Pour participer au débat et abonder dans le sens de certains, il m’apparait que plaisir n’est pas bonheur (bien qu’une forme très sereine et intériorisée du plaisir contribue au bonheur, sans conteste) : nous sommes donc dans une question de qualité du plaisir, non de quantité pure.
C’est un paradigme d’essence philosophique ; la sexualité est donc un domaine bien plus neutre qu’on a bien voulu le dire ; elle n’est que le reflet de nos motivations, des régulations que l’on y met, et in fine, de notre morale ;
(à même niveau de libido, la sexualité complice et tendre d’un couple n’est pas comparable à celle d’un Dsk ou Siffredi, pour qui l’aspect compulsif est la seule règle, étant des prédateurs assumés...) ;
le plaisir est d’ailleurs plus intense et pur si il est partagé, dans beaucoup (mais pas tout) les domaines ...