L’article évoque le limon de la propagande tout en oubliant de préciser que même ce dernier est systématiquement recouvert par les déferlantes d’origine tectonique.
Quoi qu’on puisse idéaliser, l’écume reste la plus prégnante pour un peuple qui se lève tôt ou rentre tard et qui n’a pas toujours le temps ou l’énergie de se réfugier au point le plus haut et afin d’échapper à la submersion de la propagande oligarchique.
Mélenchon et Macron, vainqueurs sondagiers du pitoyable débat spectacle d’hier, encore la preuve que le système domine psychologiquement et marque au fer rouge un peuple qui souffre et qui n’aspire qu’à souffler un peu, sur ce dernier point, le vote de survie sera donc celui consistant à espérer un peu mieux, mais sans casser la machine, ne pouvant plus se permettre un surcroit d’angoisses et d’incertitudes, bref surnager plutôt que sombrer, écartant la possibilité même d’un surf libérateur.
Seule une révolution populaire pourrait changer les choses, une version XXL des cagoulés Guyanais, mais le clivage économico-socio-culturel et mis au point par les champions du mondialisme, chloroforme le peuple dans sa recherche inconsciente du consensus.
Mortifère.