Le nouvel arsenal nucléaire russe rétablit la bipolarité du monde
7 mars 2018 23:56, par CHADILe titre de l’article prête à confusion. Ce titre est : "Le nouvel arsenal nucléaire russe rétablit la bipolarité du monde". On dirait que la parité militaire nucléaire,entre russes et américains,a été rompue par une
course que la Russie n’a pas pu soutenir. Or la réalité est toute autre. Disons le sans détour. L’ennemi numéro un des russes ce sont les russes eux mêmes. L’empire russe détenait,jusqu’à en 1991 - année de l’effondrement de l’URSS - le statut de superpuissance,à l’égal des USA. Puis arrive le sinistre traitre gorbatchev,avec ses ridicules,mais mortelles"pérestroïka"et"glasnost".
Et le paroxysme de la tragédie était cet incroyable spectacle qu’offraient les russes au monde entier : leur puissant pays était en train d’être
démantelé par la bande de gorbatchev,et eux -.les russes- regardaient,comme dans un rêve,l’indescriptible crime sans brancher. Même le dernier des pays sous développés en pareil cas, aurait manifesté un minimum d’opposition.
Il est vrai que cette incomparable et incompréhensible trahison a
commencé avec un autre traitre débile,khroutchev. Ce dernier,lors du congrès du parti communiste en 1956,a franchi sans honte,le seuil de
l’irréparable : la condamnation de Staline. Puis c’est autour de brejnev,qui s’est soumis entièrement aux manigances et supercheries du duo Nixon-Kissinger sur les prétendus"droits de l’homme"et "la sécurité et la coopération en Europe"... Bref,on voit bien que les russes - et cela est inaccessible à tout entendement sain - sont les propres fossoyeurs de leur pays.
A propos de Staline,et pendant que l’hystérique propagande occidentale anti-stalinienne battait le plein - Churchill - avec son habituel et implacable
calme,a eu cette réflexion : je sais que Staline a hérité d’un pays à la charrue tirée aux bœufs,et il l’a laissé avec l’arme nucléaire et un sérieux programme de conquête spatiale.
Revenons au problème congénital russe,celui d’imaginer que le"salut"de
leur pays passe par son humiliation et sa destruction...Et trouver"normal"de quitter de plein gré le statut de superpuissance,pour aller dénicher un minable strapontin dans le"BRICS",à côté de pays très moyens.
Pour conclure,citons une profonde réflexion du géant Tolstoï : on peut sauver l’homme qui ne veut pas périr, mais si sa nature est corrompue et dépravée au point que sa perte même lui apparaît sous l’aspect du salut,que peut-on faire ?...