Dans la presse anglaise, un témoin déclare que l’écraseur portait une cagoule et n’avait pas, selon lui, le type oriental mais plutôt latino (avec cagoule ?). Or les photos pour le public montrent un écraseur barbu caricatural de type très proche-oriental, au sourire bête et méchant, prétendu ouzbékistanais (avec patronyme à consonance russe). Ce monsieur, après enquête auprès des voisins supposés de son logement supposé, car il a laissé ses papiers je crois (tiens !?), serait très désagréable, grossier, rabaissant et outrecuidant avec les gens qui bossent.
Comme de juste, on ne voit quasiment rien des événements sur les vidéos très floues, qui ne laissent pas la possibilité de s’arrêter sur tel ou tel détail, avec des formes ou suaires réfléchis dans une vitre convexe, suggérant des morts étendus.
L’école où allait le car scolaire accidenté abrite des enfants plutôt typés proche-oriental (toujours sur les photos lâchées au public). Ce jour-là, ils n’avaient pas cours pour je ne sais quelle raison, mais étaient quand même là, sortant de l’école avec leurs parents, on n’y comprend pas grand chose.
Cinq polytechniciens argentins seraient morts dans l’affaire. Ils seraient venus fêter l’anniversaire de leurs études d’il y a trente ans à NY et donc devaient pédaler tous ensemble à la queue-leu-leu. Tous la cinquantaine, bizarre.
De plus, le soir-même, la foule sortait dans la rue en masse déguisée en spectres et diables pour célébrer Halloween. L’écraseur avait tout loisir de faire des dégâts en pleine fête des morts-vivants, surtout s’il allait y laisser sa peau. Or il choisit de paisibles cyclistes et trotteurs, qui n’ont aucune force symbolique. Et se promène avec des armes factices. Pour quelle raison ?