financiers inimaginables que les états juifs déploient, ils ne soient pas capables de manipuler les responsables terroristes du monde entier, quitte à générer des concurrents terrifiants là où subsisteraient des insoumis à leur volonté ?
Les Etats-unis ont pendant 60 ans -et secrètement- assouvi une large part de l’Europe "libre", "démocratique", riche et cultivée donc "civilisée" avec GLADIO. Ils peuvent donc sans gros efforts d’imagination soumettre des terroristes.
Une confirmation magistrale de cette maitrise quasi totale du terrorisme par les Etats juifs c’est que chaque campagne d’attentats (11/09, Londres, Madrid, Paris ...) n’a duré qu’une journée. Il n’y a pas eu de "répliques" et encore moins de guerre permanente.
Barrack a donc raison : tout peut s’arrêter ad nutum