Le communautarisme des obèses, la nouvelle mode du marché libéral
28 novembre 2017 18:57, par AltecPersonne n’est mince par choix de santé ou gros par dédain de la santé. La santé n’a jamais été un sujet pour ceux qui n’ont pas connu l’absence de santé. Le culte de la minceur et de la musculature, celui de ressembler à un guerrier spartiate hollywoodien c’est nouveau et c’est complètement en marge du sujet de la santé. L’objectif c’est de se surclassé socialement avec un corps d’Apollon afin de pouvoir se taper un maximum des plus belles femmes, là où d’autres choisiront de se surclassé économiquement en gagnant beaucoup plus d’argent pour se taper aussi un maximum des plus belles femmes, du coup dans la lutte sociale pour la Quête des vagins et des boobs les hommes se divisent encore entre les intellectuels au gros salaire et les "autres" aux gros muscles. c’est semble t’il l’intemporelle lutte des collectivités d’individu partageant au moins un trait en commun pour faire de ce trait la norme c’est à dire la normalité. On remarquera d’ailleurs l’abondante présence de citoyens d’origine maghrébine et sud-saharienne dans les salles de musculations et leurs inversement présences dans les postes professionnels les mieux payés. On notera également l’inégalité génétique en matière de production de graisse en faveur des peuples méditerranéen et sud-équateur versus les occidentaux blancs, là où certains peuvent se nourrir à presque tout les repas de kébab en restant "sec" et où d’autres grossissent avec un morceau de camembert. De ce fait on notera que dans l’hypothèse d’une redéfinition de la culture et du paysage génétique français, certain tente de normaliser leurs traits et de diaboliser ceux des autres.