Pierre Hillard donne depuis un moment de quoi étudier le monde et son ordre, ancien ou nouveau, en citant, par exemple : Isaac Louria, Sabbataï Tsevi, Jacob Frank, Elie Benamozegh, Gershom Scholem, l’Histoire des Dönme, les origines du wahhabisme, la lignée Hesse-Battenberg-Mountbatten-Windsor, le Nohaisme, l’ordre indépendant du B’nai B’rith, Jacques Attali, Bernard-Henri Lévy etc.
Il est également toujours intéressant de sonder les influenceurs actuels et passés (d’un autre niveau que le Raptor Dissident) de notre société, comme Theodor Herzl, la famille Rothschild, Maurice de Hirsch, Cecil Rhodes, Marcus Goldman, Samuel Sachs, Laurence Douglas Fink, Robert Steven Kapito, James Dimon, Lawrence Edward Page, Sergueï Mikhaïlovitch Brin etc.
La réalité n’a rien a envier à la science fiction, même si cette dernière permet la vulgarisation du système politique, philosophique, voire religieux, qui nous administre.
"Je ne suis qu’un banquier faisant le travail de Dieu." Cette phrase n’a pas été prononcée par un esprit dérangé, mais par le primus inter pares des financiers de Wall Street, Lloyd Blankfein, patron (sur le départ) de Goldman Sachs, la banque emblématique de la sécession des riches.
Ordo ab chao ? Tikkun olam ?
Qui est ce Dieu et quel est son projet ?
Si le monde doit être réparé, par qui est-il d’abord détruit ?
Si le monde doit être unifié, par qui est-il d’abord divisé ?
Si le monde doit être sauvé, par qui est-il d’abord précipité ?
Un mal pour un bien... Par qui et pour qui ?