Un jour en France : mardi 10 janvier 2017
11 janvier 2017 00:30, par goy pride
La jeune trentenaire héberge pendant trois ans des clandestins, qui profitent un peu de sa générosité et de son corps, tandis qu’elle imagine qu’ils sont amoureux.
Bah oui ! Quand je dis qu’il y a une dimension libidinale dans le dévotion de ces femmes pour ces jeunes hommes d’origine exotique ! Il y a deux types de femmes attirées par ces jeunes étalons : les dondons en mal de câlin qui faute de pouvoir trouver des volontaires virils dans les environs se rabattent sur ces jeunes hommes en pleine santé dont les taux de testostérone records font qu’ils trouvent baisable tout ce qui peut ressembler vaguement à une femme. Les féministes qui ne parviennent pas à jouir avec un mâle Blanc qui même si dorénavant émasculé symbolise toujours l’oppression, l’insupportable patriarcat...par contre avec le migrant perçu comme l’éternelle victime de l’oppresseur Blanc et aussi comme un être hiérarchiquement inférieur elle peut se donner et jouir sans retenue comme le maître d’une plantation de coton pouvait connaître la plénitude sexuelle uniquement avec une de ses esclaves et non pas avec sa femme (morale protestante oblige...)