Migrants : la France va ouvrir un camp humanitaire à Grande-Synthe
31 décembre 2015 12:48, par Pamfli
Une infirmière d’un service de réanimation néonatale en banlieue parisienne m’a raconté qu’elle a dû prendre à son compte “sans les stigmatiser” une famille de roms, l’un des leurs étant hospitalisé : en moins de deux semaines, les douches de l’hôpital étaient prises d’assaut par les cousins Dibrani qui s’essuyaient avec les blouses du personnel (vive les infections nosocomiales !), de nombreux vols chez les patients et leurs visiteurs étaient signalés par des mots de protestation affichés dans les couloirs du service, des téléphones mobiles comportant des photos de naissance dérobés et des jeunes mamans en pleurs, des enfants retournant chez eux sans leur manteau,… Bref, une fois les cousins Dibrani plus ou moins raccompagnés vers la sortie, les vols se sont brusquement arrêtés, les lieux de nouveau respectés…. dingue !
Et pas un mot de la direction, pas une mesure prise par le chef de service, au lampiste d’agir et de se manifester pour sauvegarder son service et l’intérêt des patients.
Je ne nommerai pas ce centre hospitalier pour éviter d’agir contre l’hôpital public, ce qui arrangerait bien nos maîtres : l’actionnariat de la clinique voisine en extension constante étant très majoritairement détenu par les pontes de ce centre.