Refuser la diffusion de la dernière œuvre de Botul, relèverait de antisémitisme le plus abject, et de plus l’auteur doit être un maitre pour pourrir la vie du récalcitrant personnage non sensible à notre génie national capilairement de gauche.

Son amour pour la seule ethnocratie du monde est proportionnellement inverse à sa détestation du coq Gaulois.

Botul est comme l’Amérique, il a toujours au moins une guerre sur le feu, Louis Ferdinand Destouches a du rencontré beaucoup de BHL avant guerre, il a fini par en faire un pamphlet qui restera longtemps après que la misérable prose du milliardaire philosophe aura disparue des pages du temps.