Jakubowicz, l’avocat de l’homme accusé d’avoir assassiné Maëlys, perd ses nerfs chez Elkrief
5 décembre 2017 18:50, par Santiago
Il y a trois éléments à remarquer tout de même dans cette affaire Gregory II (III, IV, plus ?) :
* pendant que les media et les avocats font le show, vendent de l’espace publicitaire et leur petite bouille, l’affaire accumule les embrouilles dans l’embrouille (méthode Pasqua), de sorte qu’on oublie que ces gens qui font le spectacle ne doivent pas ignorer vers quels idiots utiles (qui doivent eux aussi être pris en photo avec elle dans un snuff movie qui peut ressortir n’importe quand sur Internet) la petite a été conduite
* comme dans l’affaire Gregory, on nous rejoue le coup des Parisiens qui se passionnent pour cette histoire de provinciaux, du gentil civilisé comme le mauvais sauvage, alors qu’il faudrait plutôt voir l’inverse : l’homme de la grande ville mouillé par les sociétés secrètes jusqu’au cou et les bons sauvages (avec des petits voyous ou des petits ambitieux qu’on fait chanter et qui croient s’en sortir ou s’élever dans les degré de la pyramide, en payant, alors qu’ils ne seront que les dindons de la farce, les pions sacrifiés)
* pendant qu’on s’excite pour savoir si le téléphone a été mis en mode avion ou si la photo est floue ou pas, tout cela justifie sourdement le flicage généralisé ; c’est un peu le même rôle que les séries TV qui montrent des tueurs en série toutes les 45 minutes : effrayez le bon peuple, vendez lui des lois iniques et des technologies de surveillance