Mon commentaire ne sera probablement pas publié, mais je dois absolument partagé mon désaccord le plus profond avec l’Abbé Jouanneau, notamment lorsqu’il affirme que plusieurs Écrits de la Bible (dont la Genèse) ne seraient en fait que des allégories et seraient alors matière à interprétation...
Je tiens à rappeler que certains utilisent cette même logique et remettent en cause le point central du christianisme, soit la résurrection du Christ.
En fait, on ne peut pas être un chrétien véritable et en même temps balayer du revers de la main les versets bibliques qui sont incompatibles avec les valeurs humanistes et héléno-chrétiennes contemporaines. Soit on croit en Dieu de tout son cœur de tout son corps et de tout son âme (ce qui implique se reconnaître en tant que pêcheur, renaître de l’esprit et croire évidemment en la parole de Christ), soit on n’y croit pas. La Bible est très clair à ce niveau.
Il est tragique que le christianisme se détruise de l’intérieur, par ses propres « fidèles », lorsque la communauté des lumières y travaillent d’arrache-pied depuis des siècles...
Bref, j’invite L’Abbé Jouanneau à relire attentivement le livre de l’Apocalypse et porter une attention particulière au chapitre 22, versets 18 à 20 :
« Je le déclare à quiconque entend les paroles de la prophétie de ce livre : Si quelqu’un y ajoute quelque chose, Dieu le frappera des fléaux décrits dans ce livre ; et si quelqu’un retranche quelque chose des paroles du livre de cette prophétie, Dieu retranchera sa part de l’arbre de la vie et de la ville sainte, décrits dans ce livre. Celui qui atteste ces choses dit : Oui, je viens bientôt. Amen ! Viens, Seigneur Jésus !… »