Lorsque les colons européens, conquistadors et préchi-précheurs protestants pénibles, ont débarqué dans le "nouveau monde" (qui ne l’était d’ailleurs pas plus que l’Europe et avait des civilisations millénaires et des cultures très nobles), ils ont foutu la vérole aux malheureux autochtones dont le nombre a dramatiquement diminué. Et même des MST apocalyptiques en baisant leurs squaws.
Le "pseudo-nouveau monde" se venge maintenant en inondant l’Europe de virus de toute sorte et de "sidas mentaux plus-plus-plus" comme dirait Donald, dont le pire est le virus de l’indifférenciation universelle, allié au virus de la massification (le "mariage pour tous", par exemple, plus de sexes, plus de races, plus de nations, plus rien, une partouze universelle quoi).
On sait depuis le 19ème siècle que l’américain est un escroc flamboyant qui se prend pour Dieu le Père et qui fait fortune à coup de faillites frauduleuses successives (faillites de railways, crise de 29, crise de 2008 etc et Trump, le faillitaire professionnel) en aspirant les capitaux de la vieille europe ahurie de tant de culot et que c’est un type qui n’a aucun sérieux . Qu’il est soit un clown inculte, et qui pense que les Simpson, c’est déjà fatiguant à comprendre, soit un imbécile abruti de travail à qui on vend du "rêve" (Hollywood chewing-gum). A quoi bon être milliardaire au USA puisque tout y est laid et con ?
Qu’un noir américain vote Trump, donc, pourquoi pas ? C’est rigolo. On rigole, et c’est bon en tous les cas pas mauvais, pour le business. Alors, de quoi se plaint-on ?
Les Clinton et compagnie ont voulu jouer aux "gens sérieux" genre "on a des diplômes et nous on sait" comme en France les petits sciences po, mais c’était vouloir enseigner le grec ancien en dialecte homérique au pays des clowns.